Israël: le mouvement des réservistes de l'armée refusant de servir à Gaza prend de l'ampleur

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Toujours aucun résultat concret dans les échanges pour un accord de cessez-le-feu et la libération d'un certain nombre d'otages. Les dirigeants israéliens estiment que la pression militaire pourrait porter des fruits dans les semaines qui viennent. Mais le mouvement de protestation des réservistes de l'armée israélienne continue à prendre de l'ampleur. Et selon les médias l'armée reconnait avoir des difficultés à recruter des réservistes combattants.

Derniers en date à prendre part en Israël à ce mouvement de contestation : plus de 1 500 réservistes et vétérans du corps des blindés de l’armée israélienne qui dans une lettre ouverte demandent, eux aussi, l'arrêt de la guerre à Gaza et le retour des otages par la voie diplomatique. Avec parmi les signataires notamment l'ancien premier ministre et chef d’État-major Ehud Barak.

Auparavant, ce sont les réservistes et anciens parachutistes qui se sont joints au mouvement et aussi les vétérans du Mossad, l’agence de renseignement extérieure israélienne. Parmi eux, plusieurs anciens directeurs de cette institution. Tout avait commencé la semaine dernière avec des centaines d’aviateurs. Ce sont à ce stade les seuls à avoir été évincées de l’Armée israélienne, bien que, point commun à toutes ces lettres ouvertes, elles ne font pas mention du moindre refus de servir dans le cadre de périodes de réserves.

Le manque de combattants « devient critique »​

Mais selon le journal israélien Yediot Aharonot le chef d'État-major israélien prévient que le manque de personnel combattant devient critique. Seuls 60 à 70% des réservistes répondent à l'appel. Pour le général Eyal Zamir, il sera difficile d'atteindre les objectifs de la guerre fixés par le cabinet. Toujours selon le journal Yediot Aharonot, le général en chef israélien conseille aux ministres de renoncer à une partie de leurs « fantasmes sur Gaza ».

 
Le terme « gaze » (un tissu léger utilisé en médecine) provient de l'arabe « Ghazza », en raison du fait que les habitants de Gaza étaient d'excellents tisserands pendant des siècles.

Cela m'a amené à réfléchir :

Combien de nos blessures ont été soignées grâce à leur savoir-faire, et combien des leurs demeurent encore ouvertes à cause de la complicité avec Israël de nos dirigeants ?
 
Toujours aucun résultat concret dans les échanges pour un accord de cessez-le-feu et la libération d'un certain nombre d'otages. Les dirigeants israéliens estiment que la pression militaire pourrait porter des fruits dans les semaines qui viennent. Mais le mouvement de protestation des réservistes de l'armée israélienne continue à prendre de l'ampleur. Et selon les médias l'armée reconnait avoir des difficultés à recruter des réservistes combattants.

Derniers en date à prendre part en Israël à ce mouvement de contestation : plus de 1 500 réservistes et vétérans du corps des blindés de l’armée israélienne qui dans une lettre ouverte demandent, eux aussi, l'arrêt de la guerre à Gaza et le retour des otages par la voie diplomatique. Avec parmi les signataires notamment l'ancien premier ministre et chef d’État-major Ehud Barak.

Auparavant, ce sont les réservistes et anciens parachutistes qui se sont joints au mouvement et aussi les vétérans du Mossad, l’agence de renseignement extérieure israélienne. Parmi eux, plusieurs anciens directeurs de cette institution. Tout avait commencé la semaine dernière avec des centaines d’aviateurs. Ce sont à ce stade les seuls à avoir été évincées de l’Armée israélienne, bien que, point commun à toutes ces lettres ouvertes, elles ne font pas mention du moindre refus de servir dans le cadre de périodes de réserves.

Le manque de combattants « devient critique »​

Mais selon le journal israélien Yediot Aharonot le chef d'État-major israélien prévient que le manque de personnel combattant devient critique. Seuls 60 à 70% des réservistes répondent à l'appel. Pour le général Eyal Zamir, il sera difficile d'atteindre les objectifs de la guerre fixés par le cabinet. Toujours selon le journal Yediot Aharonot, le général en chef israélien conseille aux ministres de renoncer à une partie de leurs « fantasmes sur Gaza ».

Si on croyait le récit du Réseau Voltaire, on en viendrait à penser que « la société israélienne » aurait soudain des états d’âme ou des bonnes intentions, on en oublierait presque qu’elle a soutenu le génocide et l’aplatissement de Gaza à plus de 90%, pour un peu on serait en présence de démocrates et non de sionistes barbares.

 
Ils vont finir par être rongés psychiquement à cause de leurs actes ou des actes de leurs ***-citoyens issraeliens. Ça va finir en suicides ou en asile psychiatrique comme leurs homologues GI zetasuniens après les guerres qu'ils ont menées et leurs lots de barbarie.
 
Ils vont finir par être rongés psychiquement à cause de leurs actes ou des actes de leurs ***-citoyens issraeliens. Ça va finir en suicides ou en asile psychiatrique comme leurs homologues GI zetasuniens après les guerres qu'ils ont menées et leurs lots de barbarie.

Ça ne serait que justice vu le traumatisme à répétition qu'ils infligent aux enfants de Palestine depuis si longtemps.
De Syrie d'Irak du Liban surtout après Sabra et Chatila et non stop en Palestine ont inscrit le tramatisme profond dans l'ADN de ces enfants innocents.

Ceux qui arment financent et garantissent l'impunité à ce Frankenstein en sont directement responsables.

L'occident a fabriqué un monstre par culpabilité au M.O. pour la Shoah européenne.

Du jamais vu...faire en sorte qu'une région entière au M.O. paie pour les crimes commis en Europe où l'antisémitisme a frappé.

Les arabes sont les collatéraux en millions depuis les guerres occidentales directes ou par procuration.

Et ça donne des leçons ensuite.

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