La "pma pour toutes" au programme de la révision de la loi de bioéthique

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Sladjana
  • Date de début Date de début
Des enfants posent des questions sur leurs géniteurs bien avant d'être adulte....quand il manque une mère ou un père et qu'il est évolue avec d'autres enfants la question se pose déjà : qui est mon père, ou est mon père, qui est ma mère ou est ma mère...

L'enfant a le droit d'avoir la tracabilité de sa venue et le pourquoi...lui refuser ce droit c'est de l'égoïsme et pas de l'amour....


et ça y est........ on en parle comme des denrées :joueur::joueur:

mais je m'en f.ous Je n'ai aucune idée sur la question, donc, aucune position

mam
 
Des enfants posent des questions sur leurs géniteurs bien avant d'être adulte....quand il manque une mère ou un père et qu'il est évolue avec d'autres enfants la question se pose déjà : qui est mon père, ou est mon père, qui est ma mère ou est ma mère...

L'enfant a le droit d'avoir la tracabilité de sa venue et le pourquoi...lui refuser ce droit c'est de l'égoïsme et pas de l'amour....
Je veux bien, mais à cet age il est facile de les berner/tromper.
Vis à vis de la loi, je crois qu'il faut être majeur, pour entreprendre ce genre de démarche unilatéral.
Oui, ama l'enfant devrait avoir le droit de connaitre ces géniteurs (traçabilité :eek:).
Et je pense aussi que c'est de l’égoïsme, Autrement pourquoi ne pas tout simplement adopter.

Maintenant ça reste un problème complexe, je n'ai aucune certitude. Ma crainte ce sont les dérives.
 
Salam mam'zelle :love:

salam mon cannibale préféré

comme toi, ce que je crains, ce sont les dérives


et comme on n'a pas de "référence" (officielle) sur cette position
je ne parle pas des personnes qui ont changé de pays pour le faire : il n'y a pas "prescription"
mais ce sont ces personnes là qui devraient pouvoir venir nous en parler.................


savez vous qu'aux USA , ils peuvent revendre ces bébés ?
@cuty-pie aurais tu des infos là dessus, mon amie ?



mam
 
et ça y est........ on en parle comme des denrées :joueur::joueur:

mais je m'en f.ous Je n'ai aucune idée sur la question, donc, aucune position

mam
Le terme de traçabilité n'est sans doute pas le mieux choisi, mais ça ne change rien au fond du problème, elle a raison. Un enfant a le droit de savoir qui sont tous ses parents. La levée de l'anonymat sur le don de gamètes devrait faire partie de la réforme de la loi. En fait, l'anonymat dans le domaine de la procréation devrait être interdit.
 
Salam Hibou,
Toujours en croisade !
Elles disent quoi tes études sur les familles monoparentale sans mère ?
Ce n'est pas tant l'absence d'un père qui pose problème, c'est plutôt l'absence de revenu et la paupérisation des familles mono parentales qui risque d'impliquer des déménagements dans des quartiers plus pauvres, des changements d'école et de cadre de vie, bref, une précarisation certaine des conditions de vie qui risquent d'être perturbante.
On note des problèmes dans les familles monoparentales, certes, mais les imputer essentiellement à une non présence masculine, c'est aller un peu trop vite en besogne.
 
Les enfants sans pères deviennent des instables pour la majorité, échec scolaire, violence, problème de drogue, donc la qualité du peuple français va baisser

Bah si cest ce qu'ils veulent faire baisser la qualité cest leur problème

Toute façon cest les labos qui ont poussé cest pour le fric
On est dans une société où tous les désirs individuels doivent être assouvies, des malades, faudra pas venir pleurer
Oui tu as raison. D'ailleurs il était où le père de Merah, et celui d'abdeslam ?
 
Oui tu as raison. D'ailleurs il était où le père de Merah, et celui d'abdeslam ?

Si tu le sais dis le, ils étaient ou ?

