la montagne de la creation ou le mont Meru

Je n'arrive pas à croire que des afros-délusionistes incultes traînent sans problème sur un site communautaire marocain a déballée des conneries anti-historiques. Tu a déjà rencontrer des gens de la Corne de l'Afrique!? Les Somalis, les Éthiopiens, les Érythréens rejettent toute association avec les races noires de l'Afrique et avec raison: leurs morphologies, leur cultures, leurs langues, leur histoire partagée, leurs croyances anté-islamique et antéchrétiennes prouvent toutes qu'ils ont une affinité et un lien avec l'Arabie et le l'Afrique du Nord « blanches ».
Grossier mensonge !!!!!! tu meconnais tres mal les somaliens , ethiopiens , erythreens et djiboutiens , ils revendiquent fierement leurs origines africaines
Te rappelles tu de Selassie ? il defendait fierement ses origines africaines .
Quant a la culture preislamique de la somalie et de l' ethiopie elle n' a aucun lien avec l' arabie ( les arabes ne venerent ni Ra ,ni Amon mais appellent le soleil Shams et les berberes TAFUKT )
et pis la somalie etait sous la religion Wakh du dieu unique Wakh et tous les dits koushitiques , des Nubiens aux ethiopiens , aux Oromos aux autres ethnies dites koushitiques veneraient Wakh alors que les arabes appelaient Dieu Allah , les arameens allaha , les juifs et les pheniciens El mais pas wakh + Partout en Afrique on venere le soleil comme les Akan de cote d' ivoire et du Ghana qui venerent tout ce qui brille ( Akan veut dire doré )
ou comme au Togo ( le Dieu-Soleil chez les Mwaba-Gurma du nord-Togo ) et en Angola
tu oublies que tous les africains noirs viennent de l' ethiopie ( berceau de l' humanite)
les ethiopiens anciens , les pountites somalis anciens , les somalis portent des pagnes tout comme les autres africains noirs et les dravidiens et veddoides ce que ne font ni les arabes ni les berberes et partout en afrique noire de l' egypte ancienne a la somalie et au retse de l' afrique on soulevait et on souleve encore a certains endroits les rois avec des sieges a porteurs ce que ne font ni les arabes ni les berberes
 
Grossier mensonge !!!!!! tu meconnais tres mal les somaliens , ethiopiens , erythreens et djiboutiens , ils revendiquent fierement leurs origines africaines
J'ai des amis et des collègues précisément de la Corne de l'Afrique (Érythréens, Éthiopiens, Somalis). J'ai une connaissance approfondie de l'histoire de la Corne de l'Afrique et des études génétiques sur ses populations. J'ai des preuves irréfutables et des témoignages primaires sur leurs auto-identifications. Ils me disent qu'ils ne sont pas de la même race que les noirs du reste de l'Afrique.

Il y'a des témoignages d'Éthiopiens (l'Éthiopie seul nation d'Afrique subsaharienne et qui n'a jamais été colonisé par des étrangers) qui remontent à plus de 100 ans où ils refutent toute filiation avec les peuples noirs d'Afrique. Vous employez le mot « africain » comme s'il s'agissait d'un synonyme avec « race noire » alors qu'ils ne sont pas du tout interchangeable! Les premiers africains (originels) étaient les blancs d'Afrique septentrional, les peuples imazighen aux peaux pâles.
Te rappelles tu de Selassie ? il defendait fierement ses origines africaines .
N'importe quoi!

Hailé Sellasé Ier se disait africain dans le même sens qu'un nord-africain se dit africain. Hailé Sellasé a exprimé, à de multiples occasions, ses désaccords avec le « pan-africanisme » de plusieurs chefs africains et a notamment révélé à un dignitaire africains que « les Éthiopiens ne s'identifient pas aux peuples noirs d'Afrique ni aux aspirations nationalistes pan-africaines » des dirgeants africains.

Et son prédécesseur, Ménélik IIèm (qui a mené sa nation à la seule victoire contre une puissance européenne en 1896) a affirmé plus tard à un militant pan-africaniste carribéen venu le louer que sa nation n'avait aucune ascendance commune avec les descendants d'esclaves noirs d'Afrique ce qui a profondément anéanti cet homme qui a fait le tour du monde pour salué son héro. Il y'a des tas d'examples et de témoignages sur la manière dont s'identifient les peuples de la Corne africaine.
 
