VisTaVie93
Bladinaute averti
J'interviens un peu (pas trop car c'est long sinon) sur ces points
- Le fait d'avoir un conscience, en plus d'une "inconscience" dénote une séparation entre ce qui va être choisi, et ce qui ne va pas l'être. Je simplifie grossièrement, c'est vrai, car le conscient sera forcément influencé par des facteurs inconscients et inversement.
- Ce fait d'avoir une conscience propre, te permet d'avoir des choix. Ces choix, sont décidés par cette conscience. Ceci est une liberté, car si l'on devait dire que la liberté est un choix relaxé de toute les pressions, ce serait comme de nier cette conscience elle même.
Décharger l'homme de ses fautes, de ses actes, c'est le décharger de la conscience qu'il possède, ce n'est pas un choix brave du tout, pour ne pas constater autre chose.
Certaines personnes ONT la propension d'être "méchants", mauvais, enfin selon le prisme des valeurs d'individus différents et des sociétés différentes.
La notion de bien et de mal, a, et sera toujours SUBJECTIVES aux individus, sociétés, moralités, conviction de chacun et du monde dans lequel quelqu'un évolue.
Par exemple => mes notions de biens et de mal sont intimement liées à ma religion, mon éducation, ma perception des choses que j'ai forgé au cours de ma vie, et aussi et surtout même, tous les sentiments qui sont interconnectés à ses concepts...
Nier la responsabilité des actes des hommes par leur choix, c'est juste à mes yeux (à ne pas prendre mal car là n'est pas mon intention du tout), fuir la réalité.
La pauvreté dans le monde, n'existerait pas ou bien moins si les hommes étaient moins mauvais et cupide, et plus compatissant.
Combien de guerre auraient été évités si la cupidité n'existait pas?
Voilà pour les quelques points auquel je pouvais rapidement intervenir
Oui je suis d'accord. On une conscience, ce que je n'ai pas pris en compte.
Par contre, quand un souci est soulevé, un autre s'impose.
Maintenant que l'on sait qu'on une conscience, c'est cool, cependant des lors que la faiblesse régit nos actes, car en effet il ne suffit pas de savoir le chemin à prendre pour l'emprunter, il faut aussi avoir la force de la faire... Les capacités...
Le fait que la faiblesse humaine, sert de carcan à celui qui désire avancer, où est donc passé "liberté"?
Que dire de ceux qui savent que ce qu'ils font est prohibé, mais continuent leurs méfaits, par faiblesse, ou incapacité à arrêter ?
La liberté est donc à ce moment affecté.