Si l’Iran s’occupait un peu plus de son propre postérieur, au lieu de vouloir fourrer son nez partout, il aurait peut-être investi dans sa stabilité interne, plutôt que de dilapider ses ressources à exporter sa doctrine chiite, déstabiliser les pays sunnites, soutenir des groupes hostiles comme le Polisario, les Houthis,... en jouant les pyromanes à l'international.
L’Iran, c’est l’antithèse parfaite de la Turquie : là où Ankara avance avec calcul, diplomatie et influence économique, Téhéran s’enfonce dans une posture d’URSS théocratique, avec des rêves au-dessus de ses moyens… et un ventre plus grand que les jambes. Résultat : humiliation géopolitique, et un pays infiltré de fond en comble. Dommage pour les inventeurs du jeu d’échecs… ils n’ont pas vu venir le mat.