Je suis solitaire insociable....

Statut
La discussion n'est pas ouverte à d'autres réponses
grazielae les pervers narcissique touche femme et homme, je suis tomber en grave dépression suite a cette amitié...
Oui j'ai lu des témoignages là dessus..visiblement ça peut faire de gros dégâts. Toutes les relations sont à risque de toute facon des lors que toi tu es fragile, pas forcément besoin de tomber sur un(e) PN.
 
salem je me rend compte que je me sens bien que lorsque je suis seul, je supporte plus la foule, les gens, les amis

aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....sa vexe les amis, mais c'est plus fort que moi....

je m'ennuie en compagnie des autres et je les supporte dans un premier temp puis au fur et a mesure sa devient difficile pour moi de rester avec eux...

y a t'il des gens comme moi? pour en discuter merci

Normalement tu devrais fermer ton compte sur bladi et éteindre la lumière.
 
salam

c'est ce que j'essaie de faire en plus...je parle un peu mais après je m'en vais...je veux plus m'attacher...

salam alaykum ma belle,

Un petit pas de fait est toujours mieux que rien. L'attachement que tu refuses est compréhensive mais rien ne te garantit que la personne en face ne s'attache à toi, et cela tu ne peux rien y faire.

C'est à partir de là, que tu comprends l'amour que les gens te portent. Ils s'attachent à toi malgré toi. La présence, le peu de paroles que tu peux faire valent parfois mieux que tous les plus beaux discours.

qu'Allah te comble de bienfaits et de bonheur.
 
salem je me rend compte que je me sens bien que lorsque je suis seul, je supporte plus la foule, les gens, les amis

aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....sa vexe les amis, mais c'est plus fort que moi....

je m'ennuie en compagnie des autres et je les supporte dans un premier temp puis au fur et a mesure sa devient difficile pour moi de rester avec eux...

y a t'il des gens comme moi? pour en discuter merci

Tu es sans doute simplement mieux avec toi-même qu'en compagnie des autres. Rassure-toi, ca n'a rien d'une anomalie comportementale, c'est simplement une attitude érigée par une certaine norme sociale comme étant "a contrario" de ce qu'il est convenu de considérer comme "habituel" en termes de rapports sociaux. Mais ca n'a rien d'une pathologie à partir du moment où ca ne te rend pas misanthope à l'excès. Beaucoup de gens s'ennuient en compagnie d'eux-mêmes, ce qui n'est pas ton cas et c'est positif. Peut-être simplement as-tu du mal à être aussi bien en présence d'autrui qu'en ta propre compagnie. Te sens-tu vraiment "toi-même" lorsque tu es seule et cette impression te quitte-t-elle dès que tu en société ? Est-ce pour cela peut-être que tu as tendance à ne pas chercher ou prolonger le contact social ?
 
Ca me fait toujours rire les gens qui se disent solitaire etc...et en fait ils squattent les forums, sites de rencontres pour gratter un contact avec les humains.
Ce sont juste des névrosés qui s'ignorent.

Le personnage principal du film into the wilde ça c'est un solitaire.

zoubida tu et ridicule!!!!!!
 
B

belgika

Non connecté
grazielae les pervers narcissique touche femme et homme, je suis tomber en grave dépression suite a cette amitié...


Extrait d’un chapitre du livre de Marie-France Hirigoyen : « Le harcèlement moral » parlant des pervers narcissiques.




« Les pervers narcissiques culpabilisent à outrance leur proie, ne supportent pas d’avoir tort, sont incapables de discussions ouvertes et constructives ; ils bafouent ouvertement leur victime, n’hésitant pas à la dénigrer, à l’insulter autant que possible sans témoins, sinon ils s’y prennent avec subtilité, par allusions, tout aussi destructrices, mais invisibles aux regards non avertis.



Comme les vampires, le Narcisse vide a besoin de se nourrir de la substance de l’autre.

Quand il n’y a pas la vie, il faut tenter de se l’approprier ou, si c’est impossible, la détruire pour qu’il n’y ait de vie nulle part.


Les pervers narcissiques sont envahis par un autre dont ils ne peuvent se passer.

