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Ce sont Carla Bruni-Sarkozy et sa sur Valeria Bruni-Tedeschi qui ont annoncé, mercredi 8 octobre, à Marina Petrella qu'elle ne serait pas extradée. L'épouse du chef de l'Etat et sa sur se sont rendues à son chevet mercredi.
Valeria Bruni-Tedeschi a raconté, lundi 13 octobre, sur Europe 1, en avoir parlé au président de la République. "Je lui en ai parlé un peu, surtout juste après l'avoir vue en prison", a-t-elle rapporté. "J'ai donné ces informations qui ont peut-être été un tout petit peu importantes pour qu'il prenne la décision."
La décision de ne pas extrader Marina Petrella a été confirmée dimanche par l'Elysée, au nom de l'état de santé, très dégradée, de l'ancienne dirigeante de la colonne romaine des Brigades rouges. "On ne pouvait pas laisser cette femme mourir. La situation était devenue intolérable", a confié Carla Bruni-Sarkozy à Libération.fr, se disant "contente" de la décision.
Agée de 54 ans, l'ancienne militante d'extrême gauche est hospitalisée depuis fin juillet à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, dans un état mental et psychique très détérioré, selon les médecins. Arrêtée en août 2007, Marina Petrella avait été libérée sous contrôle judiciaire pour raisons de santé. Dépressive et suicidaire, elle refusait de s'alimenter et ne pesait qu'une quarantaine de kilos.
Valeria Bruni-Tedeschi a raconté, lundi 13 octobre, sur Europe 1, en avoir parlé au président de la République. "Je lui en ai parlé un peu, surtout juste après l'avoir vue en prison", a-t-elle rapporté. "J'ai donné ces informations qui ont peut-être été un tout petit peu importantes pour qu'il prenne la décision."
La décision de ne pas extrader Marina Petrella a été confirmée dimanche par l'Elysée, au nom de l'état de santé, très dégradée, de l'ancienne dirigeante de la colonne romaine des Brigades rouges. "On ne pouvait pas laisser cette femme mourir. La situation était devenue intolérable", a confié Carla Bruni-Sarkozy à Libération.fr, se disant "contente" de la décision.
Agée de 54 ans, l'ancienne militante d'extrême gauche est hospitalisée depuis fin juillet à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, dans un état mental et psychique très détérioré, selon les médecins. Arrêtée en août 2007, Marina Petrella avait été libérée sous contrôle judiciaire pour raisons de santé. Dépressive et suicidaire, elle refusait de s'alimenter et ne pesait qu'une quarantaine de kilos.