ahmed II
Sweet & Sour
Bonjour à tous, Marocains, Marocaines et autres.
Je vous propose une expérience nouvelle et exceptionnelle -voir et comprendre Dieu à travers la Bhagavad-gita.
Rassurez-vous, il est rare que quelqu’un sache ce qu’est la Bhagavad-gita, l’ignorance en ce qui la concerne tient le haut du pavé. Je suis en train de voyager en France et je demande aux libraires dans les villes où je passe ce qu’ils ont sur leurs étagères au sujet de l’Inde, parce que je cherche la Bhagavad-gita de Marc Ballanfat. Pas un ne sait en quoi consiste cet ouvrage, qui a été pourtant si traduit à travers le monde. En outre, ils n’ont quasiment rien sur l’Inde, si ce n’est des livres à profusion sur le bouddhisme et qui n’a rien à voir avec le théisme, puisqu’il nie Dieu.
Bref, je vais vous en dire quelques mots, en essayant de rester accessible à votre entendement. Car je ne vous l’ai pas encore mentionné, mais la Bhagavad-gita ne se lit pas comme un roman, elle n’est pas accessible sans préparation. Il faut qu’on vous l’explique, simplement. C’est ce que je me propose de faire. Vous m’interrogez quand vous voulez si vous ne comprenez pas ce que j’écris, je me ferai un plaisir de vous répondre.
Tout le monde devrait posséder ce livre, comme tout le monde devrait avoir la Bible ou le Coran dans sa Bibliothèque. Moins que ça, c’est être inculte. Il est essentiel. C’est entre ses pages que l’on peut découvrir par exemple ce qu’est l’âme. Nul autre texte au monde ne vous en parle avec cette précision, avec cette abondance d’information, car c’est en Inde que cet aspect de l’être s’est véritablement exprimé dans toute son étendue et sa profondeur, révélant toute sa spiritualité, sans le voiler de ce mysticisme propre aux Upanishads et autres littératures védiques.
La Bhagavad-gita traite également du yoga. Là, je ne devrais rien vous apprendre mais je vous le dis tout de même : c’est en Inde que cette pratique a été ‘inventée’. Le yoga est une science. Science, dans toute l’intégrité et la force de ce mot.
Puis elle vous parle de Dieu ! Incroyable mais vrai. Dieu, comme s’il était en chair et en os. J’entends déjà les ricanements, tant le conditionnent culturel est puissant. Mais voici ce que Krishna, ce Dieu si populaire parmi les hindous, dit à ce sujet : « Ce qui est nuit pour tous les êtres devient, pour celui qui possède une intelligence sûre, qui a maîtrisé ses sens, le temps de l’éveil; ce qui, pour tous, est le temps de l’éveil, est la nuit pour le sage recueilli. » (Chapitre 2, verset 69)
Voilà, c’est déjà la fin de mon intervention, mais je ferai un effort pour revenir, si Dieu le veut, parce que je suis un homme ‘positif’ qui prêche même dans les déserts. Et, en attendant, j’encourage les plus entreprenants parmi vous à vous procurer la Bhagavad-gita pour la comparer ou apprendre à la lire à travers mes explications. Je m’efforce de les rendre simples. Depuis quelques temps, je me suis mis à écrire à son sujet. Ce livre, la Bhagavad-gita, fait partie d’un plus grand, beaucoup plus grand, le Mahabharata, dont j’ai beaucoup écrit à son propos, racontant en partie son contenu. Depuis peu je suis arrivé au dialogue entre Krishna et Arjuna, juste avant la bataille dont le Mahabharata raconte le déroulement en détails. Ce dialogue est ce que l’on appelle la Bhagavad-gita, que l’on traduit par Le chant du Bienheureux, le texte en sanskrit est un poème, écrit en vers.
Au plaisir de vous instruire, Ahmed, en toute humilité.
Je vous propose une expérience nouvelle et exceptionnelle -voir et comprendre Dieu à travers la Bhagavad-gita.
Rassurez-vous, il est rare que quelqu’un sache ce qu’est la Bhagavad-gita, l’ignorance en ce qui la concerne tient le haut du pavé. Je suis en train de voyager en France et je demande aux libraires dans les villes où je passe ce qu’ils ont sur leurs étagères au sujet de l’Inde, parce que je cherche la Bhagavad-gita de Marc Ballanfat. Pas un ne sait en quoi consiste cet ouvrage, qui a été pourtant si traduit à travers le monde. En outre, ils n’ont quasiment rien sur l’Inde, si ce n’est des livres à profusion sur le bouddhisme et qui n’a rien à voir avec le théisme, puisqu’il nie Dieu.
Bref, je vais vous en dire quelques mots, en essayant de rester accessible à votre entendement. Car je ne vous l’ai pas encore mentionné, mais la Bhagavad-gita ne se lit pas comme un roman, elle n’est pas accessible sans préparation. Il faut qu’on vous l’explique, simplement. C’est ce que je me propose de faire. Vous m’interrogez quand vous voulez si vous ne comprenez pas ce que j’écris, je me ferai un plaisir de vous répondre.
Tout le monde devrait posséder ce livre, comme tout le monde devrait avoir la Bible ou le Coran dans sa Bibliothèque. Moins que ça, c’est être inculte. Il est essentiel. C’est entre ses pages que l’on peut découvrir par exemple ce qu’est l’âme. Nul autre texte au monde ne vous en parle avec cette précision, avec cette abondance d’information, car c’est en Inde que cet aspect de l’être s’est véritablement exprimé dans toute son étendue et sa profondeur, révélant toute sa spiritualité, sans le voiler de ce mysticisme propre aux Upanishads et autres littératures védiques.
La Bhagavad-gita traite également du yoga. Là, je ne devrais rien vous apprendre mais je vous le dis tout de même : c’est en Inde que cette pratique a été ‘inventée’. Le yoga est une science. Science, dans toute l’intégrité et la force de ce mot.
Puis elle vous parle de Dieu ! Incroyable mais vrai. Dieu, comme s’il était en chair et en os. J’entends déjà les ricanements, tant le conditionnent culturel est puissant. Mais voici ce que Krishna, ce Dieu si populaire parmi les hindous, dit à ce sujet : « Ce qui est nuit pour tous les êtres devient, pour celui qui possède une intelligence sûre, qui a maîtrisé ses sens, le temps de l’éveil; ce qui, pour tous, est le temps de l’éveil, est la nuit pour le sage recueilli. » (Chapitre 2, verset 69)
Voilà, c’est déjà la fin de mon intervention, mais je ferai un effort pour revenir, si Dieu le veut, parce que je suis un homme ‘positif’ qui prêche même dans les déserts. Et, en attendant, j’encourage les plus entreprenants parmi vous à vous procurer la Bhagavad-gita pour la comparer ou apprendre à la lire à travers mes explications. Je m’efforce de les rendre simples. Depuis quelques temps, je me suis mis à écrire à son sujet. Ce livre, la Bhagavad-gita, fait partie d’un plus grand, beaucoup plus grand, le Mahabharata, dont j’ai beaucoup écrit à son propos, racontant en partie son contenu. Depuis peu je suis arrivé au dialogue entre Krishna et Arjuna, juste avant la bataille dont le Mahabharata raconte le déroulement en détails. Ce dialogue est ce que l’on appelle la Bhagavad-gita, que l’on traduit par Le chant du Bienheureux, le texte en sanskrit est un poème, écrit en vers.
Au plaisir de vous instruire, Ahmed, en toute humilité.