il va falloir faire des sacrifices

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Retraite, allocations, santé… cette fois, il va falloir faire des sacrifices
Source : Capital
08/05/2013 à 05:00 / Mis à jour le 08/05/2013 à 11:30


On croyait notre système de protection sociale à l’abri ?
Pressé de trouver 10 milliards d’économies cette année et 60 milliards d’ici 2017, le gouvernement n’aura pas d’autre
solution que de tailler dans nos prestations.
Reste à savoir qui paiera la note.

Dans les beaux quartiers, on s’inquiète.
Le gouvernement va-t-il continuer d’offrir tous les ans des réductions d’impôts aux familles aisées dont les enfants
poursuivent des études supérieures ?
Et permettre en même temps à ces derniers de toucher jusqu’à 250 euros par mois d’allocation logement ?
Il y a deux ans et demi, le gouvernement de François Fillon avait osé poser tout haut la question, avant de faire
machine arrière face au tollé des associations étudiantes.
Il y a quelques semaines, Geneviève Fioraso, la ministre de l’Enseignement supérieur, a remis les pieds dans le plat.
Il faut "revoir le cumul de l’allocation logement (étudiante) et de la demi-part fiscale", s’est-elle exclamée, avant d’être
démentie par son collègue du Budget, Jérôme Cahuzac.
On n’en est pas encore aux actes.
Mais l’ombre des grands ciseaux se précise…

Voir le tableau : 30 mesures d'économies possible

Les Français pensaient-ils pouvoir conserver éternellement leur système de protection sociale, probablement le plus
généreux du monde ?
Ils se trompaient lourdement.
Certes, contrairement à tous ses voisins, notre pays a réussi pour le moment à le préserver tant bien que mal.
Entre les prestations familiales, les pensions de retraite, les remboursements maladie, les aides au logement et
autres minima sociaux, l’Etat, les collectivités locales et les organismes sociaux vont encore distribuer cette année
quelque 600 milliards d’euros, près du tiers de notre richesse nationale.
Mais, il faut se rendre à l’évidence, on ne pourra pas continuer longtemps comme ça.
Pour ramener le déficit public à zéro à la fin de son quinquennat comme il s’y est engagé, François Hollande va en
effet devoir réduire les dépenses publiques de 60 milliards d’euros à l’horizon 2017.
C’est l’équivalent de la moitié de la masse salariale de la fonction publique à effacer d’un coup de gomme !
Autant dire que même en taillant à mort dans les effectifs de l’Etat
– ce n’est d’ailleurs pas au programme –
même en mettant les administrations, les régions et les communes au régime sec, même en rognant jusqu’à l’os
les programmes d’investissement nationaux, on ne pourra jamais dégager une telle somme.

.../...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
suite et fin

La plupart des économistes le reconnaissent donc sans ambages :
si l’on veut tenir le cap, et l’on n’a guère le choix face aux marchés financiers, il faudra forcément sacrifier une partie
de nos prestations sociales.
"On ne pourra pas faire autrement que de les réformer", confirme un proche de Hollande.
Au reste, notre système de protection sociale croule lui-même depuis des années sous les déficits.
Faut-il le rappeler ? La Sécu a affiché 20 milliards de trou l’an dernier, la dette sociale atteint désormais 10,5% du PIB,
dix fois plus qu’en 2001.
Et si rien n’est fait, le seul régime des retraites devra trouver 25 milliards en 2020 pour assurer son équilibre.
"Pendant des années, on n’a pas osé dire la vérité aux gens, tonne Yves Bur, ancien rapporteur UMP du budget de
la Sécu à l’Assemblée nationale.
On ne peut pas continuer à reporter nos dépenses sociales sur les générations futures."

la suite sur http://www.capital.fr/enquetes/econ...loir-faire-des-sacrifices-841503#xtor=EPR-226


:fou: :pleurs:

mam
 
Te casse pas la tête MAM80, la plus part des francais ne comprenne rien et d un côté il sont raison quand on est dans le couloir de la mort on ne reflechie plus au futur mais au bon moment du passé, pour l instant les centaines de rustines maintiennent le bateau a flot, taux d emprunt est a combien ?
 
