J'avais fait un thread la dessus avec une vidéo sans la trad, elle est enfin tombée la voici en résumer:
Rav Rami Lévy : Chers amis, lorsque le Rav Yona m’a contacté pour venir vous parler comme à chaque fête de Souccot et de Pessa’h, j’ai préparé quelque chose concernant le Machia’h.
Grâce à D.ieu, Hachem guide une personne dans les voies qu’Il désire, mais je ne pensais pas que D.ieu m’enverrait une telle aide du Ciel.
Le jeune homme assis ici à ma droite s’appelle Nathan, il n’habite pas à Jérusalem.
Je voudrais faire une petite introduction et dire qu’il a subi une expérience extrêmement dure, il va raconter ce qu’il a vu et nous transmettre un message.
Il est difficile pour le public de comprendre qu’en réalité, il n’a que 15 ans. Lorsque l’âme quitte le corps, elle peut assimiler en quelques minutes une quantité d’informations considérable. C’est-à-dire que dans l’autre monde, il est possible d’apprendre très rapidement ce qu’une personne mettrait des années à apprendre dans ce bas-monde.
Ce jeune homme a beaucoup à raconter, il lui est donc très difficile d’exprimer cela.
De plus, il n’a pas les mots appropriés pour décrire ce qu’il a vu car ce ne sont pas du tout des choses de ce monde. Mais depuis hier, je suis avec lui et l’encourage, et lentement il dévoile beaucoup de choses.
Le premier jour de Souccot, lui et sa mère ont été invités chez son oncle dans la ville de Modiine. Durant l’après-midi, il a commencé à ressentir des tremblements, et que ses mains et ses pieds devenaient froids. Il s’est dit qu’il devait simplement se reposer, et il est parti s’allonger.
Je lui laisse la parole afin qu’il nous raconte la suite. Il a senti qu’il quittait son corps par son nez.
Au début, il planait au-dessus de son corps et ne savait pas qui il était : était-il la personne couchée sur le lit ou celui qui planait au-dessus de celle-ci ?
Nathan, est-ce exact ?
Nathan : Oui.
Je commençais donc à planer en montant vers le haut, je continuais à monter de plus en plus et je voyais toute la planète Terre. Je continuais à monter jusqu’à me trouver dans une sorte de très grand tunnel au bout duquel j’apercevais une petite lumière, c’est très difficile à décrire mais dans ce tunnel, il y avait des sortes de spirales et on y voyait énormément d’âmes.
Plus j’avançais, plus la lumière grandissait, puis j’ai atteint cette lumière, mais je ne sais pas comment l’expliquer : c’était une sorte de lumière dont émanait de la sécurité et de l’amour, elle était totalement indescriptible.
RRL : Peut-on la comparer à une lumière dans ce monde ?
N : Non, en aucun cas. C’est inexplicable.
C’est comme si cette lumière me parlait avec des mots, mais par télépathie. Elle te parle, te pose des questions et m’a demandé si je voulais mourir.
J’ai compris que si je traversais cette limite de la lumière, je ne pourrais pas revenir en arrière. J’ai répondu que je ne savais pas et que je n’avais pas la moindre idée de ce que je devais faire.
Tout à coup, des gens m’ont vu et étaient très joyeux, ils ont applaudi. J’ai vu là-bas le Rav Ovadia Yossef [Zatsal] qui m’a serré la main. J’ai rencontré beaucoup de gens que je connaissais et qui sont maintenant décédés, ainsi que beaucoup de gens que je ne connaissais pas.
Je me trouvais dans une grande salle et subitement, je suis entré un peu plus à l’intérieur et il y avait une estrade extrêmement haute au-dessus de laquelle se trouvaient 3 lumières : une lumière très haute au centre, et deux autres petites lumière à droite et à gauche.
RRL : Quelles sont ces lumières ?
N : Ce sont celles qui témoignent sur toi : celle de droite raconte les mauvaises choses que tu as faites, et celle de gauche les bonnes.
RRL : Y a-t-il un tribunal ?
N : Oui.
RRL : Sais-tu qui y siégeait ? Y avait-il le Rav Ovadia Yossef (Zatsal) ?
N : Oui, il était le chef du tribunal.
RRL : Qui d’autres ?
N : Le Rav Eliyachiv [Zatsal].
RRL : Et le troisième ?
N : Je ne m’en souviens plus.
J’essaie de m’en rappeler mais je n’y arrive pas.
En tout cas, il y a le bien et le mal, à droite c’est le Yetser Hara (le mauvais penchant), et à gauche le Yetser Hatov (le bon penchant).
