Israël compte exiger des milliards de plusieurs pays arabes

C'est un truc de ouf......ils ont spolié les terres, les ressources, les vies et en plus ils veulent un chèque!!
Il faudrait faire des comptes aussi et voir en faveur de qui y a un solde à payer.
 
Tu sais que être juif n'a rien à voir avec la politique ? j'ai l'impression que tu utilises des mots dont tu ne connais pas le sens.

quesque j'ai écrit qui t'a fait pensé ça?

Mélanger juif et sioniste c'est prendre un musulman pour un type de l' EI

mouuuuuuué!!! si on veut mais de loin...tréééééééés loin!


certains veulent à tout prix embellir le vécu des juifs en terre arabe et effacer certains épisodes peu glorieux et honorant.



allééé!!!!! encore une victime!! vas y développe ! quesqui ton fé les arabes
 
Isra-hell = National Sionisme. Les sionistes sont les plus grands faussaires de l'Histoire , ça apparait de plus en plus au grand jour et s'ils n'était pas au pouvoir des principaux pays occidentaux pour décider des lois qui protègent le sionisme et leurs multiples turpitudes/mensonges , il y a longtemps qu'ils se seraient calmés!
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
Au total, sept pays pourraient être concernés, selon I24news qui cite la chaîne Hadashot. Parmi eux figurent la Tunisie, la Libye, le Maroc et l’Egypte. Au premier pays, Israël compte demander 35 milliards de dollars de réparation. Au deuxième 15 milliards de dollars.

