la raison derriére acuusation des musulmans et les cathos d'avoir pratiqué l'esclavage??c'est juste pour qu'on vous cache ce qui suit
comme le dit le proverbe arab;ramatni bidaaih wanssalat:elle m'a jeté son mal et s'est enfuie)
QUAND LA BIBLE NOUS INSPIRE
Lesclavagisme en colonies dAmérique du Sud et des Caraïbes
Les négociants desclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations dAmérique du sud et des Caraïbes. On ne retrouve plus aujourdhui de trace écrite de protestation contre ce comportement. Cest alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion nintervient nullement. Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors quils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position déquilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main duvre desclaves dIndiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir desclaves avec quasiment 10.000 Africains et lexportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs. La compagnie hollandaise dInde de louest est créée en 1621 dans le seul but de gagner de largent. Les Juifs investissent massivement dans lentreprise qui se destine à toute forme de commerce, y compris lesclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du développement économique, encouragent ainsi les Juifs à émigrer [très astucieux...] et la Hollande devient très rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive. Marcus Arkin écrit « depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,...) sont dépendantes des colonies, il nest nullement surprenant que de retrouver les Juifs dAmsterdam concernés par le commerce vers lAsie et le nouveau monde.
Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées ».
Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant limplication des Juifs au Brésil : « A part leur position importante dans lindustrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves . De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent dAfrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine dun Noir à lépoque...], Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce desclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il nexistait pas non plus de compétition pour lachat des esclaves qui étaient payés à crédit jusquà la prochaine saison de vente du sucre. Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées. ». Moshe Kahan déclare sans ménagements quen 1653-1658, « les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin...avaient dimportantes sommes dargent à leur disposition ». Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que « les navires nappartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs ».
Torture
4- Lesclavagisme aux Etats-Unis( pays des evangelistes )
Lesclavagisme aux États-Unis commence avec la conquête du nouveau monde. Les navires effectuent alors un triangle entre lEurope, lAfrique et les Amériques. Ils vendent des produits manufacturés en Afrique, prennent des esclaves à destination du Brésil, des Caraïbes ou des Etats-Unis et reviennent en Europe avec du sucre et dautres matières premières. Cest lart de loptimisation des investissements dans lequel on peut rendre hommage au génie créatif en affaires des Juifs. Durant quasiment 4 siècles des millions dAfricains sont « exportés » vers les Amériques. Durant le 18ème siècle, les Juifs participent activement dans le négoce desclaves. Certains Juifs contrôlent même les marchés où sont fixés les prix, telle une denrée ! Mais on assiste également à des histoires émouvantes de romantisme. Cest ainsi que Aaron Levy, le fondateur de Aaronsburg en Pennsylvanie, achète Rachel, une esclave noire, dans le milieu des années 1780 et lemmène à Philadelphie. Il la libère, léduque et lépouse. Elle repose désormais dans le cimetière Mikve Israël, à proximité de la tombe de Hayim Salomon, le financier de la Révolution américaine (cf 1776). En 1793, Eli Whitney invente le fil à coton et cest lenvol des plantations de cette matière première consommatrice de main duvre, plus particulièrement desclaves bon marché qui fait exploser le marché. Lun des nombreuses études effectuées par Ira Rosenwaike, publiée par lAmerican Jewish Historical Society (Société dhistoire juive américaine), montre que 75% des Juifs du sud des Etats-Unis possèdent des esclaves noirs [avant lélection de Lincoln], alors que seuls 36% des Blancs en ont.
