«Je suis à bout» : pour les familles qui hébergent des réfugiés ukrainiens, le revers de la solidarité

Offrir un toit à un réfugié est une chose. L’accueillir sur le long terme au sein de son foyer en est une autre. De nombreux Français qui se sont engagés à aider des Ukrainiens commencent à déchanter, deux mois après le début de l’invasion russe qui a occasionné l’exode de plus de cinq millions de personnes. En France, selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration, environ 70.000 Ukrainiens bénéficient actuellement de l’allocation de subsistance accordée par l’État, qui s'élève à 426 euros par mois. Mais celle-ci ne suffit le plus souvent pas à assurer l’autonomie des réfugiés, et met plusieurs semaines avant d'être perçue.

Charge aux familles de subvenir à leurs besoins. «Il nous semblait indispensable d’aider. On savait qu’on hébergeait une famille sans contrepartie : en revanche, on n’avait pas songé au fait qu’il faudrait investir un temps et un argent infini pour les aider», confie Sophie Agier. Cette maraîchère installée près de Tours, mère de quatre enfants...

 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB
Les maghrébins et africains sont débrouillards et frugaux, avec les 426 euros ils auraient même assez pour subvenir à certains besoins de leur famille d'accueil, mais les européens ont la culture de la dépense inutile et du je-pense-qua-ma-geule, ils sont capables de squatter et piller les frigos sans aucune contrepartie et sans aucune gêne, allah ikhli&a tarbia
 
Offrir un toit à un réfugié est une chose. L’accueillir sur le long terme au sein de son foyer en est une autre. De nombreux Français qui se sont engagés à aider des Ukrainiens commencent à déchanter, deux mois après le début de l’invasion russe qui a occasionné l’exode de plus de cinq millions de personnes. En France, selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration, environ 70.000 Ukrainiens bénéficient actuellement de l’allocation de subsistance accordée par l’État, qui s'élève à 426 euros par mois. Mais celle-ci ne suffit le plus souvent pas à assurer l’autonomie des réfugiés, et met plusieurs semaines avant d'être perçue.

Charge aux familles de subvenir à leurs besoins. «Il nous semblait indispensable d’aider. On savait qu’on hébergeait une famille sans contrepartie : en revanche, on n’avait pas songé au fait qu’il faudrait investir un temps et un argent infini pour les aider», confie Sophie Agier. Cette maraîchère installée près de Tours, mère de quatre enfants...

Ils font chié le figaro et cie à vouloir qu'on s'abonne pour lire de la M....
 

Bjorn

Мир без Путина، زندگی، آزادی Слава Україні
Bladinaute averti
Les maghrébins et africains sont débrouillards et frugaux, avec les 426 euros ils auraient même assez pour subvenir à certains besoins de leur famille d'accueil, mais les européens ont la culture de la dépense inutile et du je-pense-qua-ma-geule, ils sont capables de squatter et piller les frigos sans aucune contrepartie et sans aucune gêne, allah ikhli&a tarbia
Ils sont surtout débrouillards pour venir profiter de la bienveillance de l'union européenne.
 
Ils sont surtout débrouillards pour venir profiter de la bienveillance de l'union européenne.
ils profitent pas ils travaillent ! après oui,parmi eux il y a des profiteurs tout comme les européens et je voudrais rajoutée que beaucoup de francais ce sont proposés à aidés les ukrainiens parcequ'ils ont une allocation en contre partie comme les familles d'accueil sans ça,on les compterait sur les doigts d'une main ceux qui aident par charité
 
Dernière édition:

1HundredEyes

Vive la Palestine
VIB
Offrir un toit à un réfugié est une chose. L’accueillir sur le long terme au sein de son foyer en est une autre. De nombreux Français qui se sont engagés à aider des Ukrainiens commencent à déchanter, deux mois après le début de l’invasion russe qui a occasionné l’exode de plus de cinq millions de personnes. En France, selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration, environ 70.000 Ukrainiens bénéficient actuellement de l’allocation de subsistance accordée par l’État, qui s'élève à 426 euros par mois. Mais celle-ci ne suffit le plus souvent pas à assurer l’autonomie des réfugiés, et met plusieurs semaines avant d'être perçue.

Charge aux familles de subvenir à leurs besoins. «Il nous semblait indispensable d’aider. On savait qu’on hébergeait une famille sans contrepartie : en revanche, on n’avait pas songé au fait qu’il faudrait investir un temps et un argent infini pour les aider», confie Sophie Agier. Cette maraîchère installée près de Tours, mère de quatre enfants...

 
Offrir un toit à un réfugié est une chose. L’accueillir sur le long terme au sein de son foyer en est une autre. De nombreux Français qui se sont engagés à aider des Ukrainiens commencent à déchanter, deux mois après le début de l’invasion russe qui a occasionné l’exode de plus de cinq millions de personnes. En France, selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration, environ 70.000 Ukrainiens bénéficient actuellement de l’allocation de subsistance accordée par l’État, qui s'élève à 426 euros par mois. Mais celle-ci ne suffit le plus souvent pas à assurer l’autonomie des réfugiés, et met plusieurs semaines avant d'être perçue.

Charge aux familles de subvenir à leurs besoins. «Il nous semblait indispensable d’aider. On savait qu’on hébergeait une famille sans contrepartie : en revanche, on n’avait pas songé au fait qu’il faudrait investir un temps et un argent infini pour les aider», confie Sophie Agier. Cette maraîchère installée près de Tours, mère de quatre enfants...

L’ukrainienne est dépensière et exigeante…
 
Je ne suis pas abonnée au Figaro, je ne peux ps lire l'article dans son intégralité. Pouur autant quand je lis ceci :
«Il nous semblait indispensable d’aider. On savait qu’on hébergeait une famille sans contrepartie : en revanche, on n’avait pas songé au fait qu’il faudrait investir un temps et un argent infini pour les aider»
Je suis surprise... C'était juste prévisible.

Le vrai don régulier et pérenne est rare. Sans aides, peu de personnes suivent.
 
Haut