Jean-Marc Sylvestre invente « la langue musulmane, islamiste »

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande mosquée de Paris, réagit aux propos chocs de l'économiste Jean-Marc Sylvestre sur l'arabe qualifiée de « langue musulmane…islamiste ».
Le groupe Renault procédait à une époque à des campagnes de recrutement « en trois langues » dont « la langue musulmane, islamiste », a affirmé lundi l'économiste Jean-Marc Sylvestre à l'antenne de BFMTV. Suffisant pour susciter de l'indignation de la part du recteur de la Grande mosquée de Paris. Dans un (…)

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Jean-Marc Sylvestre invente « la langue musulmane, islamiste »
 
l'élite RF est démoniaque et depuis toujours ils ont endoctriné la populace à l'islamophobie
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Leur racisme fait partie de leur folklore.

Le Code Noir qui marquait les esclaves au fer rouge...les fortunes dues au trafic triangulaire à Bordeaux Nantes Havre...des famillies qui

ont donné des bourgeos exploiteurs...on les retrouvera dans les colonies avec le travail forcé de l'Indochine à l'Afrique en plus impôts qui

pressure les indigènes dont la pauvreté saute aux yeux pour que les colons aient le même confort qu'en metropole en faisant suer le

burnous.

Le chemin de fer de Congo Ocean a fait plus de 20.000 morts.

Ça entretient la supposée moindre valeur de l'indigène...ce racisme vient de là.

La hiéarchie des races établie par les pseudos scientifiques qui ont inspiré le nazisme.

C terrible ce qu'ils ont fait endurer à l'indigène maghrébin d'Afrique noire malgache ou indochinois...jusqu'en Nelle Calédonie ou à

Saint Domingue qui croule encore sous la dette imposée pour indemniser les familles

esclavagistes français...c Napoléon qui a rétabli l'esclavage et les premiers gazages au souffre dans les cales des bateaux.

J lu La sueur du bournous...écrit par un médecin colonial témoin de l'exploitation et injustices.


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Conquête de l'Algérie

.« Apportez des têtes, des têtes ! Bouchez les conduits crevés avec la tête du premier Bédouin que vous rencontrerez. » (Harangue citée par le baron Pichon : Alger sous la domination française, p.109.)

Pourquoi prenait-on ces femmes ? Qu’en faisait-on ?

« Vous me demandez, dans un paragraphe de votre lettre, ce que nous faisons des femmes que nous prenons. On en garde quelques-unes comme otages, les autres sont échangées contre des chevaux, et le reste est vendu à l’enchère comme bêtes de somme. »
(Lettre datée de Mascara, 31 mars 1842.)

« II est vrai que nous rapportons un plein baril d’oreilles récoltées paires à paires sur les prisonniers, amis ou ennemis. »

« ... Des cruautés inouïes, des exécutions froidement ordonnées, froidement exécutées à coups de fusil, à coups de sabre, sur des malheureux dont le plus grand crime était quelquefois de nous avoir indiqué des silos vides. »

« En vertu des instructions du général en chef de Rovigo, un corps de troupe sorti d’Alger, pendant la nuit du 6 avril 1832, surprit au point du jours la tribu endormie sous ses tentes, et égorgea tous les malheureux El-Ouffia sans qu’un seul chercha même à se défendre.

Tout ce qui vivait fut voué à la mort ; on ne fit aucune distinction d’âge ni de sexe. Au retour de cette honteuse expédition, nos cavaliers portaient des têtes au bout des lances. » (Christian : L’Afrique française, p. 143.)

« Tout le bétail fut vendu à l’agent consulaire du Danemark. Le reste du butin fut exposé au marché de la porte Bab-Azoun (à Alger).

On y voyait des bracelets de femme qui entouraient encore des poignets coupés, et des boucles d’oreilles pendant à des lambeaux de chair.

Le produit des ventes fut partagé entre les égorgeurs. » (Dieuzalde : Histoire de l’Algérie, tome I, p. 289.)
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