L'autre là elle croit jlé connais en perso ou quoi :joueur: le com de fach'

Y en a qui ont pas compris je suis pour pma moi, fatalement les individus avec père et mère seront équilibrés et dirigeront les autres, il faut bien des gens pour remplir les usines renault, il faut des gens pour bosser dans les hotels et spa et des gens pour construire des routes et des immeubles, c'est pas ma desendance qui va s'en charger ça c'est certain....

cest bon pour ke bousiness tout ça
donc viva pma :cool:
 
Je pense qu'un enfant n'est pas un objet, ni une nourriture, ni quoi que ce soit d'autres du même ordre. Ainsi, désirer un enfant ce n'est pas comme désirer acheter du chocolat, une voiture ou même un chien. […]
Les animaux non‑plus, ne sont pas des objets :confused:, et ils ne devraient pas non‑lus être des nourritures :desole:
 
Bonjour Hibou67,

Vous confondez monoparentalité et homoparentalité. […]
Non, je n’ai pas confondu les deux, j’ai parlé des familles mono‑parentales. Mais j’en ai parlé sans vraiment en parler, parce qu’il faudrait parler des familles avec les deux parents mais dont le père est absent, par exemple mis à l’écart par la mère, les familles mono‑parentales où la mère a offert un spectacle lamentable aux enfants avec un « père » douteux, etc.

Les familles homos ne sont pas mono‑parentales, il y a une altérité permanente en dehors de celle qu’il y a avec les enfants, c’est tout à fait différent d’une famille mono‑parentale, les enfants ne vivent pas la même chose qu’avec une « famille » mono‑parentale.

Mais avec les familles homos, se pose juste quand‑même la question de répondre aux questions des enfants comme l’a fait remarqué Drianke.
 
Dernière édition:
Fermer les maisons closes n'a pas fait baisser la prostitution. Ça a juste précarisé d'avantage les prostituées.

Avoir un père n'a jamais empêché de faire des psychopathes. Nos petits terroristes nationaux en sont la preuve. Les conditions optimales d’accueil ? Si vous voulez aller par là, on empêche les pauvres de faire des enfants. Un enfant aura t-il des meilleurs conditions chez un couple homo csp+ ou une famille au RSA avec le père qui boit et qui cogne sa femme ?
Et interdire le meurtre n’empêche pas tous les homicides, interdire le vol, n’empêche pas tous les vols, interdire l’abus de confiance n’empêche pas tous l’abus de confiance, etc. Ce n’est pas parce qu’on ne parvient pas totalement à mettre fin à une chose qu’on juge nuisible qu’on ne doit pas essayer.

Quand je parle de chose nuisible, c’est de mon point de vue, ce qui implique des personnes contre leur grès et qui leur cause un réel tord.
 
Des enfants posent des questions sur leurs géniteurs bien avant d'être adulte....quand il manque une mère ou un père et qu'il est évolue avec d'autres enfants la question se pose déjà : qui est mon père, ou est mon père, qui est ma mère ou est ma mère...

L'enfant a le droit d'avoir la tracabilité de sa venue et le pourquoi...lui refuser ce droit c'est de l'égoïsme et pas de l'amour....

:ange:

 
Ce n'est pas tant l'absence d'un père qui pose problème, c'est plutôt l'absence de revenu et la paupérisation des familles mono parentales qui risque d'impliquer des déménagements dans des quartiers plus pauvres, des changements d'école et de cadre de vie, bref, une précarisation certaine des conditions de vie qui risquent d'être perturbante.
On note des problèmes dans les familles monoparentales, certes, mais les imputer essentiellement à une non présence masculine, c'est aller un peu trop vite en besogne.
Justement, j’allais dire que dans une société féministe, l’absence de père n’est vu que comme une absence de revenu, mais tu viens de dire ce que j’avais oublié de dire. C’est déjà un problème …

La place du père peut avoir des conséquences mêmes dans les familles qui ne manquent pas de revenus.
 
Salam Ebionnino,
Parler d’un droit à l’enfant est une aberration !!! C'est pas un objet, On a des devoirs envers un enfant.
Ne rien savoir de celui ou celle qui a donné ses gamètes pour le faire naître le prive d’une partie de son histoire, or on sait l’importance du roman familial dans la construction de l’identité.

Pourquoi ne pas donner le droit à l'enfant, une fois adulte de connaitre ces géniteurs ?

Je suis d'accord en ceci que certains ne méritent pas d'être parents et doivent donc être stérilisés.
 
Bonjour sage & féroce @UNIVERSAL !