J'ai des amis et des collègues précisément de la Corne de l'Afrique (Érythréens, Éthiopiens, Somalis). J'ai une connaissance approfondie de l'histoire de la Corne de l'Afrique et des études génétiques sur ses populations. J'ai des preuves irréfutables et des témoignages primaires sur leurs auto-identifications. Ils me disent qu'ils ne sont pas de la même race que les noirs du reste de l'Afrique.

Il y'a des témoignages d'Éthiopiens (l'Éthiopie seul nation d'Afrique subsaharienne et qui n'a jamais été colonisé par des étrangers) qui remontent à plus de 100 ans où ils refutent toute filiation avec les peuples noirs d'Afrique. Vous employez le mot « africain » comme s'il s'agissait d'un synonyme avec « race noire » alors qu'ils ne sont pas du tout interchangeable! Les premiers africains (originels) étaient les blancs d'Afrique septentrional, les peuples imazighen aux peaux pâles.

N'importe quoi!

Hailé Sellasé Ier se disait africain dans le même sens qu'un nord-africain se dit africain. Hailé Sellasé a exprimé, à de multiples occasions, ses désaccords avec le « pan-africanisme » de plusieurs chefs africains et a notamment révélé à un dignitaire africains que « les Éthiopiens ne s'identifient pas aux peuples noirs d'Afrique ni aux aspirations nationalistes pan-africaines » des dirgeants africains.

Et son prédécesseur, Ménélik IIèm (qui a mené sa nation à la seule victoire contre une puissance européenne en 1896) a affirmé plus tard à un militant pan-africaniste carribéen venu le louer que sa nation n'avait aucune ascendance commune avec les descendants d'esclaves noirs d'Afrique ce qui a profondément anéanti cet homme qui a fait le tour du monde pour salué son héro. Il y'a des tas d'examples et de témoignages sur la manière dont s'identifient les peuples de la Corne africaine.
tu te trompes lourdement !
Va sur leurs blogs ils disent le contraire
tu connais le site madote ou encore elimu ? OU djib.net
Quant a Ifriquiya elle designe la tunisie mais la deesse Africa a tete d' elephant emmenee par Antinea Selene symbolisait toute l' afrique
Quant a Haile Selassie il n' a jamais dit ce que tu racontes , il etait panafricain et contre le racisme , ses discours sont d' ailleurs disponibles !!!!!!!!!!!!!!
 
Le Gebel Barkal (ou Djebel Barkal) est le promontoire rocheux qui domine le site de Napata (Soudan), site d'un temple d'Amon célèbre et capitale du royaume de Koush à dater de la XXVe dynastie égyptienne.

Les Égyptiens le nommaient la « montagne Pure » et le considéraient comme le lieu où résidait le dieu Amon. De fait, dès Thoutmôsis III, le site est attesté et ne cessera de se développer alors.
On a longtemps ignoré cet aspect particulier de la montagne dans le choix du site par les anciens Égyptiens jusqu'à ce qu'un rapprochement de certaines représentations retrouvées dans d'anciens temples éclaire ce point. En effet, on peut voir sur un relief du temple de Ramsès II à Abou Simbel ainsi que sur un relief du temple de Mout de Napata, le dieu Amon figuré assis sous une sorte de dais devant lequel se dresse un uræus colossal.

À Napata, le Gebel Barkal et son piton rocheux seraient donc apparus aux yeux des anciens prêtres de la même manière comme une manifestation de la divinité, et il est vrai que sous certains angles cette aiguille de roche ressemble à un cobra couronné soit d'un disque solaire soit de la couronne blanche, la "hedjet".

Restait à vérifier l'hypothèse sur place. Les équipes archéologiques ont alors gravi la falaise et son piton et découvert qu'à son sommet les anciens étaient en effet intervenus. Ils avaient taillé dans la roche une stèle monumentale aux noms de Thoutmôsis III et de Taharqa que Nastasen restaura sous son règne. La présence de petites cavités sur l'ensemble de l'encadrement de la stèle dont certaines encore munies de tenons en bronze atteste pour le reste qu'une feuille d'or y était fixée.

