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Par Mélissa Krazem le 27 avril 2012 à 10:30
Une idée saugrenue ? pour linstigateur japonais de cette proposition, Takuro Morinaga, la taxation des hommes en fonction de leur physique est tout à fait légitime. Ce professeur déconomie à luniversité de Dokkyo explique sa démarche par la nécessité de lutter contre le célibat des hommes moins plaisants à regarder.
Ainsi, Morinaga préconise la création dun conseil dévaluation de la beauté tenu de répartir la population masculine japonaise en quatre catégories : Les beaux, les normaux, les moyennement moches et les moches. Tous les goûts nétant pas dans la nature pour léconomiste, celui-ci affirme pouvoir mettre en place une échelle de valeur de la beauté sur laquelle sera indexée une taxe dont la valeur augmentera en fonction des atouts physiques des imposables, les plus charmants spécimens étant bien évidemment taxés à 100%.
Cette pratique permettra ainsi aux nippons les plus laids davoir assez dargent pour tomber les femmes qui évidemment succomberont aux charmes dun portefeuille bien rempli. On se demande qui sont les principales victimes de cette contestable proposition. Les beaux qui devront se délester dune partie de leur salaire durement gagné ? Les laids, souffrant de la stigmatisation dune société où la beauté se quantifie ? Ou bien les femmes considérées comme des personnes vénales, uniquement guidées par lapât du gain. Il va sans dire quil est peu probable que cette idée de génie soit un jour réalisée dans la pratique.
Source : 7 sur 7
Par Mélissa Krazem le 27 avril 2012 à 10:30
Une idée saugrenue ? pour linstigateur japonais de cette proposition, Takuro Morinaga, la taxation des hommes en fonction de leur physique est tout à fait légitime. Ce professeur déconomie à luniversité de Dokkyo explique sa démarche par la nécessité de lutter contre le célibat des hommes moins plaisants à regarder.
Ainsi, Morinaga préconise la création dun conseil dévaluation de la beauté tenu de répartir la population masculine japonaise en quatre catégories : Les beaux, les normaux, les moyennement moches et les moches. Tous les goûts nétant pas dans la nature pour léconomiste, celui-ci affirme pouvoir mettre en place une échelle de valeur de la beauté sur laquelle sera indexée une taxe dont la valeur augmentera en fonction des atouts physiques des imposables, les plus charmants spécimens étant bien évidemment taxés à 100%.
Cette pratique permettra ainsi aux nippons les plus laids davoir assez dargent pour tomber les femmes qui évidemment succomberont aux charmes dun portefeuille bien rempli. On se demande qui sont les principales victimes de cette contestable proposition. Les beaux qui devront se délester dune partie de leur salaire durement gagné ? Les laids, souffrant de la stigmatisation dune société où la beauté se quantifie ? Ou bien les femmes considérées comme des personnes vénales, uniquement guidées par lapât du gain. Il va sans dire quil est peu probable que cette idée de génie soit un jour réalisée dans la pratique.
Source : 7 sur 7