Te casse pas la tête MAM80, la plus part des francais ne comprenne rien et d un côté il sont raison quand on est dans le couloir de la mort on ne reflechie plus au futur mais au bon moment du passé, pour l instant les centaines de rustines maintiennent le bateau a flot, taux d emprunt est a combien ?

trouve nous des solutions lala marya j'en suis sur tu as les compétences
 

tompope

beauté intérieure
Retraite, allocations, santé… cette fois, il va falloir faire des sacrifices
Source : Capital
08/05/2013 à 05:00 / Mis à jour le 08/05/2013 à 11:30


On croyait notre système de protection sociale à l’abri ?
Pressé de trouver 10 milliards d’économies cette année et 60 milliards d’ici 2017, le gouvernement n’aura pas d’autre
solution que de tailler dans nos prestations.


Va falloir payer les dettes publiques, mais les banques refusent, car elles ont un chèque chaque mois avec les intérêts des dettes..

Pourquoi les politiciens refusent-ils cette solution simple ? On se demande, car seul Mélenchon a cette solution , d'annuler les dettes publiques, au lieu d'enrichir les banques.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
surtout que l'état a renfloué les banques il n'y a si longtemps
à fond perdu
une honte

il faudrait réagir
j'ignore comment
toutes les idées par ici, les bladinettes et bladinautes

mam
 

tompope

beauté intérieure
surtout que l'état a renfloué les banques il n'y a si longtemps
à fond perdu
une honte

il faudrait réagir
j'ignore comment
toutes les idées par ici, les bladinettes et bladinautes

mam

Y aucun moyen car les politiques sont au service des banques et ça ne peut pas changer si facilement, sauf si le front de gauche prend le pouvoir, soit une chance sur 1000. :rolleyes:
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
non msamen ce serait pire
et interdit par l'U.E.
tompope : pourquoi ne pas s'attaquer aux banques de france et à leurs filiales à l'étranger, justement
et mettre des personnes "techniques" aux ASSEMBLEES à la place des personnes "politiques"

mam
 

tompope

beauté intérieure
tompope : pourquoi ne pas s'attaquer aux banques de france et à leurs filiales à l'étranger, justement
et mettre des personnes "techniques" aux ASSEMBLEES à la place des personnes "politiques"

mam

Impossible. Ce sont elles qui tiennent le pouvoir car l'argent achète tout. :)
Après je ne sais pas, je ne connais pas les solutions.
 

plotsk

Salam
surtout que l'état a renfloué les banques il n'y a si longtemps
à fond perdu
une honte

il faudrait réagir
j'ignore comment
toutes les idées par ici, les bladinettes et bladinautes

mam

Accessoirement, l'Etat s'est fait des belles plus-values en renflouant les caisses de ces banques...
 

plotsk

Salam
Faut revoir de A à Z nos dépenses ainsi que notre système économique, et l'adapter au monde moderne.

On a malheureusement un régime de protection sociale, des dépenses militaires, une politique économique etc. crées dans un monde de l'après-guerre, et qui n'a été que trop peu revisité depuis...

L'Europe aurait pu être quelque chose d'extraordinaire, mais vu comment elle s'est construite, c'est une bien belle connerie qui sert de boulet pour la France, la Belgique, les Pays Bas...
 

plotsk

Salam
tu veux dire que les banques ont remboursé
ce n'est pas les infos que j'ai lu

tu veux bien développer, stp, merci

mam

Oui, les banques ont remboursé leur dettes qui été liée au renflouement de 2009 (sauf Dexia, qui est un cas spécial..).

Et ce remboursement à permis à l'état de se faire près de 3 milliards d'Euros en intérêts et autres rémunération en plus du capital.

http://www.latribune.fr/entreprises...s-acquittent-de-leur-dette-envers-l-etat.html


3Milliards, c'est pas mal, c'est 30% des économies que l'état cherche à faire en 1 an.

ps: ton pseudo m'intrigue... ca veut dire quoi mam?
 

tompope

beauté intérieure
Faut revoir de A à Z nos dépenses ainsi que notre système économique, et l'adapter au monde moderne.


Mais que penses-tu que la plus grande dépense de l'état, c'est payer les intérêts sur ses dettes ?