Ainsi chaque matin, l'ensemble étant orienté vers le sud, les premiers rayons du soleil frappaient la stèle dorée et l'éclat du Gebel Barkal devait être visible toute la journée à des kilomètres à la ronde tel un phare diurne au milieu de la vallée du Nil.

Le Gebel Barkal était donc bien une manifestation tangible du dieu Amon pour les anciens Égyptiens et Nubiens et devait exercer sur eux une certaine fascination.
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LE MONT KAILASH
mONTAGNE DE LA CREATION ou Mont Meru
Au sommet duquel se trouve Shiva , le An dieu du ciel des dravidiens !

Le mont Kailash (du sanskrit : कैलास पर्वत, IAST : Kailāsa Parvata ; translittération en tibétain kai la sha Wylie : kai la sha1)2, également appelé en tibétain Gang Rinpoché (tibétain : གངས་རིན་པོ་ཆེ, Wylie : gangs rin po che, pinyin tibétain : Kangrinboqê, THL : gang rinpoche ; qui donne la translittération en chinois : 冈仁波齐峰 ; pinyin : gāng rénbōjì fēng ; litt. « sommet de monsieur/rinpoché gang ») et dans le jaïnisme aṣṭapāda (sanskrit : अष्टपाद, aṣṭapāda, huit pieds),

Cette montagne est sacrée dans quatre religions : pour les hindous, elle est la demeure de Shiva ; pour les bouddhistes, celle de Chenresig, le bouddha de la compassion dont le Dalaï-lama est la réincarnation ; quant au fondateur du jaïnisme, c’est à son sommet qu’il a reçu l’illumination ; le culte bön, pré-bouddhisme chamanique, la considère comme le symbole de l’âme4. Elle correspondrait peut-être au mythique mont Mérou considéré comme l'axe du monde dans les mythologies persane, bouddhique, jaïne5 et surtout hindoue6. La circumambulation de 51 km4 autour du mont Kailash (kora) est l’un des pèlerinages les plus importants d'Asie.
Le mot Kailâsa signifie « cristal »2 en sanskrit. Les Tibétains le nomment Gang Rimpoche ou Kang Ripoche, ce qui signifie le « précieux joyau des neiges » et les jaïns, Ashtapada7. Il est aussi appelé Tise.

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Le mont Kailash est aussi le mont d' Osiris ( Ausar) car Osiris est Shiva d' apres les egyptiens anciens
Kailash representant la pierre phallique de Shiva qui est l' equivalent des obelisques , AUSAR EN EGYPTIEN ANCIEN , equivalent de la montagne de la creation symbolisee par les pyramides , Kailash est donc la montagne de la creation des egyptiens anciens or Osiris est Apis qui est Ptah qui est Amon Ra , donc Kailash est le mont d' Amon Ra , le mont au sommet duquel brille le soleil
 