Le Rabbin Isaac Meyer Wise , lun des champions de la réforme libérale juive et le plus actif de tous les Rabbins aux Etats-Unis au 19ème siècle, soutient activement lesclavagisme des Noirs, appelle Abraham Lincoln un « imbécile » et argumente que les Noirs sont des « bêtes accablantes » [Rappelons que Lincoln est lun des rares présidents américains qui nest pas élu avec les voix des Juifs, car il soppose à lesclavagisme et lorsquil est élu en 1860, il labolit immédiatement, ce qui déclenche la guerre de sécession]. En 1896, un éditorial dans le Jewish South de Richmond, en Virginie, argumente que les « Nègres [dans le texte] sont intellectuellement,moralement et physiquement une race inférieure - un fait que personne ne peut dénier » et, lors de la mort du sénateur [Juif] du Maryland, Isador Rayner, un journaliste noir écrit que Rayner « évoque auprès de ses voisins de couleur les terreurs des pogroms ». Lorsque le Bnai Brith et lADL (Ligue anti-diffamation) - organisme contrôlé par les « lobbies qui nexistent pas », léquivalent de la LICRA (Ligue Internationale contre le racisme et lantisémitisme) en France - publient leur pamphlet, en 1976, intitulé « Les Juifs américains : leur histoire », sur les 13 pionniers juifs américains, 10 dentre eux sont liés au négoce de lesclavagisme ... [comme quoi, plus vous êtes esclavagiste, raciste et antisémite et mieux il est préférable dadhérer à ce genre dorganisation pour vous donner bonne conscience...] Du reste, les quotidiens suivants : The San Francisco Chronicle, The San Francisco Examiner, The Los Angeles Times et dautres encore, révèlent depuis de nombreuses années quaux Etats-Unis, lADL pratique lespionnage et constitue des dossiers sur 950 organisations et 10.000 individus dont la plupart sont des groupes de Noirs, y compris la célèbre NAACP (National Association for the Advancement of Coloured People ou Association nationale pour lavancement des personnes de couleur), fondée en 1909 par des groupes de militants multiraciaux. Le Général israélien Moshe Dayan ne dit-il, voici quelques années, pas que les forces militaires américaines se dégradent parce quelles sont composées de Noirs « avec peu dintelligence et aucune éducation ». Il insiste alors pour que les Etats-Unis recrutent « du sang neuf et de meilleurs cerveaux ». Il est considéré comme un héros dans son pays ! Lorsquon leur relate ces faits, certains contradicteurs argumentent sur des points qui prêtent volontiers à sourire.
Liquidation pendant le voyage
En voici deux :
le premier, que les négociants juifs sont contraints par les Chrétiens de devenir des marchands desclaves et effectuer le « sale boulot » pour leur compte ;
le second, que sans ces marchands, le nombre de victimes, en particulier de la faim, serait encore plus catastrophique !
Jen oublie un dernier, qui correspond à celui quils utilisent en dernier ressort, lorsquils ne trouvent plus darguments solides : cest faire preuve dantisémitisme que de relater ces faits, oui ils se victimisent Il nen demeure pas moins que le mot magique « antisémitisme » est lâché, celui qui fait taire tous les journalistes et ramènent dans le rang de la « pensée unique » tous les Présidents et membres des gouvernements.
Est-ce de la diffamation que de dénoncer ce génocide par les juifs et chretiens envers les noirs afin quil ne se renouvelle plus ?Non ! Cest une définition
QUAND LA BIBLE NOUS INSPIRE
Lesclavagisme en colonies dAmérique du Sud et des Caraïbes
Les négociants desclaves juifs fournissent des Noirs par dizaines de milliers vers les plantations dAmérique du sud et des Caraïbes. On ne retrouve plus aujourdhui de trace écrite de protestation contre ce comportement. Cest alors une affaire purement commerciale dans laquelle la religion nintervient nullement. Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors quils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position déquilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main duvre desclaves dIndiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir desclaves avec quasiment 10.000 Africains et lexportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs. La compagnie hollandaise dInde de louest est créée en 1621 dans le seul but de gagner de largent. Les Juifs investissent massivement dans lentreprise qui se destine à toute forme de commerce, y compris lesclavagisme. Les dirigeants hollandais, en faisant la promotion du développement économique, encouragent ainsi les Juifs à émigrer [très astucieux...] et la Hollande devient très rapidement le centre du pouvoir et de la fortune juive. Marcus Arkin écrit « depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,...) sont dépendantes des colonies, il nest nullement surprenant que de retrouver les Juifs dAmsterdam concernés par le commerce vers lAsie et le nouveau monde.
Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées ».
Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est beaucoup plus explicite concernant limplication des Juifs au Brésil : « A part leur position importante dans lindustrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves . De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent dAfrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine dun Noir à lépoque...], Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce desclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il nexistait pas non plus de compétition pour lachat des esclaves qui étaient payés à crédit jusquà la prochaine saison de vente du sucre. Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées. ». Moshe Kahan déclare sans ménagements quen 1653-1658, « les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin...avaient dimportantes sommes dargent à leur disposition ». Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que « les navires nappartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs ».