Cet autre n’est même pas un double, qui aurait une existence, seulement un reflet d’eux-mêmes. D’où la sensation qu’ont les victimes d’être niées dans leur individualité.

La victime n’est pas un individu autre, mais seulement un reflet.


Toute situation qui remettrait en question ce système de miroirs, masquant le vide, ne peut qu’entraîner une réaction en chaîne de fureur destructrice.


Ils ne souffrent pas.

Ils attaquent en toute impunité car même si, en retour, les partenaires utilisent des défenses perverses, ils ont été choisis pour n’atteindre jamais à la virtuosité qui les protégerait.


Les pervers peuvent se passionner pour une personne, une activité ou une idée, mais ces flambées restent très superficielles.

Ils ignorent les véritables sentiments, en particulier les sentiments de tristesse ou de deuil.

Les déceptions entraînent chez eux de la colère ou du ressentiment avec un désir de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s’empare d’eux lors des séparations.

Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d’obtenir une revanche.


Ce n’est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c’est une rancune inflexible à laquelle le pervers applique toutes ses capacités de raisonnement.


Les pervers, tout comme les paranoïaques, maintiennent une distance affective suffisante pour ne pas s’engager vraiment.

L’efficacité de leurs attaques tient au fait que la victime ou l’observateur extérieur n’imaginent pas qu’on puisse être à ce point dépourvu de sollicitude ou de compassion devant la souffrance de l’autre.


Le partenaire n’existe pas en tant que personne mais en tant que support d’une qualité que les pervers essaient de s’approprier.

Les pervers se nourrissent de l’énergie de ceux qui subissent leur charme.

Ils tentent de s’approprier le narcissisme gratifiant de l’autre en envahissant son territoire psychique.


Passant à côté d’eux-mêmes, ils essaient de détruire le bonheur qui passe près d’eux. Prisonniers de la rigidité de leurs défenses, ils tentent de détruire la liberté.

Ne pouvant jouir pleinement de leur corps, ils essaient d’empêcher la jouissance du corps des autres, même chez leurs propres enfants.

Etant incapables d’aimer, ils essaient de détruire par cynisme la simplicité d’une relation naturelle.


Il y a chez eux une exacerbation de la fonction critique qui fait qu’ils passent leur temps à critiquer tout et tout le monde.

De cette façon, ils se maintiennent dans la toute-puissance :


« Si les autres sont nuls, je suis forcément meilleur qu’eux. »


Le moteur du noyau pervers, c’est l’envie, le but de l’appropriation.

L’envie est un sentiment de convoitise, d’irritation haineuse à la vue du bonheur, des avantages d’autrui.

Il s’agit d’une mentalité d’emblée agressive qui se fonde sur la perception de ce que l’autre possède et dont on est dépourvu.

Cette perception est subjective, elle peut même être délirante.


L’envie comporte deux pôles : l’égocentrisme d’une part et la malveillance, avec l’envie de nuire à la personne enviée, d’autre part.

Cela présuppose un sentiment d’infériorité vis-à-vis de cette personne, qui possède ce qui est convoité.

L’envieux regrette de voir l’autre posséder des biens matériels ou moraux, mais il est plus désireux de les détruire que de les acquérir.

S’il les détenait, il ne saurait pas quoi en faire.

Il ne dispose pas de ressources pour cela.


Pour combler l’écart qui sépare l’envieux de l’objet de sa convoitise, il suffit d’humilier l’autre, de l’avilir.


Ils cassent tout enthousiasme autour d’eux, cherchent avant tout à démontrer que le monde est mauvais, que les autres sont mauvais, que le partenaire est mauvais.

Par leur pessimisme, ils entraînent l’autre dans un registre dépressif pour, ensuite, le lui reprocher.


Le désir de l’autre, sa vitalité, leur montre leurs propres manques.

On retrouve là l’envie, commune à bien des êtres humains, du lien privilégié que la mère entretient avec son enfant.


C’est pour cela qu’ils choisissent le plus souvent leurs victimes parmi des personnes pleines d’énergie et ayant goût à la vie, comme s’ils cherchaient à s’accaparer un peu de leur force.