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Le mont Tomorr mont sacre des albanais
mont et maison du Dieu Zojz dieu du ciel l' equivalent de Zeus , diu supreme des albanais antiques / Illyriens
Le mont Tomorr est un site sacré pour les chrétiens, qui l'escaladent le jour de l'Assomption (15 août) pour honorer la Vierge Marie, et les Bektashi, qui honorent Abbas ibn Ali lors d'un pèlerinage annuel du 20 au 25 août.[34] Selon les traditions de l'ordre Bektashi, une communauté soufie basée principalement en Albanie, Abbas ibn Ali (albanais : Abaz Aliu) s'est rendu en Albanie sur un cheval blanc pour le sauver des barbares, et continue de retourner au mont Tomorr en Albanie pour cinq jours (du 20 au 25 août) chaque année, au cours desquels des sacrifices d'animaux sont effectués et des hommages sont rendus à Abbas ibn Ali. Pendant ces cinq jours, les pèlerins Bektashi visitent l'Abbas Ali Türbe, qui abriterait les restes d'Abbas ibn Ali. Le türbe est situé sur le sommet sud du mont Tomorr, qui a été construit à l'origine en 1620. Le mausolée est adjacent au Bektashi tekke sur le mont Tomorr, qui a été construit en 1916.[35] Dans une autre légende Bektashi, Haji Bektash a vu une fois des pèlerins chrétiens gravir le mont Tomorr le 15 août, jour de la fête de l'Assomption de la Vierge Marie. Il a répondu en se rendant sur la tombe d'Abbas ibn Ali dans la ville sainte de Karbala, où il a déterré un os de bras appartenant à Abbas ibn Ali. Haji Bektash a ensuite jeté l'os du bras sur le sommet du mont Tomorr, transformant ainsi la montagne en la deuxième tombe sacrée (türbe) d'Abbas ibn Ali.[35] Le culte du mont Tomorr se retrouve dans la période Rilindja de la littérature albanaise où des auteurs tels que Konstantin Kristoforidhi, Naim bey Frashëri, Andon Zako Çajupi, Asdreni, Hilë Mosi et Ndre Mjeda ont consacré leurs œuvres de prose et de poésie au père Tomor. 34][36] À titre d'exemple, Naim Frashëri a écrit le poème suivant dans son livre de poésie de 1890 Luletë e verësë ("Fleurs d'été") :[35][37] Abas Aliu zu' Tomorë, Erdhi après nesh, Shqipëria s'mbet e gjorë, Se Zoti e desh. Abbas Ali a repris demain, Il est venu vivre avec nous, L'Albanie n'était plus touchée Car Dieu est venu pour l'aimer.
 
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Le temple Mahabodhi, un célèbre temple bouddhiste à Bodhgaya, en Inde, représentant le mont Meru
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Kailash ou le mont Meru le mont au sommet duquel se trouve Shiva




Le mont Meru en plusieurs langues :
  • Tamil: மகா மேரு மலை (Maha Meru Malai)
  • Burmese: မြင်းမိုရ်တောင် ([mjɪ̰ɴ mò tàʊɰ̃])
  • Cebuano: Bukid Meru
  • Chinese: 須彌山 (Xūmíshān)
  • Hindi: मेरु पर्वत (Meru Parvat)
  • Ilocano: Bantay Meru
  • Japanese: 須弥山 (Shumisen)[4]
  • Javanese: ꦱꦼꦩꦺꦫꦸ (Semeru)
  • Kannada: ಮೇರು ಪರ್ವತ (Meru Parvata)
  • Khmer: ភ្នំព្រះសុមេរុ (Phnom Preah Someru) or (Phnom Preah Somae)
  • Korean: 수미산 (Sumisan)
  • Malayalam: മഹാമേരു പർവ്വതം (Mahameru Parvatham)
  • Pāli: Sineru
  • Tagalog: Bulkang Meru
  • Telugu: మేరు పర్వతం (Meru Parvatam)
  • Tibetan: ཪི་རྒྱལ་པོ་རི་རབ་
  • Thai: เขาพระสุเมรุ (Khao phra sumen)
  • Vietnamese: Núi Tu-di
  • Gujarati:મેરૂ પર્વત ( Meru Parvat)


Le ciel Trāyastriṃśa dirigé par Śakra se situe au sommet du mont Sumeru (ou Meru), centre polaire du monde physique, autour duquel tournent le Soleil et la Lune. Le Trâyastrimsa est le plus élevé des cieux en contact direct avec la Terre. Comme les autres divinités de ce paradis,

Śakra (sanskrit) ou Sakka (pāli) est une divinité bouddhiste1. Il est le seigneur des trente-trois cieux (Trāyastriṃśa) de la cosmologie bouddhiste. Son nom complet est Śakro devānām indraḥ (Pāli : Sakko devānaṃ indo, « Śakra, seigneur des dieux » ; ch: Shìtíhuányīn 释提桓因, simplifié en Dìshì 帝释).

Dans les textes bouddhistes, Śakra est le nom propre et non pas une épithète de cette divinité; à l'inverse, Indra en sanskrit et Inda en pali sont parfois utilisées comme une épithète pour Śakra dans le sens du « seigneur ».

