Près d’un enfant sur quatre en Wallonie et quatre sur dix à Bruxelles sont concernés par cette problématique. Dossier.
En Belgique, 420.000 enfants vivotent sous le seuil de pauvreté. La Région bruxelloise est la plus touchée par ce phénomène avec 40 % de ses jeunes vivant avec trop peu de moyens. En Wallonie, ce chiffre s’établit à 25 %.
Cette situation sera mise en avant demain à la Fédération Wallonie-Bruxelles avec la présentation, par Christiane Vienne, d’une étude commandée par le groupe socialiste de la Communauté française et réalisée par des chercheurs, entre autres, de l’ULg.
Un coup de projecteur bien mérité pour une problématique qui dure depuis trop longtemps déjà, et qui a eu tendance à s’aggraver ces dernières années. "Depuis la crise économique de 2008, alors qu’on pensait à l’époque être sur le point d’éradiquer la pauvreté en Belgique, les choses empirent. Cela est dû à de nombreux facteurs, notamment aux mesures du gouvernement visant à limiter l’accès aux allocations de chômage et à l’augmentation de nombre de familles monoparentales, plus touchées par la précarité", explique Marie-Thérèse Casman, sociologue à l’ULg.
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En Belgique, 420.000 enfants vivotent sous le seuil de pauvreté. La Région bruxelloise est la plus touchée par ce phénomène avec 40 % de ses jeunes vivant avec trop peu de moyens. En Wallonie, ce chiffre s’établit à 25 %.
Cette situation sera mise en avant demain à la Fédération Wallonie-Bruxelles avec la présentation, par Christiane Vienne, d’une étude commandée par le groupe socialiste de la Communauté française et réalisée par des chercheurs, entre autres, de l’ULg.
Un coup de projecteur bien mérité pour une problématique qui dure depuis trop longtemps déjà, et qui a eu tendance à s’aggraver ces dernières années. "Depuis la crise économique de 2008, alors qu’on pensait à l’époque être sur le point d’éradiquer la pauvreté en Belgique, les choses empirent. Cela est dû à de nombreux facteurs, notamment aux mesures du gouvernement visant à limiter l’accès aux allocations de chômage et à l’augmentation de nombre de familles monoparentales, plus touchées par la précarité", explique Marie-Thérèse Casman, sociologue à l’ULg.
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