L’heure est grave. Le monde entier retient son souffle et observe, aussi incrédule qu’impuissant, la spirale de violence qui s’accélère au Proche-Orient, où l’État illégal d’Israël, conduit par Benjamin Netanyahou, engage des frappes d’une intensité inédite contre l’Iran et ses alliés. Sous couvert de mensonges éhontés comme la «libération» et la «sécurité», c’est surtout une guerre d’anéantissement que Tel-Aviv orchestre, au mépris des lois internationales, du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et surtout de la stabilité mondiale. Et tout cela sous prétexte d’attendre un Messie, comme si un fanatisme religieux pouvait justifier l’injustifiable.
Ce qui se joue aujourd’hui entre Israël et l’Iran dépasse de loin une simple rivalité régionale. C’est la logique mortifère d’un État qui se croit intouchable, porté par un pseudo-messianisme géopolitique dangereux, prêt à mettre le monde à feu et à sang sous prétexte de sécurité. Depuis des mois, Benjamin Netanyahou orchestre une campagne de provocations, d’assassinats ciblés, de bombardements de sites civils et militaires en territoire iranien, tout en dégainant la rhétorique du bourreau «libérateur». «Nous détruisons vos villes pour vous libérer», ose-t-il affirmer aux Iraniens qu’il massacre, dans un renversement orwellien à faire frémir, comme dans le livre 1984, où l’on déclarait perpétuellement : «La guerre, c’est la paix». Nous connaissons bien ce refrain où les agresseurs se font passer pour des victimes. Ici, c’est l’Armageddon qui est vendu comme remède.
Ce que Tel-Aviv prépare, ce n’est surement pas la paix. Ce n’est pas non plus la protection de son peuple. C’est une fuite en avant guerrière menée par des illuminés où la seule issue possible semble être l’escalade nucléaire maquillée en «défense préventive». Les cibles iraniennes sont profondément enfouies et seule une frappe nucléaire ou une opération américaine d’envergure pourrait éventuellement les atteindre. Et cela, les généraux israéliens le savent parfaitement. Alors pourquoi s’y engagent-ils ? Parce que la survie politique de Netanyahou se nourrit du chaos. Parce qu’ils cherchent à embraser le monde pour assouvir des prophéties débiles. Parce que l’appât du gain est plus fort que celui du bien. Parce que les États-Unis, empêtrés dans leur propre déclin stratégique, continuent de jouer les parrains d’un État qu’ils ne contrôlent plus vraiment pour pouvoir vendre des armes et contrôler les flux pétroliers. Mais surtout, parce que le monde occidental, devenu totalitaire, a abdiqué toute morale au nom d’une alliance tactique de plus en plus dangereuse.
L’Histoire retiendra ce mois de Juin 2025 comme le Pearl Harbor de l’Iran. Même le Général Douglas MacGregor n’a pas mâché ses mots en déclarant que : «L’attaque contre l’Iran n’est pas une frappe isolée, c’est un acte de guerre prémédité, froidement calculé, et destiné à déclencher un embrasement régional incontrôlable». À l’époque déjà, – et comme l’ont fait la clique de Netanyahou le 7 octobre 2023 en laissant entrer le Hamas et en tirant sur son propre peuple depuis les hélicoptères pour augmenter le nombre de victimes juives – en 1941, les États-Unis avaient laissé l’attaque japonaise frapper Pearl Harbor pour justifier leur entrée dans la Seconde Guerre Mondiale. Et l’utilisation de la bombe nucléaire en suivant ! Aujourd’hui, le même stratagème cynique est reproduit avec des «négociations» brandies comme appât, pendant que les drones frappent, que les têtes tombent, et que Washington joue à la surprise.
Les pourparlers n’étaient qu’une farce diplomatique destinée à endormir l’Iran avant la frappe. Derrière la mise en scène, des hommes comme Witkoff, agents à peine déguisés d’Israël, s’activaient dans l’ombre pour coordonner l’attaque. Les aveux postérieurs de Trump ne sont pas des maladresses, mais des preuves de complicité. Pire, ce sont les prémices d’une guerre mondiale dans laquelle les États-Unis vont être aspirés, avec la Russie, la Chine, l’ensemble du monde musulman, et une opinion publique occidentale qui n’a toujours rien compris. D’ailleurs, les attaques de drones israéliens en Iran rappellent étrangement les frappes ukrainiennes en Russie la semaine passée. Les techniques, les tactiques, le timing, tout est coordonné dans un seul et même dessein d’entretenir un état de guerre permanent pour alimenter l’économie de mort.