Tu ne vois rien à part une lumière, mais tu sais ce que c’est.
Rav Rami Lévy : Chers amis, lorsque le Rav Yona m’a contacté pour venir vous parler comme à chaque fête de Souccot et de Pessa’h, j’ai préparé quelque chose concernant le Machia’h.
Grâce à D.ieu, Hachem guide une personne dans les voies qu’Il désire, mais je ne pensais pas que D.ieu m’enverrait une telle aide du Ciel.
Le jeune homme assis ici à ma droite s’appelle Nathan, il n’habite pas à Jérusalem.
Je voudrais faire une petite introduction et dire qu’il a subi une expérience extrêmement dure, il va raconter ce qu’il a vu et nous transmettre un message.
Il est difficile pour le public de comprendre qu’en réalité, il n’a que 15 ans. Lorsque l’âme quitte le corps, elle peut assimiler en quelques minutes une quantité d’informations considérable. C’est-à-dire que dans l’autre monde, il est possible d’apprendre très rapidement ce qu’une personne mettrait des années à apprendre dans ce bas-monde.
Ce jeune homme a beaucoup à raconter, il lui est donc très difficile d’exprimer cela.
De plus, il n’a pas les mots appropriés pour décrire ce qu’il a vu car ce ne sont pas du tout des choses de ce monde. Mais depuis hier, je suis avec lui et l’encourage, et lentement il dévoile beaucoup de choses.
Le premier jour de Souccot, lui et sa mère ont été invités chez son oncle dans la ville de Modiine. Durant l’après-midi, il a commencé à ressentir des tremblements, et que ses mains et ses pieds devenaient froids. Il s’est dit qu’il devait simplement se reposer, et il est parti s’allonger.
Je lui laisse la parole afin qu’il nous raconte la suite. Il a senti qu’il quittait son corps par son nez.
Au début, il planait au-dessus de son corps et ne savait pas qui il était : était-il la personne couchée sur le lit ou celui qui planait au-dessus de celle-ci ?
Nathan, est-ce exact ?
Nathan : Oui.
Je commençais donc à planer en montant vers le haut, je continuais à monter de plus en plus et je voyais toute la planète Terre. Je continuais à monter jusqu’à me trouver dans une sorte de très grand tunnel au bout duquel j’apercevais une petite lumière, c’est très difficile à décrire mais dans ce tunnel, il y avait des sortes de spirales et on y voyait énormément d’âmes.
Plus j’avançais, plus la lumière grandissait, puis j’ai atteint cette lumière, mais je ne sais pas comment l’expliquer : c’était une sorte de lumière dont émanait de la sécurité et de l’amour, elle était totalement indescriptible.
RRL : Peut-on la comparer à une lumière dans ce monde ?
N : Non, en aucun cas. C’est inexplicable.
C’est comme si cette lumière me parlait avec des mots, mais par télépathie. Elle te parle, te pose des questions et m’a demandé si je voulais mourir.
J’ai compris que si je traversais cette limite de la lumière, je ne pourrais pas revenir en arrière. J’ai répondu que je ne savais pas et que je n’avais pas la moindre idée de ce que je devais faire.
Tout à coup, des gens m’ont vu et étaient très joyeux, ils ont applaudi. J’ai vu là-bas le Rav Ovadia Yossef [Zatsal] qui m’a serré la main. J’ai rencontré beaucoup de gens que je connaissais et qui sont maintenant décédés, ainsi que beaucoup de gens que je ne connaissais pas.
Je me trouvais dans une grande salle et subitement, je suis entré un peu plus à l’intérieur et il y avait une estrade extrêmement haute au-dessus de laquelle se trouvaient 3 lumières : une lumière très haute au centre, et deux autres petites lumière à droite et à gauche.
RRL : Quelles sont ces lumières ?
N : Ce sont celles qui témoignent sur toi : celle de droite raconte les mauvaises choses que tu as faites, et celle de gauche les bonnes.
RRL : Y a-t-il un tribunal ?
N : Oui.
RRL : Sais-tu qui y siégeait ? Y avait-il le Rav Ovadia Yossef (Zatsal) ?
N : Oui, il était le chef du tribunal.
RRL : Qui d’autres ?
N : Le Rav Eliyachiv [Zatsal].
RRL : Et le troisième ?
N : Je ne m’en souviens plus.
J’essaie de m’en rappeler mais je n’y arrive pas.
En tout cas, il y a le bien et le mal, à droite c’est le Yetser Hara (le mauvais penchant), et à gauche le Yetser Hatov (le bon penchant).
Tu ne vois rien à part une lumière, mais tu sais ce que c’est.