L’état d’asservissement, d’assujettissement de leur victime à l’exigence de leur désir, la dépendance qu’ils créent leur fournit des témoignages incontestables de la réalité de leur appropriation.L’appropriation est la suite logique de l’envie.


Les biens dont il s’agit ici sont rarement des biens matériels. Ce sont des qualités morales, difficiles à voler : joie de

vivre, sensibilité, qualités de communication, créativité, dons musicaux ou littéraires…



Lorsque le partenaire émet une idée, les choses se passent de telle façon que l’idée émise ne reste plus la sienne mais devient celle du pervers.

Si l’envieux n’était pas aveuglé par la haine, il pourrait, dans une relation d’échange, apprendre comment acquérir un peu de ces dons.


Cela suppose une modestie que les pervers n’ont pas.



Les pervers narcissiques s’approprient les passions de l’autre dans la mesure où ils se passionnent pour cet autre ou, plus exactement, ils s’intéressent à cet autre dans la mesure où il est détenteur de quelque chose qui pourrait les passionner.



Il met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres : il critique sans en avoir l’air, dévalorise et juge.
- Il sème la zizanie et crée la suspicion autour de lui, chez ses proches ou avec ses collègues de travail… peut parfaitement tenir un discours donné avec Mme X et dire exactement le contraire, 3 minutes plus tard avec Mme Y.


Ils ont un total mépris pour toutes lois ou contrainte morales.


Leur morale est, le plus souvent, celle de la morale ou la loi du plus fort et/ou du plus rusé, du plus retors.


Il y a le plus souvent, dans leur comportement, la banalisation du mal, une certaine « relativisation » de la morale, dans le cadre d’un nihilisme opérationnel, qui peut même être militant.


Ils n’ont du respect que pour les gens plus forts qu’eux, ayant plus de pouvoir et de richesse ou plus combatifs qu’eux.
Faire preuve d’humanité, de sensibilité est souvent vu par eux comme l’expression d’une forme de naïveté ou de sensiblerie qui n’a pas lieu d’être.


Seuls les résultats comptent : » la fin justifie les moyens »


Le pervers narcissique n’éprouve aucun respect pour les autres.


Le pervers narcissique est toujours, intérieurement, dans la peau d’un autre, il n’est jamais sincère, toujours menteur.


Il peut aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb, d’une façon jusqu’au-boutiste (comme un « arracheur de dent »). Le plus souvent, il effectue de sensibles falsifications de la vérité, qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes.


Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise – ce qui est, pour l’autre, très déstabilisant – fait partie de son jeu.


Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique aime gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre.


Il est prêt à tout, même aux coups les plus retords, pour ne jamais perdre.


Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin.
 
B

belgika

Non connecté
Le pervers narcissique adore se valoriser, paraître plus qu’il n’est réellement.


Toute atteinte à la haute image qu’il a de lui-même le rend très méchant, agressif. Tous ses efforts viseront alors à rétablir cette image flatteuse qu’il a de lui-même, et ce par tous les moyens, y compris par la destruction du perturbateur, celui qui a commis le crime de lèse-majesté.
Il a une très haute opinion de lui-même. Les autres sont pour lui quantités négligeables – ce sont des larbins, des domestiques, des « peanuts »…
Il déteste qu’on lui fasse de l’ombre, qu’on se mette en avant, qu’on prenne de l’ascendant sur lui, qu’on lui résiste, qu’on lui dise non. Il a besoin sans cesse de rabaisser autrui, par une petite pique de-ci de-là (un tel n’a pas de personnalité, un tel est égoïste, un tel est ingrat, un tel est pingre…).
Un plaisir pervers s’éprouve dans la vision de la souffrance de l’autre. Le pervers ressent une jouissance extrême, vitale, à voir l’autre souffrir, à le maintenir dans le doute, à l’asservir et à l’humilier.



Il prend le plus souvent ses victimes parmi des personnes pleines d’énergie et d’amour de la vie, pour les vampiriser et les « dévitaliser ».


