ça coûte combien ?
SECURITE - 88 athlètes israéliens sont arrivés lundi à Paris pour les Jeux olympiques. Une délégation qui fait l’objet d’une sécurisation d’ampleur compte tenu du contexte international
Faire en sorte que l’Histoire ne se répète pas. Cinquante-deux ans après les JO de Munich, restés tragiquement célèbres après la prise d’otages meurtrière de onze athlètes israéliens, la question de la sécurité de cette délégation est plus que jamais au cœur de l’actualité à trois jours de l’ouverture des Jeux de Paris. « Cela fait partie des problématiques majeures en matière de sécurité, on n’a pas le droit à l’erreur », insiste une huile de la police nationale. La délégation israélienne a toujours été identifiée comme faisant partie de celles nécessitant un dispositif renforcé, au même titre, par exemple, que les Etats-Unis ou l’Iran. Mais depuis le 7 octobre et l’attaque du Hamas, cette sécurisation est entrée dans une autre dimension.
Au quotidien anglais The Telegraph, le chef des services secrets intérieurs israéliens, le Shin Bet, a indiqué que plusieurs athlètes avaient récemment reçu des lettres de menace, les invitant notamment à leur propre enterrement. Au-delà des craintes concernant l’intégrité physique de la délégation, les autorités s’attendent à des mouvements contestataires pour dénoncer la guerre menée à Gaza
SECURITE - 88 athlètes israéliens sont arrivés lundi à Paris pour les Jeux olympiques. Une délégation qui fait l’objet d’une sécurisation d’ampleur compte tenu du contexte international
Faire en sorte que l’Histoire ne se répète pas. Cinquante-deux ans après les JO de Munich, restés tragiquement célèbres après la prise d’otages meurtrière de onze athlètes israéliens, la question de la sécurité de cette délégation est plus que jamais au cœur de l’actualité à trois jours de l’ouverture des Jeux de Paris. « Cela fait partie des problématiques majeures en matière de sécurité, on n’a pas le droit à l’erreur », insiste une huile de la police nationale. La délégation israélienne a toujours été identifiée comme faisant partie de celles nécessitant un dispositif renforcé, au même titre, par exemple, que les Etats-Unis ou l’Iran. Mais depuis le 7 octobre et l’attaque du Hamas, cette sécurisation est entrée dans une autre dimension.
Au quotidien anglais The Telegraph, le chef des services secrets intérieurs israéliens, le Shin Bet, a indiqué que plusieurs athlètes avaient récemment reçu des lettres de menace, les invitant notamment à leur propre enterrement. Au-delà des craintes concernant l’intégrité physique de la délégation, les autorités s’attendent à des mouvements contestataires pour dénoncer la guerre menée à Gaza
