Easya
esperanza
J'allais liker puis j'ai vu ton commentaire du coup, je me suis abstenueC'est étrange, seules les femmes likent mon poste, je ne comprends pas. Elles sont si vilaines que ça?
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J'allais liker puis j'ai vu ton commentaire du coup, je me suis abstenueC'est étrange, seules les femmes likent mon poste, je ne comprends pas. Elles sont si vilaines que ça?
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Mais noooooon, fais-le, laisse la méchante en ti s'exprimer mdrrrr...J'allais liker puis j'ai vu ton commentaire du coup, je me suis abstenue![]()
Shams... C'est pas gentil de juger la madame, Mme Gorafi devrait publier un portrait pour expliquer sa détresse. Elle a perdu son petit canard de bain jaune à 7 ans et son doudou à 8, depuis elle souffre de troubles émotionnels sévères.le jeune fille n'est pas devenue méchante à cause d'Arthur, elle l'était déjà.
Vachement rester 2 ans avec un type qui te dégoute juste pour prendre du plaisir à l'humilierShams... C'est pas gentil de juger la madame, Mme Gorafi devrait publier un portrait pour expliquer sa détresse. Elle a perdu son petit canard de bain jaune à 7 ans et son doudou à 8, depuis elle souffre de troubles émotionnels sévères.
Je vois ça lol.Vachement rester 2 ans avec un type qui te dégoute juste pour prendre du plaisir à l'humilier
Oui je suis très 1er degré![]()
On sait jamais loooolLe jour où je posterai sérieusement dans HDC sur ma vie sentimentale n'est pas arrivé.
Non franchement je suis une vrai gentilleMais noooooon, fais-le, laisse la méchante en ti s'exprimer mdrrrr...
moi aussiNon franchement je suis une vrai gentille![]()
Tu as pourtant pas l'air si gentilmoi aussi
"Les gentils ont toujours tort"
Jim Carrey - The Mask
Mon histoire ressemble à celle de beaucoup de filles, mais elle se termine de façon bien différente.
J’ai rencontré Arthur sur les bancs de la fac. C’était un garçon plutôt timide, mais mignon, et avec un humour fin. Il plaisantait par exemple beaucoup sur son surplus de cérumen, alors que ça avait tendance à dégoûter les autres étudiants. Moi c’était le genre de détail qui m’attirait.
On se voyait de plus en plus, et ce qui devait arriver arriva. J’ai passé la nuit chez lui, dans sa petite chambre d’adolescent chez ses parents, où on a fait l’amour sous son poster de Bart Simpson qui fume un joint. C’était magique.
Mais ce début en forme de conte de fées ne pouvait pas durer éternellement. Arthur se montrait toujours gentil, attentionné, doux et j’avais vraiment l’impression de sortir avec une petite lavette, une « ******* molle » comme on dit chez les militaires (je viens d’une famille de militaires). Petit à petit, ses « textos gentils du matin » avaient tendance à m’agacer, comme sa bonne humeur permanente, même quand je le ridiculisais devant ses grands-parents (heureusement décédés depuis).
En deux ans de relation, j’ai fini par devenir un monstre qui voulait le voir souffrir. Je disais à tout le monde qu’il était nul au lit, et qu’il y avait toujours des odeurs bizarres dans sa chambre. J’ai aussi donné de l’argent à des réfugiés pour qu’ils le passent à tabac à la sortie de la gare de Saint-Maur-Créteil. Arthur s’en est sorti avec un bras cassé, mais il avait toujours le sourire, et il était encore plus amoureux.
J’ai fait alors ce qu’on aurait toutes fait : j’ai voulu le tromper avec son meilleur ami (il était pas mal), mais comme il n’était pas dispo, je me suis rabattu sur Alain, le père d’Arthur. Après un coup rapide dans la buanderie, j’ai tout avoué à Arthur, qui m’a quitté en pleurant. J’avais enfin eu ce que je voulais : le voir souffrir ! C’était le plus beau jour de ma vie.
Aujourd’hui, je regrette certaines choses (comme le fait d’avoir volé les bijoux de sa mère et les avoir vendus dans un Cash Converters) mais cette histoire m’a aidée à savoir ce que je veux vraiment dans ma vie amoureuse, et s’il fallait briser la vie de quelqu’un pour ça, alors ça en valait la peine.
Voilà, les garçons de Bladi ont raison, comme souvent, les filles aiment les saletés...
Source: MADAME GORAFI
http://madame.legorafi.fr/2016/05/1...ndant-deux-ans-et-je-suis-devenue-un-monstre/
tu veux te battre ? mdrTu as pourtant pas l'air si gentil
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Je viens juste de me rendre compte de la vraie Ortho de son pseudo. J'ai toujours dit arabyocharm@araboycharm mea culpa, toutes ces années, tu avais raison et je n'ai pas vu la vérité...![]()
Moi je suis content que les femmes fassent la misère aux ******** molles. Cela me permet d'être un ****** sans culpabiliser.Mon histoire ressemble à celle de beaucoup de filles, mais elle se termine de façon bien différente.
J’ai rencontré Arthur sur les bancs de la fac. C’était un garçon plutôt timide, mais mignon, et avec un humour fin. Il plaisantait par exemple beaucoup sur son surplus de cérumen, alors que ça avait tendance à dégoûter les autres étudiants. Moi c’était le genre de détail qui m’attirait.
On se voyait de plus en plus, et ce qui devait arriver arriva. J’ai passé la nuit chez lui, dans sa petite chambre d’adolescent chez ses parents, où on a fait l’amour sous son poster de Bart Simpson qui fume un joint. C’était magique.
Mais ce début en forme de conte de fées ne pouvait pas durer éternellement. Arthur se montrait toujours gentil, attentionné, doux et j’avais vraiment l’impression de sortir avec une petite lavette, une « ******* molle » comme on dit chez les militaires (je viens d’une famille de militaires). Petit à petit, ses « textos gentils du matin » avaient tendance à m’agacer, comme sa bonne humeur permanente, même quand je le ridiculisais devant ses grands-parents (heureusement décédés depuis).
En deux ans de relation, j’ai fini par devenir un monstre qui voulait le voir souffrir. Je disais à tout le monde qu’il était nul au lit, et qu’il y avait toujours des odeurs bizarres dans sa chambre. J’ai aussi donné de l’argent à des réfugiés pour qu’ils le passent à tabac à la sortie de la gare de Saint-Maur-Créteil. Arthur s’en est sorti avec un bras cassé, mais il avait toujours le sourire, et il était encore plus amoureux.
J’ai fait alors ce qu’on aurait toutes fait : j’ai voulu le tromper avec son meilleur ami (il était pas mal), mais comme il n’était pas dispo, je me suis rabattu sur Alain, le père d’Arthur. Après un coup rapide dans la buanderie, j’ai tout avoué à Arthur, qui m’a quitté en pleurant. J’avais enfin eu ce que je voulais : le voir souffrir ! C’était le plus beau jour de ma vie.
Aujourd’hui, je regrette certaines choses (comme le fait d’avoir volé les bijoux de sa mère et les avoir vendus dans un Cash Converters) mais cette histoire m’a aidée à savoir ce que je veux vraiment dans ma vie amoureuse, et s’il fallait briser la vie de quelqu’un pour ça, alors ça en valait la peine.
Voilà, les garçons de Bladi ont raison, comme souvent, les filles aiment les saletés...
Source: MADAME GORAFI
http://madame.legorafi.fr/2016/05/1...ndant-deux-ans-et-je-suis-devenue-un-monstre/