Italie : un ministre insulte un marocain de « bâtard » et de « drogué »

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C'est un ministre de l'Intérieur enflammé qui a défendu un nouveau projet de loi sur les drogues en basant l'essentiel de son argumentaire sur un Marocain qui a provoqué un accident de la circulation grave. Et le traitant de tous les noms.
Matteo Salvini a traité un Marocain de « bâtard », de « drogué » et de « trou du C… » afin de faire pencher les votes du côté du pour concernant le nouveau projet de loi sur les drogues que son parti d'extrême droite a proposé.
Ce marocain précisément, Marouane F., (...)

- Marocains du monde / Italie, Drogues, Prison, Immigration

Italie : un ministre insulte un Marocain de « bâtard » et de « drogué »
 
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Hessia a dit:
Ce n'est pas parce qu’il est marocain qu'il obtiendra mon soutient, une racaille responsable selon l'article du dc de deux adultes et de deux enfants.
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Un ministre doit avoir de la hauteur et de la retenue dans le langage. Il ne montre aucune éducation. Il peut dire ce qu'il dit sans recourir à un langage des égouts. Je me demande s'il parlerait ainsi de la maffia italienne qui tue tout autant en Italie. Je ne crois pas qu'il aurait un tel courage.
 
Hessia a dit:
Oui, mais pas de respect pour les dealers
tfaçon eux meme se font un jour ou l'autre buter par leur employeur italien, la mafia
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Ma compassion, je la réserve aux victimes et pas aux meurtriers. Il n'en demeure pas moins qu'un ministre se doit d'etre à la hauteur de sa mission et se doit de maitriser son langage. Salvini multiplie les injures et les impolitesses sur les sujets de société et l'immigration en particulier. Ce n'est pas la première fois ni la dernière qu'il recourt à des injures pour s'exprimer.
 
C'est un ministre d'extrême droite. Nous avons déjà une position claire vis à vis de lui et du carnaval populiste qu'il amène aux instances de pouvoir ou se votent les lois sans passions. Notre avis sur l'abjection de ses posture est faite.
Le dealer drogué qui a cause la destruction de familles n'a droit à aucune compassion de ma part. Et toute loi qui pourrait bannir ses semblables de la circulation est la bienvenue proposée par le diable fut elle.
 
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