Peux-tu citer les plus grandes dépenses de l'état français avec chiffres à l'appui ?
 
trouve nous des solutions lala marya j'en suis sur tu as les compétences
y'en a pas nada, tout a été construit sur du vent bein tant que la menagere peut mettre ces quelques courses dans le pannier ca va mais le jour ou elle pourra plus remplir son petit pannier car il rétrecit au fil des années la il faudra commencer a s" inquieter. Le pannier est le maître absolu.
 

plotsk

Salam
Mais que penses-tu que la plus grande dépense de l'état, c'est payer les intérêts sur ses dettes ?

Peux-tu citer les plus grandes dépenses de l'état français avec chiffres à l'appui ?

Effectivement, le plus grand poste de dépenses de l'état réside dans le paiement des intérêts de sa dette.

Mais tout ceci aurait été évité si nous n'avions pas des milliards et des milliards de déficit budgétaires (175 milliard€ l'année dernière)...car au final ces intérêts sont alimentés par la dette, qui est elle même alimentée par les déficit qui s'accumule.

Y a pas de secret, si on reste pendant 35 ans à dépenser chaque année plus que ce que l'on encaisse, c'est la catastrophe assurée.
Ce qui est encore plus grave, c'est qu'on finance des dépenses structurelles avec des déficits et de la dette (ce serait comme si un ménage finançait son alimentation, ses loisirs..par de la dette)

(et encore, on doit s'estimer heureux qu'en ce moment la france jouisse de taux exceptionnellement faibles..)

Donc au final, on revient au même problème: pour réduire le poids de la dette (qui coute cher à l'état), on doit réduire le déficit budgétaire (voire passer en excédent).
Cela passe par :
- soit augmenter les recettes (principalement en augmentant la pression fiscale)
- soit diminuer les dépenses

La première solution a (presque?) toujours été un échec, les exemples ne manquent pas récents: crise argentine 99-2001, turquie 2000, et plus récemment au Portugal où 2013 a été l'année de la plus forte augmentation d'impôt de son histoire.
On peut pas dire que ca a été un franc succès, ces mêmes pays ayant été obligé par la suite de procéder à des dévaluations, réductions drastiques dans leur dépenses etc.

La secondes solutions a été adoptée par certains pays soit à titre préventifs, soit parce qu'ils étaient au bord de la faillite.
On se souvient du Canada dans les années 90 qui était dans une situation budgétaire catastrophique, et qui a mené les réformes de fond (et courageuses) pour s'en sortir (et aujourd'hui avoir à 35% de dette publique), ou même de la Suède.

Et pour revenir à la France, le problème de fond est que certains postes de dépenses structurelles ont un poids disproportionné pour l'économie (j'en ai cité quelqu'uns)...Quant aux remboursement de la dette, si elle est là, c'est justement à cause des dépenses en question (elle tombe pas du ciel..)
 
Accessoirement, l'Etat s'est fait des belles plus-values en renflouant les caisses de ces banques...

Il aurait mieux fait de les nationaliser à 1€ symbolique, il aurait fait de meilleures plus-values, aujourd'hui et ça n'aurait été que justice, dans le Capitalisme une entreprise doit pouvoir faire des bénéfices mais aussi faire faillite, chose impensable pour le cas d'une banque, puisqu'elle tient en otage l'épargne des citoyens et des entreprises. La solution de la nationalisation donnait lieu à une "faillite" sans menacer l'épargne.

Et ça aurait donner un bol d'air à l'économie française.

Tu vois ce n'est pas vraiment l'Etat qui est gagnant ! pis, il est un âne avec de grandes oreilles, dans cette histoire.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
BPI : Ségolène Royal veut une "banque patiente" mais offensive ...et régle déjà quelques comptes

Le 07/05/2013 à 00:28 - La Tribune


La vice-présidente de la BPI considère l'organisme comme l'un des outils qui doit faire que la France devienne "un pays où il fait bon entreprendre".

De l'audace industrielle de gauche! Voilà ce qu'aimerait voir davantage Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes et vice-présidente de la Banque Publique d'Investissement (BPI). Dans une interview accordée à Libération et publiée ce mardi 7 mai, elle livre sa vision sur le rôle que doit jouer la nouvelle BPI. Elle considère l'organisme comme l'un des outils qui doit faire que la France devienne un pays où il fait bon entreprendre.