Il choisit de préférence des personnes honnêtes, sincères, gentilles, qui cherchent vraiment à consoler et à réparer, mais aussi naïves, sans trop d’esprit critique, voire fragiles, afin de les amener plus facilement et plus rapidement à accepter une relation de dépendance.



Les pervers narcissiques mariés ont souvent des épouses soumises qui ont sans doute peur de perdre leur « homme » et ne posent aucune question, même devant des évènements très troublants. L


eur relation avec leur mari est loin d’être parfaite, mais elles s’en contentent. Elles espèrent toujours se tromper sur son compte, ou le corriger avec leur amour.



On remarque que ces épouses (ou époux, le pervers narcissique n’est pas nécessairement masculin) se retrouvent un peu dans la même situation que celles des femmes battues.


Elles subissent graduellement un lavage de cerveau, d’autant plus facilement qu’elles-mêmes sont souvent à la recherche d’un compagnon qui puisse les structurer.


Elles peuvent même trouver excitant le côté sombre de leur partenaire. Elles peuvent être au courant de ses antécédents (problèmes de mœurs, prison, mauvaises actions racontées à l’envi par le pervers à son partenaire etc.) et pourtant tout lui pardonner.



Le pervers agit à l’abri des regards. Les maltraitances sont rarement sous le feu des projecteurs, mais plutôt perpétrées dans le secret des alcôves. Les pervers sont les professionnels de la double vie et de la double personnalité.



Par prudence, il divisera et cloisonnera ses relations, afin qu’on ne puisse pas recouper ses mensonges ou que ses victimes ne risquent pas de se s’allier contre lui. Sa technique, dans ce domaine, finit par être magistrale.



Le pervers narcissique se complaît dans l’ambiguïté.


Par ses messages paradoxaux, doubles,obscurs, il bloque la communication et place sa victime dans l’impossibilité de fournir des réponses appropriées, puisqu’elle ne peut comprendre la situation.


Elle s’épuise à trouver des solutions qui seront par définition inadaptées et rejetées par le pervers dont elle va susciter les critiques et les reproches.


Complètement déroutée, elle sombrera dans l’angoisse ou la dépression (voir Marie-France Hirigoyen, « Le Harcèlement Moral », « La communication perverse », p. 111).



Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d’y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes.


Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses.



Comme un rusé paysan, il est capable parfois de se faire passer pour bête et naïf, prêchant le faux pour savoir le vrai.


Un très bon moyen de guerre psychologique pour tirer les vers du nez d’une personne trop pleine de certitudes.



Au pénal, les pervers narcissiques ne bénéficient généralement pas d’une responsabilité altérée ou atténuée, comme on l’a vu dans le procès de Jean-Claude Romand : Le pervers connaît la loi et il est conscient de ce qu’il fait (simplement, il le fait quand même par défi, par jeu, pour le frisson).




Donc il reste responsable de son choix (en tout cas, il semble être responsable pénalement). »
Source : Marie-France Hirigoyen : « Le Harcèlement Moral »
 
pff c'est du pipo ce bouquin LOL :D
c'est à la mode ce mot "pervers narcissique", mais ce mot n'existe pas en psychologie.
bref....
 
B

belgika

Non connecté
[QUOTE="moulineto, post: 13470594, member: 377290"l'express c'est pas une référence intellectuelle non plus ... :D
"pervers narcissique" n'existe pas en psychologie ni en psychiatrie. Par contre, y a bien un "trouble de la personnalité narcissique" qui existe.[/QUOTE]


peu importe le nom que tu lui donnes, l'express enfin l article parle des victimes de MPN,des ravages causes par ces personnes, certains sont d'ailleurs emprisonnes, pour les victimes c'est un soulagement et une reconnaissance de leur statut de victime
 
salem je me rend compte que je me sens bien que lorsque je suis seul, je supporte plus la foule, les gens, les amis

aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....sa vexe les amis, mais c'est plus fort que moi....

je m'ennuie en compagnie des autres et je les supporte dans un premier temp puis au fur et a mesure sa devient difficile pour moi de rester avec eux...