Depuis un an et demi, l’état d’Israël collabore en toute discrétion avec un cabinet international pour évaluer les biens appartenant à des centaines de milliers de juifs du Moyen-Orient.
Selon le même média, quelques 856.000 juifs auraient été expulsés ou auraient fui une dizaine de pays arabes après la création d’Israël. En Algérie, la communauté juive comptait 130.000 personnes en 1948 et 1.500 en 1968. Au Maroc, ils étaient 286.000 en 1948 contre 50.000 en 1968.
source : https://www.alg24.net/juifs-expulses-israel-compte-exiger-milliards-plusieurs-pays-arabes/
Les biens palestiniens et les vies palestiniennes on en parle?
Le monde exige qu'israel rende les biens et les terres qu'il a volé...
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Rappel des faits Historiques ,
" Le sionisme au Maroc àl'ere coloniale
Certains historiens font remonter le sionisme au Maroc au… décret Crémieux qui octroie la nationalité française aux Juifs d'Algérie puis par extension aux Juifs marocains. Dès lors, toujours selon certains historiens, la «cassure» entre Musulmans et Juifs est corroborée par la différenciation administrative. L'Alliance israélite continue le processus de francisation des Juifs. Des mouvements sionistes se développent et organisent une conférence à Casablanca en 1930. En 1939, des centaines de Juifs s'engagent dans l'armée française. Sous Vichy, le Statut des Juifs est voté en 1940 mais son application reste modérée grâce au Sultan Mohammed V qui protège la communauté et déclare : «Il faudra prévoir vingt étoiles jaunes supplémentaires pour moi et ma famille». Dès la proclamation de l'Etat d'Israël en 1948, un climat de tension s'installe. A Oujda, des incidents sanglants ont lieu et la ville devient la plaque tournante d'un mouvement d'alyah clandestine. En 1949, plus de huit mille personnes partent en Israël. Lors de l'indépendance du Maroc en 1956, les Juifs occupent des postes importants dans le gouvernement et l'administration marocains. Mais les difficultés intérieures, la méfiance vis-à-vis des Juifs qui soutiennent Israël et l'instabilité politique, poussent les Juifs à quitter le Maroc pour la France, Israël, le Canada et les Etats- Unis. En 1977, il ne reste plus que vingt-cinq mille Juifs.
La aliah des Juifs du Maroc
On peut situer le debut du mouvement sioniste au Maroc dans les années 1900. Dès cette époque, des rabbins prirent contact avec Herzl pour rejoindre le mouvement. Lors du 5ème congrès sioniste en 1921, il fut annoncé la création de succursales de l'organisation sioniste au Maroc. Il s'agissait d'une simple participation passive, d'autant que les débats étaient en Yddish ou en Allemand ! D'autre part, les organisations sionistes européennes voyaient d'un mauvais œil le sionisme trop religieux des organisations d'Afrique du Nord. Jonathan Thurtz fut envoyé au Maroc et fonda en 1926 le journal de la communauté du Maroc : l'Avenir Illustré. Ce journal fut distribué dans tout le Maroc, et servit de lien entre la communauté juive, les mouvements sionistes dans le monde et la Palestine. Les contacts entre le judaïsme marocain et le mouvement sioniste furent complètement coupés suite au déclenchement de la seconde guerre mondiale. Ce n'est qu'après le débarquement des alliés que des liens se renouèrent et que la Aliah des juifs du Maroc commença à être plus importante.
1948-1956 Aliah autorisée
Durant cette période 92 000 juifs quittèrent le Maroc pour Israël. Suite à la création de l'état d'Israël en 1948, le gouvernement du protectorat francais au Maroc autorisa l'immigration des juifs marocains vers Israël, limitée par des quotas. Il fut stipulé que l'agence juive était autorisée à agir uniquement sous le couvert de l'organisation «Kadima» , organisation caritative qui existait déjà sur place. En mai 1949, l'agence juive ouvrit un bureau «Kadima» à Casablanca et un camp de transit à 26 kilomètres de là, près de Mazagan. Ce camp, dirigé par Amos Revel, avait une capacité de 1500 personnes et permettait le séjour temporaire des volontaires avant leur départ pour Marseille, vers le camp d'Arénas, puis Israël. D'autres bureaux virent le jour à Fès et Marrakech. L'indépendance du Maroc le 3 Mars 1956 marqua la fin de la Aliah officielle des Juifs du Maroc. En mai 1956, sous la pression de l'Istiqlal à l'intérieur du pays et de Nasser qui était son allié, le roi Mohamed V ordonna la fermeture des bureaux de Kadima et l'évacuation vers Marseille des personnes encore dans le camp de transit. En quelques jours, 9000 personnes arrivèrent à Mazagan. Les conditions sanitaires y furent vite insoutenables, manque d'hygiène et de nourriture, plusieurs tombèrent malades et certains moururent. Les autorités bloquèrent les issues afin que personne ne rentre ni ne sorte du camp. Après de nombreuses négociations, le gouvernement autorisa le départ de 6 300 personnes vers Marseille. Dans les faits 12 600 Juifs arrivèrent à prendre la fuite. Le camp fut définitivement fermé le 29 octobre 1956. A partir de cette date, plus aucun passeport ne fut donné, à aucun Juif, quelle que soit la destination souhaitée. Ce fut le début de la Aliah clandestine.
1956-1961 Aliah clandestine
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Durant cette période, 30 000 juifs quittèrent le Maroc pour Israël, car avec le déclenchement de la lutte pour l'indépendance du Maroc, se posa en Israël la question de la sécurité des Juifs au Maroc. En Juillet 1954, le Mossad, en collaboration avec le Département de l'immigration de l'Agence Juive (DEJJ), décida d'établir une mission au Maroc sous le nom d'organisation juive d'autodéfense. Le réseau clandestin commença à se mettre en place au Maroc en été 1955, sous le nom de Misgueret. Le premier responsable du réseau pour le Maghreb fut Shlomo Havilo. La Misgueret se divisait en 5 branches : la défense (protection du réseau et de la communauté juive) , le renseignement, l'arrière (relations entre les autorités locales et les institutions juives) «ballet» (inscription des émigrants) «chorale» (évacuation des émigrants). Les responsables de branches étaient Israëliens. Le recrutement des cadres et des membres du réseau se faisait au sein des mouvements de jeunesse déjà implantés sur place, mais obligés de rentrer en clandestinité. Le DEJJ eut un rôle très particulier : n'étant pas un mouvement sioniste, ses activités étaient moins surveillées ; ce qui permit à ses membres d'avoir de grandes responsabilités en prenant moins de risques. Les premières communautés à partir, furent les Juifs des montagnes de l'Atlas. C'étaient des communautés isolées, plus menacées dans les moments de tensions. Les familles étaient conduites en autobus, camions ou voitures vers Tanger. De là, elles obtenaient un laissez-passer espagnol ou britannique et étaient acheminées en bateau vers Gibraltar ou Algésiras. En juillet 1957 les frontières furent fermées aux Juifs, le passage clandestin s'organisa par Ceuta et Mellilia avec la complicité secrète du gouvernement espagnol. A partir de 1958 , à cause des arrestations de plus en plus nombreuses et de la dégradation des relations entre l'Espagne et le Maroc, Shlomo Havilio mit en place le transport des émigrants au moyen de barques de pêcheurs appartenant à des contrebandiers. En 1959, les relations postales entre le Maroc et Israël furent interrompues. Les juifs du Maroc se sentirent prisonniers du pays, à la merci de n'importe qui pouvant les accuser de sionisme et les envoyer en prison. Fin 1959, Isser Harel décida de mettre en place un laboratoire de faux passeports à Casablanca.
Début 1960 un service de poste parallèle, s'organisa via la France
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Face aux difficultés croissantes, les tensions montèrent entre Isser Harel et Shlomo Havilio. Ce dernier fut limogé et remplacé par Ephraim Rouelle. Alex Gatmon, nouveau responsable de la Misgueret au Maroc prit ses fonctions en décembre 1960. A partir de l'été 1960, une ancienne vedette de la Royal Air Force fut louée par la Misgueret afin de ne plus dépendre de contrebandiers. Il fut baptisé Egoz . Mais le 11 janvier 1961 le bateau coula près des côtes d'Al Hoceima. Cet évènement, en dévoilant au monde le secret de l'exode des Juifs marocains, souleva une émotion considérable, mais suscita la colère des autorités marocaines. Une campagne d'affichage de tracts de la Misgueret demandant aux Juifs du Maroc de respecter une minute de silence à la mémoire des disparus, appelée opération Bazak, envenima la situation. De nombreuses personnes furent arrêtées et les activités de la Misgueret quasiment stoppées. Le 26 Février 1961, le roi Mohamed V mourut et son fils Hassan II accéda au trône. Les négociations reprirent sur de nouvelles bases avec le nouveau roi. Après de difficiles tractations, un accord fut établi, sous condition que les juifs partent pour toutes destinations autres qu'Israël dans le cadre d'organisations non sionistes, que les départs s'effectuent discrètement et surtout qu'une indemnité financière soit versée. Israël accepta le contrat et un montant de 50 dollars fut fixé pour chaque personne. Certains parlèrent de centaines de milliers de dollars payés par Israël…
Durant cette période 80 000 juifs quittèrent le Maroc pour Israël. L'accord officieux entre Israël et le roi du Maroc marqua le début de l'opération Yakhin. Fin septembre 1961, les Juifs commencèrent à recevoir les passeports qu'ils attendaient depuis des années.Le Mossad décida que la Hias servirait de couverture pour la aliah des Juifs vers Israël. Cette association (Hebrew Immigration associated service) était une association humanitaire établie à New-York dont les bureaux au Maroc avaient fermé en 1956. Raphaël Spanien fut nommé à la tête de la Haias pour cette mission.
Mohamed Oufkir (responsable du service de la sureté à l'époque) et le réseau mirent en place le principe de passeports collectifs pour faciliter les procédures administratives. Cette idée avait germé la première fois lors de l'été 1961, alors que l'émigration vers Israël était totalement paralysée. 27 Novembre 1961, Oufkir signa le premier passeport collectif. Le 28 Novembre 1961 le premier convoi partait vers Israël. Les voyages s'organisèrent de nuit, par avion ou bateau. Les émigrants étaient acheminés vers le camp de transit Arenas près de Marseille, puis un autre bateau les emmenait vers Israël. C'est en effet dès le début des années 60, que les autorités marocaines et les services secrets israéliens tissent des liens très étroits. Sous l'impulsion des stratèges occidentaux qui s'inquiétaient sur le plan des équilibres démographiques vis-à-vis des populations arabes de la Palestine, le jeune Etat hébreu conscient de son avenir sur le plan démographique, s'est empressé de conclure un accord avec les autorités marocaines. Cet accord est négocié par un collaborateur d'Oufkir ; en échange, les puissances occidentales offriraient leur soutien contre le panarabisme et les idéologies progressistes très ferventes à l'époque et hostiles aux régimes monarchiques des pays arabes.
Quant au choix de l'organisation de cette émigration massive et clandestine à partir des côtes rifaines, il s'explique par deux raisons :
- La situation géographique exceptionnelle de la région avec son relief difficile et ses multiples criques à l'abri des regards,
- Le fait que la région était à l'époque «bien quadrillée» par l'armée marocaine,et donc à l'écart des yeux de la population ...
A la fin de l'année 1964 il ne restait plus au Maroc que 90 000 juifs. La plupart des familles isolées avaient émigré en Israël ou avaient rejoint les grandes agglomérations.
 
