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derriere ce mot islamophobie il y a beaucoup d'hypocrisie
exemple l'on m'accuse d'etre islamophobe parce que je critique l'islam
ou certain accuse la france d'etre islamophobe car la france refuse de ce plier sous la pression des islamiste notament sur la question du voile ...
Fais toi soigner
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Fais toi soigner
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Sur le terme @Quovadis
la différence c'est que personne ici ne leur interdit d'enlever leur voile.
la différence c'est que personne ici ne leur interdit d'enlever leur voile.
Autant que je puisse en juger, la propagande anti-musulmans (et anti-arabes) que l'on voit actuellement se déployer plus ou moins subtilement n'est pas sans analogie avec la propagande judéophobe du 19e siècle...
encore un exemple de l'inversion des valeurs qui se répand dans nos sociétés
la différence c'est que personne ici ne leur interdit d'enlever leur voile.
Comme en Afghanistan, au Pakistan, en Arabie saoudite...La différence est qu'on leur interdit de le mettre....laissons leur le choix...
Mais quand la minute pour charlie hebdo ou Samuel Paty est contestée dans les écoles, c'est normal.Le trouble se fait sentir également lorsque l’hommage et la minute de silence même sont discutés.
et quand un musulman tue au nom de l'islam, ces mêmes politiques parlent de malade mental pour ne pas stigmatiser la communauté musulmane. mais là parce que le tueur n'est pas musulman, il faudrait victimiser la communauté musulmane ?Ce refus de reconnaître, de nommer, d’admettre, de regarder la réalité sans détour est celui d’un pays où l’islamophobie est niée, et on mesure aujourd’hui la force de ce déni : on refuse le mot « islamophobie » pour éviter d’affronter le phénomène. Perdre du temps à se demander s’il faut ou non parler d’islamophobie, c’est une insulte à la mémoire de la victime, une insulte pour toutes celles et ceux qui ressentent depuis samedi dernier un trouble grandissant, cela témoigne d’une tentative de faire à tout prix écran à la réalité. C’est permettre que la haine soit dissimulée sous d’autres dénominations : la pathologie, le hasard, la « fascination pour la mort »… C’est refuser aux musulmans une parole politique sur ce qu’ils subissent. En d’autres termes, c’est reproduire la logique même qui autorise la haine à prospérer.