y a t'il des gens comme moi? pour en discuter merci

qu'est-ce qu'il y a d'extraordinaire dans cette histoire
 

Iman07

VIB
salem je me rend compte que je me sens bien que lorsque je suis seul, je supporte plus la foule, les gens, les amis

aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....sa vexe les amis, mais c'est plus fort que moi....

je m'ennuie en compagnie des autres et je les supporte dans un premier temp puis au fur et a mesure sa devient difficile pour moi de rester avec eux...

y a t'il des gens comme moi? pour en discuter merci

Je suis comme toi dans une moindre mesure. J'ai besoin d'être seule parfois (bon souvent), sinon j'ai l'impression d'étouffer, ça me soule d'être trop entourée.
Mais par contre, j'ai besoin de savoir en même temps que je suis entourée, c'est un arrière plan rassurant disons. Mais au jour le jour, si je pouvais quitter tous les endroits avec des gens (que j'apprécie ou non) pour être seule, je le ferais sans arrêt.
 
Slm

C est un manque de confiance et d estime ..

Peur de l'abandon ?
Agoraphobie ?

Traumatisme ?

Pleins de choses peuvent être la causes ..

Il faut identifié ce qui a causer cet état d esprit et apprendre à dépasser tout sa .. Wa Lahou a3lam
 

mimiines

dum spiro spero
salem je me rend compte que je me sens bien que lorsque je suis seul, je supporte plus la foule, les gens, les amis

aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....sa vexe les amis, mais c'est plus fort que moi....

je m'ennuie en compagnie des autres et je les supporte dans un premier temp puis au fur et a mesure sa devient difficile pour moi de rester avec eux...

y a t'il des gens comme moi? pour en discuter merci
Oui moi je suis un peu comme ça j'aime énormément être seule et n'en souffre pas du tout, des années que je ne fréquente plus de copines à part au boulot et encore se sont des collègues je ne les vois pas en dehors du cadre pro
 
J'ai pas d'amis car je ne veux pas d'amis car les gens m'emmerdent mais je cherche des gens pour en parler ?

c limite comme démarche
 
aussitôt que une amitié commence a se crée je coupe cours et je donne plus de signe....

as salam alaykum

si tu passes par là...:mignon: @mamatus; je confirme tu ne donnes plus de signe, j'attends de tes nouvelles :timide:, j'espère que tu te portes bien et que tes angoisses ( autre post) n'ont été que passagères. qu'Allah te soutienne.

tite pensée avec tit wagons de bouzou pour ti...
 
J'ai pas d'amis car je ne veux pas d'amis car les gens m'emmerdent mais je cherche des gens pour en parler ?

c limite comme démarche

as salam alaykum @shams007

dans le sens, où si elle trouve des personnes comme elles, elles se comprendront dans le sens où l'éloignement et le non attachement seront parfaitement comprit sans engendrer de questions " où elle est ? etc..."
 
as salam alaykum @shams007

dans le sens, où si elle trouve des personnes comme elles, elles se comprendront dans le sens où l'éloignement et le non attachement seront parfaitement comprit sans engendrer de questions " où elle est ? etc..."

Il suffit de se lier d'amitiés avec des gens matures qui ne sont pas sur ton dos qd tu leur donnes pas tt le tps .

Ana guelt. C tt à fait mon genre mais je suis pire qu'elle car j'ai même pas envie d'en discuter je trouve que je n'ai pas de problème :D
 
Salam

Je m'incruste dans le club des marginaux lol.
Je suis comme toi, asociale et très solitaire.

C'est la méchanceté des gens qui m'a rendue ainsi.
 
A

AncienMembre

Non connecté
On dit Asociale, pas insociable ;)

Je suis (un peu) comme ca. Du moins solitaire, ça oui.
Après je me considère pas asociale mais plutôt réservé (en publique)

Moi non plus j'aime pas être constamment entouré. (même si c'est des amis)

Je pense tu devrais simplement te faire un petit groupe d'amis proches (si tu n'en a pas déjà)

Et ce que tu manque pas un peu de confiance en toi par hasard ?
 
  • J´aime
Réactions: w75
Statut
La discussion n'est pas ouverte à d'autres réponses
Haut