Ce qui se joue aujourd’hui entre Israël et l’Iran dépasse de loin une simple rivalité régionale. C’est la logique mortifère d’un État qui se croit intouchable, porté par un pseudo-messianisme géopolitique dangereux, prêt à mettre le monde à feu et à sang sous prétexte de sécurité. Depuis des mois, Benjamin Netanyahou orchestre une campagne de provocations, d’assassinats ciblés, de bombardements de sites civils et militaires en territoire iranien, tout en dégainant la rhétorique du bourreau «libérateur». «Nous détruisons vos villes pour vous libérer», ose-t-il affirmer aux Iraniens qu’il massacre, dans un renversement orwellien à faire frémir, comme dans le livre 1984, où l’on déclarait perpétuellement : «La guerre, c’est la paix». Nous connaissons bien ce refrain où les agresseurs se font passer pour des victimes. Ici, c’est l’Armageddon qui est vendu comme remède.
Ce que Tel-Aviv prépare, ce n’est surement pas la paix. Ce n’est pas non plus la protection de son peuple. C’est une fuite en avant guerrière menée par des illuminés où la seule issue possible semble être l’escalade nucléaire maquillée en «défense préventive». Les cibles iraniennes sont profondément enfouies et seule une frappe nucléaire ou une opération américaine d’envergure pourrait éventuellement les atteindre. Et cela, les généraux israéliens le savent parfaitement. Alors pourquoi s’y engagent-ils ? Parce que la survie politique de Netanyahou se nourrit du chaos. Parce qu’ils cherchent à embraser le monde pour assouvir des prophéties débiles. Parce que l’appât du gain est plus fort que celui du bien. Parce que les États-Unis, empêtrés dans leur propre déclin stratégique, continuent de jouer les parrains d’un État qu’ils ne contrôlent plus vraiment pour pouvoir vendre des armes et contrôler les flux pétroliers. Mais surtout, parce que le monde occidental, devenu totalitaire, a abdiqué toute morale au nom d’une alliance tactique de plus en plus dangereuse.
L’Histoire retiendra ce mois de Juin 2025 comme le Pearl Harbor de l’Iran. Même le Général Douglas MacGregor n’a pas mâché ses mots en déclarant que : «L’attaque contre l’Iran n’est pas une frappe isolée, c’est un acte de guerre prémédité, froidement calculé, et destiné à déclencher un embrasement régional incontrôlable». À l’époque déjà, – et comme l’ont fait la clique de Netanyahou le 7 octobre 2023 en laissant entrer le Hamas et en tirant sur son propre peuple depuis les hélicoptères pour augmenter le nombre de victimes juives – en 1941, les États-Unis avaient laissé l’attaque japonaise frapper Pearl Harbor pour justifier leur entrée dans la Seconde Guerre Mondiale. Et l’utilisation de la bombe nucléaire en suivant ! Aujourd’hui, le même stratagème cynique est reproduit avec des «négociations» brandies comme appât, pendant que les drones frappent, que les têtes tombent, et que Washington joue à la surprise.
Les pourparlers n’étaient qu’une farce diplomatique destinée à endormir l’Iran avant la frappe. Derrière la mise en scène, des hommes comme Witkoff, agents à peine déguisés d’Israël, s’activaient dans l’ombre pour coordonner l’attaque. Les aveux postérieurs de Trump ne sont pas des maladresses, mais des preuves de complicité. Pire, ce sont les prémices d’une guerre mondiale dans laquelle les États-Unis vont être aspirés, avec la Russie, la Chine, l’ensemble du monde musulman, et une opinion publique occidentale qui n’a toujours rien compris. D’ailleurs, les attaques de drones israéliens en Iran rappellent étrangement les frappes ukrainiennes en Russie la semaine passée. Les techniques, les tactiques, le timing, tout est coordonné dans un seul et même dessein d’entretenir un état de guerre permanent pour alimenter l’économie de mort.