La guerre chimique du rif et sebta et melilla devant le parlement espagnol

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Les séquelles de la guerre chimique menée par l'Espagne contre le Rif entre 1921 et 1927, se font encore ressentir dans cette région du Maroc, ont affirmé la semaine dernière des députés marocains devant le Parlement espagnol, appelant l'Espagne à reconnaître sa responsabilité dans cette tragédie, qui a coûté la vie à des milliers de Marocains.
Les députés espagnols ne s'attendaient pas à ce que leurs homologues marocains abordent les questions de la guerre du Rif, et celles de Sebta et Melilla lors du 2ème (...)

- Monde / Ahmed Zaidi, Karim Ghellab, Sebta, Melilla, Union Socialiste des Forces Populaires, Guerre du Rif

La guerre chimique du Rif et Sebta et Melilla devant le Parlement espagnol
 

SynthaxError

Un chleuh dans la kasbah
VIB
Ils n'ont pas apprécier eux et la France de s'être manger une dérouillée par les vaillants guerriers du Rif.

Près de 15 000 pertes de chaque côté français et espagnol, environ un peu plus de 30 000 soldats colons tués, contre une perte d'environ 15 000 hommes du côté des guerriers d'Abdelkrim Al Khattabi.

Ils ont alors envoyés les bombes chimiques, avec l'aide de la France sur les guerriers et les populaces du Rif.

De vrais sans co**lles.
 
Ils n'ont pas apprécier eux et la France de s'être manger une dérouillée par les vaillants guerriers du Rif.

Près de 15 000 pertes de chaque côté français et espagnol, environ un peu plus de 30 000 soldats colons tués, contre une perte d'environ 15 000 hommes du côté des guerriers d'Abdelkrim Al Khattabi.

Ils ont alors envoyés les bombes chimiques, avec l'aide de la France sur les guerriers et les populaces du Rif.

De vrais sans co**lles.


ça c'est de l'histoire ancienne, pas important.

Ce qui est important aujourd'hui c'est les conséquences de l'utilisation de ces armes chimiques, elles ont contaminé les sols et les sources, causant des mutations parmi les habitants et les descendants de ceux ci, résultat: un taux de cancer supérieur dans cette région au reste du pays, sans aucune infrastructure pour les prendre en charge si ce n'est beaucoup de place dans les cimetières.
 

firar

VIB
Ils n'ont pas apprécier eux et la France de s'être manger une dérouillée par les vaillants guerriers du Rif.

Près de 15 000 pertes de chaque côté français et espagnol, environ un peu plus de 30 000 soldats colons tués, contre une perte d'environ 15 000 hommes du côté des guerriers d'Abdelkrim Al Khattabi.

Ils ont alors envoyés les bombes chimiques, avec l'aide de la France sur les guerriers et les populaces du Rif.

De vrais sans co**lles.

Et de quel coté était le pouvoir et les soldats marocains?
C'est aux rifiens et à eux sels qu'il revient de demander des comptes, pas aux élus marocains qui seraient bien intentionnés de faire leur auto critique plutôt que de vouloir récupérer un fait de guerre qui ne les concernent aucunement ou alors pour faire leur méa culpa.
Abd el Krim doit dans sa tombe? rire dans sa moustache de la situation.
 

SynthaxError

Un chleuh dans la kasbah
VIB
ça c'est de l'histoire ancienne, pas important.

Ce qui est important aujourd'hui c'est les conséquences de l'utilisation de ces armes chimiques, elles ont contaminé les sols et les sources, causant des mutations parmi les habitants et les descendants de ceux ci, résultat: un taux de cancer supérieur dans cette région au reste du pays, sans aucune infrastructure pour les prendre en charge si ce n'est beaucoup de place dans les cimetières.

Des dizaines de milliers de morts c'est pas important ? :eek:

Des dizaines de milliers de personnes tués et donc des trentaines de milliers de descendants qui ne verrons pas le jours... Des générations supprimés.

