Paris: La France noyée en Union Européenne, vivant à crédit et croulant sous une dette insoutenable, abandonne-t-elle son rôle économique en Afrique?
(Selon les avocats d’affaires, Jean-Jacques Lecat, président de la commission juridique et fiscale du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) et Deana d’Almeida, spécialiste de l’Afrique)
Pour investir dans un continent difficile comme l’Afrique, avec ces 54 pays et sa multitude de problématiques, une stratégie est la plus simple, la plus directe et la plus efficace : La création de holdings animatrices ou de centres de services destinés à coordonner ses activités dans un groupe d’Etats cibles.
Pour accueillir ses structures centralisant, jadis la France, était la base idéale, grâce à ses liens privilégiées culturelles, politiques et financiers avec l’Afrique. Or aujourd’hui, du fait de son recul, deux pays du continent africain, émergent comme ses successeurs voire ses remplaçants.
Selon les avocats d’affaires, Jean-Jacques Lecat, président de la commission juridique et fiscale du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) et Deana d’Almeida, spécialiste de l’Afrique, ces deux pays sont le Maroc et Maurice.
Les deux avocats internationaux ont signé une tribune à ce sujet, sur le site, LEXplicite, une publication du cabinet d’avocat d’affaires français, CMS Bureau Francis Lefebvre.
Jean-Jacques Lecat et Deana d’Almeida ont relevé que le Maroc et Maurice ont très intelligemment compris et exploité ce fait stratégique incontournable, relatif à l’aspect de l'investissement en Afrique.
Ce besoin en structures centralisant permettant d’aborder les marchés du continent avec un maximum de connaissances et un minimum de risques, le Maroc et Maurice sont en train d’en faire, leurs opportunités économiques.
Pour cela, explique les deux avocats français, autant le Maroc que Maurice, se sont armés d’arsenaux juridiques, fiscaux et réglementaires aussi attrayant, les uns que les autres, pour les investissements étrangers à destination de l’Afrique.
(Selon les avocats d’affaires, Jean-Jacques Lecat, président de la commission juridique et fiscale du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) et Deana d’Almeida, spécialiste de l’Afrique)
Pour investir dans un continent difficile comme l’Afrique, avec ces 54 pays et sa multitude de problématiques, une stratégie est la plus simple, la plus directe et la plus efficace : La création de holdings animatrices ou de centres de services destinés à coordonner ses activités dans un groupe d’Etats cibles.
Pour accueillir ses structures centralisant, jadis la France, était la base idéale, grâce à ses liens privilégiées culturelles, politiques et financiers avec l’Afrique. Or aujourd’hui, du fait de son recul, deux pays du continent africain, émergent comme ses successeurs voire ses remplaçants.
Selon les avocats d’affaires, Jean-Jacques Lecat, président de la commission juridique et fiscale du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) et Deana d’Almeida, spécialiste de l’Afrique, ces deux pays sont le Maroc et Maurice.
Les deux avocats internationaux ont signé une tribune à ce sujet, sur le site, LEXplicite, une publication du cabinet d’avocat d’affaires français, CMS Bureau Francis Lefebvre.
Jean-Jacques Lecat et Deana d’Almeida ont relevé que le Maroc et Maurice ont très intelligemment compris et exploité ce fait stratégique incontournable, relatif à l’aspect de l'investissement en Afrique.
Ce besoin en structures centralisant permettant d’aborder les marchés du continent avec un maximum de connaissances et un minimum de risques, le Maroc et Maurice sont en train d’en faire, leurs opportunités économiques.
Pour cela, explique les deux avocats français, autant le Maroc que Maurice, se sont armés d’arsenaux juridiques, fiscaux et réglementaires aussi attrayant, les uns que les autres, pour les investissements étrangers à destination de l’Afrique.