La Commission européenne a demandé hier, aux Etats de l'UE de prendre en charge sous deux ans 40.000 candidats à l'asile, des Syriens et érythréens actuellement en Italie et en Grèce, et les a appelés à accueillir dans le même délai 20.000 réfugiés. Parmi les pays concernés, la France bien sûr, qui, selon «la clé» de répartition (vocabulaire préféré aux quotas) établie par l'UE, est invitée à accueillir 9127 migrants et réfugiés.
Ces mesures doivent désormais être approuvées par les Etats, plutôt réticents, voire hostiles. Mais la Commission prévoit que, pour chaque demandeur d'asile accepté dans un pays, celui-ci recevra 6 000 euros provenant du Fonds européen pour l'asile (AMIF). Pas sûr que cela suffise à vaincre les réticences.
La Dépêche du Midi
Ces mesures doivent désormais être approuvées par les Etats, plutôt réticents, voire hostiles. Mais la Commission prévoit que, pour chaque demandeur d'asile accepté dans un pays, celui-ci recevra 6 000 euros provenant du Fonds européen pour l'asile (AMIF). Pas sûr que cela suffise à vaincre les réticences.
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