L'ancienne candidate à l'élection présidentielle la qualifie de nouvel outil économique offensif et défend les élus locaux qui en font partie. On nous a accusé de vouloir en faire une simple 'banque pompier'. Mais nous, élus locaux, connaissons parfois mieux les PME que les grands financiers qui sortent des entreprises du CAC40... lâche-t-elle.

Privilégier les PME et les ETI

Elle va même plus loin et tape du poing sur la table en demandant :
Pourquoi le comité de rémunération n'est pas encore en place ?
Pourquoi les interventions des ministres Pierre Moscovici et Arnaud Montebourg lors de la réunion du premier conseil d'administration
ne figuraient pas dans le compte rendu ?..
. Sur le profil des entreprises que la BPI doit accompagner, Ségolène Royal entend privilégier les PME ou les entreprises de taille
intermédiaire (ETI) qui pour l'instant ne gagnant pas d'argent,
mais en gagneront si on les aide à investir et exporter.
Elle met en avant l'aspect public de cette banque d'investissement en soulignant que celle-ci...

Lire l'article sur La Tribune http://www.planet.fr/revue-du-web-b...ues-comptes.347693.1912.html?xtor=ES-1-340761[Planet-a-la-Une]-20130509

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Cessions de participations : un nouvel outil dans la boîte de François Hollande ?
Le Monde.fr | 07.05.2013 à 11h19 • Mis à jour le 07.05.2013 à 12h51


Venu dresser un bilan de la première année de son gouvernement, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a affirmé, dimanche 5 mai, sur le plateau de TF1, qu'il était envisageable de financer des investissements en vendant des titres "d'un certain nombre d'entreprises publiques où le taux de participation de l'Etat, en tant qu'actionnaire, est très important".

Pour justifier cette mesure, il donne l'exemple de la généralisation de "l'Internet très haut débit", qui coûterait, selon lui, 20 milliards d'euros. Pourtant, l'annonce de privatisations, même minimes, de la part d'un gouvernement de gauche intrigue. Lundi, les valeurs des entreprises pouvant être concernées étaient en berne à la Bourse de Paris.

La gestion des participations financières de l'Etat est déléguée depuis 2004 à l'Agence des participations de l'Etat. Celle-ci gère un portefeuille d'actions dont la valeur totale avoisine les 62,5 milliards d'euros. Un patrimoine qui diminue lors des privatisations et cessions d'actifs.

DEPUIS 1986, 118,3 MILLIARDS D'EUROS DE RECETTE

L'Etat cède régulièrement des actifs, que ce soit pour financer son désendettement (23,1 milliards d'euros) ou le Fonds de réserve des retraites (1,6 milliard d'euros), recapitaliser les entreprises publiques (78 milliards d'euros) ou encore réaliser des investissements. Depuis 1986, ce mécanisme a été utilisé presque toutes les années, par tous les gouvernements à des échelles cependant très diverses. On estime ainsi les recettes totales à 92,8 milliards d'euros en monnaie courante, soit 118,3 milliards d'euros en euros constants.

Lire aussi : Jospin a-t-il plus privatisé que la droite ?

Avant l'annonce du premier ministre, le ministère de l'économie avait déjà annoncé avoir conclu des opérations similaires en 2013. En mars, l'Etat s'est séparé de 3,12 % des parts qu'il possédait dans le capital de l'équipementier aéronautique Safran. Bénéfice de l'opération : 450 millions d'euros et l'Etat reste propriétaire de 27,08 % de l'entreprise. Rebelote en avril avec la vente de 1,56 % puis 2,1 % de sa participation dans EADS pour un montant beaucoup plus important : 1,2 milliard d'euros.

QUELLES SONT LES ENTREPRISES VISÉES ?

Le 14 avril, le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg – cogestionnaire de l'Agence des participations de l'Etat avec le ministre de l'économie et des finances – avait déclaré sur France 5 qu'il était envisageable de réduire la participation de l'Etat dans GDF Suez (actuellement 36,71 % des parts). Une information démentie dès le lendemain par Bercy, qui n'excluait toutefois pas de réduire les participations dans les entreprises "non stratégiques". Pour le ministère, une autre règle doit être de "ne pas entamer l'influence de l'Etat" au niveau de la prise de décision.