Arff oui, c'est pas important... :prudent:

Et de quel coté était le pouvoir et les soldats marocains?
C'est aux rifiens et à eux sels qu'il revient de demander des comptes, pas aux élus marocains qui seraient bien intentionnés de faire leur auto critique plutôt que de vouloir récupérer un fait de guerre qui ne les concernent aucunement ou alors pour faire leur méa culpa.
Abd el Krim doit dans sa tombe? rire dans sa moustache de la situation.

Cite moi dans mes propos une seule allusion au fait que le Makhzen de l'époque aidait les guerriers du Rif...

Les chleuhs aussi étaient seul à combattre, les Aït Baamrane était seuls face à l'armée espagnol au sud, et les Ait Atta seuls face à l'armée française dans le Sud-Est, ils appelaient ça une "pacification" pour ne pas dire un massacre.
 
Des dizaines de milliers de morts c'est pas important ? :eek:

Des dizaines de milliers de personnes tués et donc des trentaines de milliers de descendants qui ne verrons pas le jours... Des générations supprimés.

Arff oui, c'est pas important... :prudent:

Mon arrière grand père Allah iarhmo est mort au combat contre les espagnols, précipitant la famille dans la misère et à terme l'immigration.

C'est le passé, les tueries, massacres, famines ont partout dans le monde meutris les peuples, depuis 1926 la population a quand même été multiplié par 10.

Ressasser constamment les malheurs du passé n'améliorera pas le sort des descendants des moudjahidines.
Tout ce qui importe c'est une aide pour mettre en place un service d'oncologie dans la région et soigner les gens.
La posture de victime éternelle, très peu pour moi.

ça ne fait rend pas hommage à nos ancêtres ni très éthique islamiquement, d'autres aujourd'hui souffre bcp plus.
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
La guerre chimique dans le Rif (1921-1927).

PROLOGUE
Peut-on impunément, en violation des règles élémentaires
issues des conventions internationales et des droits humains, faire
usage d‟une guerre d‟agression qui plus est en utilisant des armes
chimiques de destruction massive ? Apparemment c‟est le cas et c‟est
bien ce qui s‟est passé au début du siècle dernier contre le Rif et les
rifains. Le droit des gens, – jus gentium -, communément appelé
droit international, ne valant que pour les nations dites civilisées,
dont les historiens rendront compte plus tard de la réalité barbare.
Les règles et principes qui seraient ainsi valables pour les uns ne le
seraient pas pour les autres. Des voix démocrates et progressistes se
sont pourtant élevées, à l‟époque, y compris parmi les ressortissants
des pays agresseurs, colonisateurs et barbares pour dénoncer ces
pratiques. Qui les a entendues ?
Par ailleurs, il est pour le moins étonnant que les générations
d‟après l‟indépendance, au Maroc, ne retrouvent pas dans leurs
manuels et livres d‟histoire les affres vécues par leur pays. Pourquoi
la guerre chimique contre le Rif a -t -elle été longtemps un secret
tabou dont on n‟a pas parlé ? Pourquoi faut- il que l‟on apprenne
notre histoire suite aux travaux et recherches faits par des
étrangers ? Celui qui méconnaît voire ignore son histoire n‟a pas
d‟avenir. Il y a longtemps que la culture orale n‟est plus de mise et
n‟a plus de raison d‟être. Elle devient un faux prétexte te pour cacher la
paresse et taire les tabous et secrets. Les marocains, d‟une façon
générale, et les rifains en particulier, ont accédé à l‟école et au savoir.
Néanmoins, il leur faudra aller à l‟étranger pour connaître de l‟histoire
de leur pays. Quelle est cette bêtise qui fait que des « autorités »
interdisent un colloque sur un aspect de l‟histoire du pays ? Comment
peut-on concevoir qu‟il soit plus aisé d‟organiser et de tenir un
colloque sur la guerre chimique contre le Rif en Espagne même et
que toutes les difficultés apparaissent s‟il s‟agit de l‟organiser au
Maroc ?
 
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