Sauf que ,,!les juifs marocains pas attardé mais plus bledar que les nordistes n'avaient aucune connaissance du mot
SIONISTE SIONISME ,ce mouvement de départ à eu lieu en Russie tsariste 60 ans avant ,son organisation rigoureuse planifié avait pour but de fuire les pogroms ,ensuite ils sont venu pioche dans le vivier marocain pour une raison très simple la natalité sioniste était inférieur à la palestinienne,,,,,et s'ils avaient pu se passer des juifs marocains ,,,!,,mais bon on ne va pas refaire le monde.
 
il faut dire aussi: combien de marocains musulmans ont eux aussi eu qu'une seule idée en tête : quitter le Maroc pour un pays occidental (France puis Belgique/Allemagne puis Espagne/Italie puis Suède puis n'importe quel pays occidental) et c'est toujours le cas. Donc comment dedans ce cas penser que les juifs marocains qui avaient d'énormes facilités d'immigration vers Israel mais aussi vers ces mêmes pays occidentaux auraient pu rester dans un Maroc nouvellement indépendant? Ni l'économie marocaine ni l'archaïsme de la société marocaine musulmane ne l'auraient permis. il faut le reconnaitre le Maroc n'a jamais été un pays attractif pour y vivre, beaucoup de ses jeunes n'ont qu'une idée en tête, le quitter et cela arrange bien le gouvernement marocain même si dans le fond ça prouve la faiblesse du Maroc et d'une société marocaine à fuir car trop liberticide, trop intolérante et hypocrite.
 