Dimanche, Jean-Marc Ayrault n'a pas donné les noms des entreprises concernées mais financer totalement les 20 milliards d'euros de la généralisation de "l'Internet très haut débit" avec la vente d'actifs reviendrait à se séparer de plus de 30 % de la totalité du portefeuille de l'Etat.

Jules Bonnard

http://www.lemonde.fr/economie/arti...s-hollande_3171799_3234.html#xtor=AL-32280477


mam
 

n.echarif

j'achemine vers l'excelence
je me pose des questions par apport a ceux qui son vraiment en dessous du seuil de pauvreté,et a qui on demandera malheureusement de contribuer aux sacrifices alors qu ils sont déjà très mal, je pense a ses retraité(es) que je connais qui touche en tout et pour tout 400euros /mois EN FRANCE
 
Va falloir payer les dettes publiques, mais les banques refusent, car elles ont un chèque chaque mois avec les intérêts des dettes..

Pourquoi les politiciens refusent-ils cette solution simple ? On se demande, car seul Mélenchon a cette solution , d'annuler les dettes publiques, au lieu d'enrichir les banques.
si on annule la dette publique tout les pays voudront faire la même chose du pricipe je te tiens par la barbichette et tu me tiens par labarbichette, je sais pas si on peut dire au chinois qu on les remboursera pas et qu on les a eu comme des bleus
 
surtout que l'état a renfloué les banques il n'y a si longtemps
à fond perdu
une honte

il faudrait réagir
j'ignore comment
toutes les idées par ici, les bladinettes et bladinautes

mam
tu plaisant mam80 ou quoi, tu sais avec quoi l etat a renfloué les banque bein avec l'argent des francais et les rendant encore plus pauvre, ou en emettant des bon du tresor en d'autre terme l etat va s'endetter pour payer les banques car si les banques s'effondre c'est tous les francais qui vont tout perdre et se retrouvé du jour au lendemain comme en ethiopie, ca parait incroyable mais ca la vérité, les banques et les assurances controle la planete entiere connecté entre elle et bien sur dependante l'une de l'autre, c'est truc de fou
 
Imprimé des billets ?
les etats unis le font chaque jour il imprime des milliard chaque jours le probleme tu fait perdre la valeur de ta monnaie, l equivalent d imprimer des billets c'est comme la magie ca fonctionne un certain temps et puis tout diparait et c'est pire qu avant, imagine que tous les pays du monde imprime des pays on fait quoi on s'echange des billets, non chaque billet fabrique doit correspondre a un bien physique si non on tombe dans le virtuel
 
non msamen ce serait pire
et interdit par l'U.E.
tompope : pourquoi ne pas s'attaquer aux banques de france et à leurs filiales à l'étranger, justement
et mettre des personnes "techniques" aux ASSEMBLEES à la place des personnes "politiques"

mam
toute les banques du monde sont connecté entre elle donc impossible de jouer a zorro, de deux c'est pas les politiques qui décide c'est les banques que nous avons nous même nourrient donc c'est nous qui alimentons les banques, c'est comme vous SI nourrissiez votre chien pendant des années et a la fin il vous mange.
 

tompope

beauté intérieure
Effectivement, le plus grand poste de dépenses de l'état réside dans le paiement des intérêts de sa dette.

Mais tout ceci aurait été évité si nous n'avions pas des milliards et des milliards de déficit budgétaires (175 milliard€ l'année dernière)...car au final ces intérêts sont alimentés par la dette, qui est elle même alimentée par les déficit qui s'accumule.


Ah non, les dettes publiques ont une origine simple : que l'état emprunte auprès des banques privées depuis 1973. Il n'aurait jamais du commencer cela. :rolleyes:
 

tompope

beauté intérieure
si on annule la dette publique tout les pays voudront faire la même chose du pricipe je te tiens par la barbichette et tu me tiens par labarbichette, je sais pas si on peut dire au chinois qu on les remboursera pas et qu on les a eu comme des bleus

Ce ne sont pas les Chinois qui détiennent les dettes françaises, mais des banques et assurances françaises :
1 AXA (France)
2 Allianz(France)
3 MMA (France)
4 CM-CIC (France)
5 BNP Paribas (France)
6 CNP Assurances (France)
etc.