Torture
4- Lesclavagisme aux Etats-Unis( pays des evangelistes )
Lesclavagisme aux États-Unis commence avec la conquête du nouveau monde. Les navires effectuent alors un triangle entre lEurope, lAfrique et les Amériques. Ils vendent des produits manufacturés en Afrique, prennent des esclaves à destination du Brésil, des Caraïbes ou des Etats-Unis et reviennent en Europe avec du sucre et dautres matières premières. Cest lart de loptimisation des investissements dans lequel on peut rendre hommage au génie créatif en affaires des Juifs. Durant quasiment 4 siècles des millions dAfricains sont « exportés » vers les Amériques. Durant le 18ème siècle, les Juifs participent activement dans le négoce desclaves. Certains Juifs contrôlent même les marchés où sont fixés les prix, telle une denrée ! Mais on assiste également à des histoires émouvantes de romantisme. Cest ainsi que Aaron Levy, le fondateur de Aaronsburg en Pennsylvanie, achète Rachel, une esclave noire, dans le milieu des années 1780 et lemmène à Philadelphie. Il la libère, léduque et lépouse. Elle repose désormais dans le cimetière Mikve Israël, à proximité de la tombe de Hayim Salomon, le financier de la Révolution américaine (cf 1776). En 1793, Eli Whitney invente le fil à coton et cest lenvol des plantations de cette matière première consommatrice de main duvre, plus particulièrement desclaves bon marché qui fait exploser le marché. Lun des nombreuses études effectuées par Ira Rosenwaike, publiée par lAmerican Jewish Historical Society (Société dhistoire juive américaine), montre que 75% des Juifs du sud des Etats-Unis possèdent des esclaves noirs [avant lélection de Lincoln], alors que seuls 36% des Blancs en ont.
Le Rabbin Isaac Meyer Wise , lun des champions de la réforme libérale juive et le plus actif de tous les Rabbins aux Etats-Unis au 19ème siècle, soutient activement lesclavagisme des Noirs, appelle Abraham Lincoln un « imbécile » et argumente que les Noirs sont des « bêtes accablantes » [Rappelons que Lincoln est lun des rares présidents américains qui nest pas élu avec les voix des Juifs, car il soppose à lesclavagisme et lorsquil est élu en 1860, il labolit immédiatement, ce qui déclenche la guerre de sécession]. En 1896, un éditorial dans le Jewish South de Richmond, en Virginie, argumente que les « Nègres [dans le texte] sont intellectuellement,moralement et physiquement une race inférieure - un fait que personne ne peut dénier » et, lors de la mort du sénateur [Juif] du Maryland, Isador Rayner, un journaliste noir écrit que Rayner « évoque auprès de ses voisins de couleur les terreurs des pogroms ». Lorsque le Bnai Brith et lADL (Ligue anti-diffamation) - organisme contrôlé par les « lobbies qui nexistent pas », léquivalent de la LICRA (Ligue Internationale contre le racisme et lantisémitisme) en France - publient leur pamphlet, en 1976, intitulé « Les Juifs américains : leur histoire », sur les 13 pionniers juifs américains, 10 dentre eux sont liés au négoce de lesclavagisme ... [comme quoi, plus vous êtes esclavagiste, raciste et antisémite et mieux il est préférable dadhérer à ce genre dorganisation pour vous donner bonne conscience...] Du reste, les quotidiens suivants : The San Francisco Chronicle, The San Francisco Examiner, The Los Angeles Times et dautres encore, révèlent depuis de nombreuses années quaux Etats-Unis, lADL pratique lespionnage et constitue des dossiers sur 950 organisations et 10.000 individus dont la plupart sont des groupes de Noirs, y compris la célèbre NAACP (National Association for the Advancement of Coloured People ou Association nationale pour lavancement des personnes de couleur), fondée en 1909 par des groupes de militants multiraciaux. Le Général israélien Moshe Dayan ne dit-il, voici quelques années, pas que les forces militaires américaines se dégradent parce quelles sont composées de Noirs « avec peu dintelligence et aucune éducation ». Il insiste alors pour que les Etats-Unis recrutent « du sang neuf et de meilleurs cerveaux ». Il est considéré comme un héros dans son pays ! Lorsquon leur relate ces faits, certains contradicteurs argumentent sur des points qui prêtent volontiers à sourire.
Liquidation pendant le voyage
En voici deux :
le premier, que les négociants juifs sont contraints par les Chrétiens de devenir des marchands desclaves et effectuer le « sale boulot » pour leur compte ;
le second, que sans ces marchands, le nombre de victimes, en particulier de la faim, serait encore plus catastrophique !
Jen oublie un dernier, qui correspond à celui quils utilisent en dernier ressort, lorsquils ne trouvent plus darguments solides : cest faire preuve dantisémitisme que de relater ces faits, oui ils se victimisent Il nen demeure pas moins que le mot magique « antisémitisme » est lâché, celui qui fait taire tous les journalistes et ramènent dans le rang de la « pensée unique » tous les Présidents et membres des gouvernements.
Est-ce de la diffamation que de dénoncer ce génocide par les juifs et chretiens envers les noirs afin quil ne se renouvelle plus ?Non ! Cest une définition