il faut dire aussi: combien de marocains musulmans ont eux aussi eu qu'une seule idée en tête : quitter le Maroc pour un pays occidental (France puis Belgique/Allemagne puis Espagne/Italie puis Suède puis n'importe quel pays occidental) et c'est toujours le cas. Donc comment dedans ce cas penser que les juifs marocains qui avaient d'énormes facilités d'immigration vers Israel mais aussi vers ces mêmes pays occidentaux auraient pu rester dans un Maroc nouvellement indépendant? Ni l'économie marocaine ni l'archaïsme de la société marocaine musulmane ne l'auraient permis. il faut le reconnaitre le Maroc n'a jamais été un pays attractif pour y vivre, beaucoup de ses jeunes n'ont qu'une idée en tête, le quitter et cela arrange bien le gouvernement marocain même si dans le fond ça prouve la faiblesse du Maroc et d'une société marocaine à fuir car trop liberticide, trop intolérante et hypocrite.

j’espère pour toi que tu habite loin de cet enfer qui s'appelle le Maroc .... :D
 
A

AncienMembre

Non connecté
...ils n'ont pas été expulsés, ils ont abandonné leurs biens...et certains on profité de leur départ imminent pour racheter leurs commerces, c'est bien les derniers à pouvoir s'en plaindre quand on voit comme ils se prennent pour chasser les arabes de Jérusalem et comme ils ont spolié les palestiniens..
 
A mon avis tu devrais mieux regarder les 2 vidéos en boucle,dormir dessus ,et rebelote dans une semaine.
On parle ici de la condition humaine pas de la bassesse humaine qui fait bouger la tête dans tous les sens et donne le tourni
 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB
ils sucent tous les os qu'ils peuvent jusqu'a la moelle,

ces propositions ce sont les ashkénazes qui en sont à l'origine

aucun de ces FAUX ENFANT d'israél n'a vécu dans un pays arabe ou biblique , à part celui de la palestine dont ils ont volé et massacré le peuple.

pires que des requins psychopates
 
Dernière édition:

sba3doukali

zegg ighzar iqqoren al Doukkala
Il y a ps si longtemps au Maroc chaque famille juive devait offrir une fille pour la prostitution,
Car une musulmane n'avait pas le droit.
Bien sûr cette pratique n'était pas écrite mais proposée façon coutume locale de la soumission.
En 1979 c'est pas vieux j'ai connu un juif de cas a qui a terminé au trou à el jadida pour avoir refusé de ventre son commerce bien place à Casa.
Le déni n'est pas la meilleur solution.et la connerie de déplacé le problème sur un gouvernement sioniste n'ont plus.
Malheureusement, ce problème n'est pas propre aux juifs du Maroc,mais à l'ensemble des Marocains.
 

sba3doukali

zegg ighzar iqqoren al Doukkala
ils sucent tous les os qu'ils peuvent jusqu'a la moelle,

ces propositions ce sont les ashkénazes qui en sont à l'origine

aucun de ces FAUX ENFANT d'israél n'a vécu dans un pays arabe ou biblique , à part celui de la palestine dont ils ont volé et massacré le peuple.

pires que des requins psychopates
Les sépharades doivent un tout petit peu les soutenir...
 
Pourquoi pas d autres pays arabe comme l Algérie ?

Les juifs algériens ont ete transforme en citoyens français par le decret Crémieux. En 1962, il était donc administrativement des "étrangers", gravement compromis avec l'occupant français. Ils ont donc quitte le pays dans les mêmes bateaux volontairement par peur des représailles.
Les Israéliens peuvent difficilement le nier...
Et une très faible partie des juifs algériens a opté pour Israël (contrairement aux juifs marocains). Ils étaient français, ils ont été en France.
Pas fou non plus, a l'époque a choisir, il n'y avait pas photo.
 
Il y a ps si longtemps au Maroc chaque famille juive devait offrir une fille pour la prostitution,
Car une musulmane n'avait pas le droit.
Bien sûr cette pratique n'était pas écrite mais proposée façon coutume locale de la soumission.
En 1979 c'est pas vieux j'ai connu un juif de cas a qui a terminé au trou à el jadida pour avoir refusé de ventre son commerce bien place à Casa.
Le déni n'est pas la meilleur solution.et la connerie de déplacé le problème sur un gouvernement sioniste n'ont plus.
ça c était des privilèges de pauvres ... la misère elle, n est pas antisémite !
 
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