Source :
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Qui-detient-la-dette-de-la-France-_39382-2018795_actu.Htm
 

plotsk

Salam
Ah non, les dettes publiques ont une origine simple : que l'état emprunte auprès des banques privées depuis 1973. Il n'aurait jamais du commencer cela. :rolleyes:

Effectivement, il emprunte en grande partie auprès des banques (mais aussi des ménages, d'autres états, institutions etc.)...mais si l'état emprunte autant, ce n'est pas pour faire joli ou faire partie du club "privilégié" des états qui s'endettent sur les marchés.

Si l'état emprunte (autant) sur les marchés financiers, c'est avant tout parce qu'il n'arrive pas à sortir de la spirale du déficit publique.

En fait, c'est l'incapacité de l'Etat français à garder un certain seuil d'endettement qui a fait qu'à partir des années 70 il a du commencer à se financer sur les marchés: la Banque de France et les ménages ne sont malheureusement pas un vivier infini en créances :(
 

tompope

beauté intérieure
Effectivement, il emprunte en grande partie auprès des banques (mais aussi des ménages, d'autres états, institutions etc.)...mais si l'état emprunte autant, ce n'est pas pour faire joli ou faire partie du club "privilégié" des états qui s'endettent sur les marchés.

Si l'état emprunte (autant) sur les marchés financiers, c'est avant tout parce qu'il n'arrive pas à sortir de la spirale du déficit publique.

En fait, c'est l'incapacité de l'Etat français à garder un certain seuil d'endettement qui a fait qu'à partir des années 70 il a du commencer à se financer sur les marchés: la Banque de France et les ménages ne sont malheureusement pas un vivier infini en créances :(

Quelles sont les solutions pour se débarrasser du poids des dettes publiques ?
Peut-on continuer comme cela à payer des intérêts ?
L'état sera un jour incapable de payer les intérêts aux banques.
Il est injuste de sacrifier les dépenses de l'état pour rembourser des dettes publiques.
L'état doit trouver une solution, car "réduction des dépenses publiques" = austérité = conséquences sociales qui peuvent provoquer une chute de régime et une dictature fasciste.
Les banques jouent à un jeu dangereux, à force de vouloir trop d'argent public, ça risque de leur retomber dessus. :(
Regardons la Grèce et la création du parti nazi, de telles choses peuvent arriver en France ou en Espagne, Italie, Allemagne...
 

SoumaSoum078

Je stresse comme un lutin !
VIB
Quelqu'un avait posté un article concernant les banquiers qui s'en mettent plein les poches pendant la crise, pendant que les peuples sont mis à genoux

Voilà le système que cautionnent quasiment tous les gouvernements dans le monde, ils bossent pour une élite qui les sommes de nous racketter.

na3lat LLah alayhoum
 

plotsk

Salam
Il aurait mieux fait de les nationaliser à 1€ symbolique, il aurait fait de meilleures plus-values, aujourd'hui et ça n'aurait été que justice, dans le Capitalisme une entreprise doit pouvoir faire des bénéfices mais aussi faire faillite, chose impensable pour le cas d'une banque, puisqu'elle tient en otage l'épargne des citoyens et des entreprises. La solution de la nationalisation donnait lieu à une "faillite" sans menacer l'épargne.

Et ça aurait donner un bol d'air à l'économie française.

Tu vois ce n'est pas vraiment l'Etat qui est gagnant ! pis, il est un âne avec de grandes oreilles, dans cette histoire.

Hmmm... je vois pas ce qui permettrait de présumer de la bonne santé des banques si elles étaient sous contrôle de l'état.

Aujourd'hui une des dernières banques sous le contrôle de l'Etat, c'est la caisse des dépots et consignations...Qui a finit avec une perte de 500millions d'€ l'année dernière (alors que les autres banques françaises [privées] étaient plutôt excédentaires).

Le soucis (et c'est une des raisons pour lesquelles elles avaient été privatisées), c'est que sous contrôle de l'état, la Banque a plus une vocation philanthropique et d'investissement hasardeux mêlé à de la bureaucratie...Qui fait que sur le long terme ca ne tient pas la route.

Si l'Etat avaient "10" caisses des dépôts dont il devrait supporter la gestion et les pertes... on serait étouffé.
 
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