La chaîne Le Dessous des Cartes, aborde en deux parties, la notion d’Occident et tente de clarifier comment ses multiples définitions ne se recouvrent pas entièrement et comment elles varient au fil du temps avec les réalisations et les événements. Le présentateur aborde principalement les origines historiques, coloniales, les zones d’influence, les institutions et les valeurs et comment tout cela peut être remis en question avec les événements ou les situations.
L’origine historique est surtout Portugaise et Espagnole, elle est lointaine, mais a laissé des traces. Elle a surtout laissé des traces avec les colonisations qui ont suivi. Plus tard, cet Occident défini par le Portugal et l’Espagne a été plutôt défini par l’Europe et les États‑Unis, rejoint par l’Australie. Mais au maximum de la colonisation, l’origine historique de l’Occident, qu’est l’Europe, s’est divisé, surtout pendant la seconde guerre « mondiale ». Après avoir été divisé, cet Occident s’est trouvé involontairement renforcé par l’URSS. Avec l’URSS, par contraste, l’Occident a commencé à se définir par des valeurs, principalement la démocratie, le marché libre et les libertés religieuses. Les deux vidéos n’en parlent pas, mais on peut noter que ces trois notions sont actuellement soit minées soit attaquées, par ceux‑là mêmes qui les ont identifié comme essentielles. Est cependant rapidement abordée, la réaction de certains idéologues inquiets, à l’importance grandissante d’autres régions du monde.
C’est très résumé, les deux parties racontent mieux comment par diverses influences, accords et adhésions, la définition la plus répandue de l’Occident, basée sur des valeurs considérées essentielles, comment ces valeurs se retrouvant partiellement ailleurs, rendent la définition de l’Occident, mouvante et floue. Le présentateur utilise l’expression d’occidentalisation, pour rendre ce flou.
L’origine historique est surtout Portugaise et Espagnole, elle est lointaine, mais a laissé des traces. Elle a surtout laissé des traces avec les colonisations qui ont suivi. Plus tard, cet Occident défini par le Portugal et l’Espagne a été plutôt défini par l’Europe et les États‑Unis, rejoint par l’Australie. Mais au maximum de la colonisation, l’origine historique de l’Occident, qu’est l’Europe, s’est divisé, surtout pendant la seconde guerre « mondiale ». Après avoir été divisé, cet Occident s’est trouvé involontairement renforcé par l’URSS. Avec l’URSS, par contraste, l’Occident a commencé à se définir par des valeurs, principalement la démocratie, le marché libre et les libertés religieuses. Les deux vidéos n’en parlent pas, mais on peut noter que ces trois notions sont actuellement soit minées soit attaquées, par ceux‑là mêmes qui les ont identifié comme essentielles. Est cependant rapidement abordée, la réaction de certains idéologues inquiets, à l’importance grandissante d’autres régions du monde.
C’est très résumé, les deux parties racontent mieux comment par diverses influences, accords et adhésions, la définition la plus répandue de l’Occident, basée sur des valeurs considérées essentielles, comment ces valeurs se retrouvant partiellement ailleurs, rendent la définition de l’Occident, mouvante et floue. Le présentateur utilise l’expression d’occidentalisation, pour rendre ce flou.