Dans la tradition chinoise, il est assimilé à l'Empereur de jade taoïste (Yùhuáng dàdì 玉皇大帝, simplifié souvent en Yùhuáng 玉皇), appelé généralement le Vieux Seigneur du Ciel (Lǎotiān yé 老天爷) par le peuple, dont l'anniversaire est célébré le neuvième jour du premier mois lunaire du calendrier chinois (généralement en février).

Le nom de Śakra « puissant » est une épithète d'Indra, dans plusieurs versets du Rigveda. Dans les textes bouddhiques, le mythe de Śakra et son caractère sont très différents de ceux de l'Indra védique. Selon G.P. Malalasekara, « Sakka et Indra sont des conceptions indépendantes. Aucune des caractéristiques personnelles de Sakka ne ressemble à celles d'Indra. Certaines épithètes sont identiques, mais sont évidemment empruntées, même si elles sont expliquées différemment. »2
 
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Le mont Popa montagne la plus sacree de Birmanie que les birmans doivent visiter au moins une fois dans leur vie , mont sacre du boudhisme et demeure des esprits nat ( esprits des ancetres en birmanie)
le temple Thangka nat se trouve a son sommet
Thagyamin, roi des nats dans la cosmologie birmane, est identifié à Śakra c' est a dire Indra
Le mont Popa est un volcan du centre de la Birmanie, dans la région de Mandalay. Haut de 1 518 m, il se détache de 1 150 m sur la plaine avoisinante et peut être vu, par beau temps, de 60 km à la ronde.
 
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Kunlun demeure des immortels et des dieux chinois/ du dieu supreme chinois Shangdi
Kunlun signifie tete
Kunlun est le lieu de naissance du peuple chinois et il est le centre du paradis et de la terre : il est un escalier qui mene vers le paradis
 
Dernière édition:
Les montagnes légendaires et mystiques sont un aspect de longue date de la civilisation chinoise. Kunlun est à l'origine le nom d'une montagne mythique considérée comme un paradis taoïste .

Kunlun est une région semi-mythique non loin de la source du fleuve Jaune. [5] Les monts Kunlun sont entrés dans l'idéologie chinoise pendant la période des Royaumes combattants (475-221 av. J.-C.) et se sont étroitement intégrés à la culture chinoise. [6]

Dans le Livre des Montagnes et des Mers , les monts Kunlun sont mentionnés :

昆仑之丘,是实惟帝下之都,神陆吾司之。
Ce qui signifie "La colline de Kunlun, qui est la capitale de l'empereur et le dieu de la terre".

Gu Jiegang divise le système de la mythologie chinoise en système Kunlun et en système Penglai basé sur les régions orientale et occidentale. Il croit que le mythe de Kunlun

"prend son origine dans le plateau occidental, et ses histoires magiques et magnifiques se propagent à l'est, puis suivent la mer vaste et sans limites. La combinaison de ces conditions naturelles a formé le système de mythologie Penglai dans les zones côtières de Yan, Wu, Qi, et Yue." [7]
Dans la mythologie, la montagne Kunlun est le berceau et le lieu ancestral de la nation chinoise. Dans la mythologie, la montagne Kunlun est le centre du ciel et de la terre. Il monte vers le ciel et est l'escalier vers le ciel. Le système "Kunlun Mythology" considère la montagne Kunlun comme un lieu emblématique et se concentre principalement sur les mythes et les histoires de personnages apparentés tels que l'empereur jaune et la reine mère de l'Ouest ( Xi Wang Mu ). Des histoires telles que Kuafu chassant le soleil, la colère de Gonggong touchant la montagne Buzhou et Chang'e volant vers la lune proviennent toutes de la mythologie Kunlun.


Selon la légende, le roi Mu (976-922 avant notre ère, dynastie Zhou ) fut le premier à visiter ce paradis. Là, il aurait trouvé le Palais de Jade de l' Empereur Jaune , l'initiateur mythique de la culture chinoise, et aurait rencontré Hsi Wang Mu (Xi Wang Mu, la « Mère spirituelle de l'Ouest » généralement appelée la « Reine mère de l'Ouest ») qui a également avait sa demeure mythique dans ces montagnes. Elle était l'objet d'un culte religieux traditionnel qui atteignit son apogée sous la dynastie des Han .
 
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