Mdr elles ont toutes une beauté particulière Je t'emmène au delà de l'horizon d'une contrée lointaine,
La où le ciel chaud berce la mer prude pour envouter les sirènes.
Blottis sur le pont du voilier, tu sens le plaisir gonfler tes veines
Quand de mes doigts fins, je m'immisce dans ta douce géhenne
Tout d'un coup, une chaleur brûlante irradie mon corps,
Je tremble de désir et mon coeur palpite si fort,
La douce brise caresse mes cheveux, l'air marin sur nous, s'évapore,
L'air est si pur, mon plaisir s'intensifie, avec toi je veux faire corps.
Tu frémis et gémis de désir et ton parfum me souffle que je suis amour, tu es Venise.
Il y a dans tes yeux, une belle péniche qui m'emmène vers une ile qui brule, qui m'attise.
Alors pour caresser tes seins qui pointent de plaisir, je déchire ta chemise.
Tu ne peux plus résister, tes lèvres voguent sur mon corps qui a lâche prise.
Pris dans le feu de notre passion, seul au loin, le cri des mouettes se fait entendre.
Affamée de désir, ma bouche se fait de plus en plus gourmande et mes lèvres courent pour te prendre.
Ton pouls s'accélère, ton sang se fige, ta respiration se bloque, tu suffoques et je sens que ta jouissance ne se fait plus attendre.
Alors, tu remontes ma tête, l'approche de ton visage, et dans ton regard fiévreux, je devine ton envie de me prendre.
Oui j'ai envie de te prendre ! De mon membre fort, je soulève ta jupe qui se plisse.
Je m'abandonne dans tes bras qui m'entourent, pour pénétrer enfin ton jardin des délices.
Tu halètes de plaisir, et chuchotes à mon oreille, que le voyage n'est qu'à ses prémices.
Je suis à toi, je t'offre mon âme, prêt à satisfaire tous tes inimaginables vices.
Le souffle coupé par les ondulations de nos corps qui se meuvent à lunisson.
Je suis grisée par les douces sensations que je ressens, et je suis à labandon.
Mes ongles senfoncent dans ta chair, je nen peux plus, ça y est, je touche le fond.
Une fois ma respiration apaisée, jarrive enfin à te susurrer, hum cétait trop bon, recommençons !