À mon avis ce serait trop difficile à mettre en application et à trouver des mesures objectives, mais c'est plus simple de stériliser ceux avec de graves problèmes de conduite!
Un peu comme ce qu'ont fait les Israéliens à l'égard des Falaschas qu'ils jugeaient indignes d'être géniteurs ?
http://www.lepoint.fr/monde/quand-i...-a-la-contraception-30-01-2013-1622050_24.php

Qui jaugerait de la capacité d'untel ou untel à devenir parent ? Le gouvernement ? Des "philosophes des lumières" ? La société ?

Ainsi nous autoriserions des gens seuls ou des couples homos à acheter des enfants afin de satisfaire leurs désirs individuels mais nous serions capables de décréter que tel ou tel autre couple serait indigne d'accueillir des enfants sous des prétextes qui seront bien évidemment, éminemment subjectifs.
Alors, l'on purifierait la race humaine en faisant en sorte que celui qui n'adhérerait pas à certaines thèses telles que la théorie du genre, par-exemple, qui irait voir des spectacles de Dieudonné (pourquoi pas tant qu'on y est), qui croirait en certaines théories du complot etc... se fasse stériliser de force.

Imaginez ce qu'un tel programme impliquerait en terme de symbole et en terme de dérives.
 
Dernière édition:
Nous n'avons, je ne pense pas, le recul nécessaire pour jauger de l'opportunité d'un tel modèle. Ce n'est pas quelques années qu'il faudrait pour estimer, mais des décennies. Ainsi, il me paraît impossible que d'émettre un jugement, dès maintenant, quant à la sagesse de ces pratiques.

Ca tombe bien, ça fait 2 décennies que ça existe dans d'autres pays que la vieille France.
 
et ça y est........ on en parle comme des denrées :joueur::joueur:

mais je m'en f.ous Je n'ai aucune idée sur la question, donc, aucune position

mam

Ptet qu'on va leur coller une jolie étiquette orange à l'oreille, du coup.

Note, moi qui ait souvent du mal à retenir les noms et prénoms; ça me servirait bien.
 
@DKKRR

Je suis sensible à tes objections. Il y a pas un modèle unique de parentalité acceptable, c'est un éventail. On n'a pas à dire quelle religion ou non-religion les parents doivent transmettre, sauf pour certaines sectes, et les parents n'insisteront pas tous sur les mêmes valeurs. Certains parents favorisent le sport, d'autres la musique, d'autres la culture, d'autres la piété, d'autres les relations sociales...

Par contre tu devrais reconnaître que certains déviants (criminels, abuseurs, manipulateurs, malades ou handicapés mentaux graves) n'ont tout simplement pas ce qu'il faut pour éduquer sainement un enfant.
 
Par contre tu devrais reconnaître que certains déviants (criminels, abuseurs, manipulateurs, malades ou handicapés mentaux graves) n'ont tout simplement pas ce qu'il faut pour éduquer sainement un enfant.
Le problème posé par @DKRR n'est pas de cet ordre.

Le problème est : qui va décider, et, en fonction de quels critères ?

On a un bon exemple : les daesch, al qaida et cie.

Ils terrorisent et occident (tuent) "les criminels, abuseurs, manipulateurs, malades ou handicapés mentaux graves", selon leurs critères.

Les exemples point Godwin ne manquent pas, non plus.

Selon moi, il n'y a pas de "Par contre". Je t'ai connu plus humaniste, @Ebion.
 
Le problème posé par @DKRR n'est pas de cet ordre.

Le problème est : qui va décider, et, en fonction de quels critères ?

On a un bon exemple : les daesch, al qaida et cie.

Ils terrorisent et occident (tuent) "les criminels, abuseurs, manipulateurs, malades ou handicapés mentaux graves", selon leurs critères.

Les exemples point Godwin ne manquent pas, non plus.

Selon moi, il n'y a pas de "Par contre". Je t'ai connu plus humaniste, @Ebion.

Il y a pas autant de relativité que ça dans le droit ni en psychiatrie. Un sociopathe, un violeur et un meurtrier est ce qu'il est indépendamment des sociétés. Et un schizophrène ou une borderline ne sera pas plus adapté en Orient qu'en Occident. C'est exact que certaines sociétés permettent des choses comme le mariage entre une fillette et un homme mûr, mais je doute qu'on puisse le justifier objectivement (pour ne pas en dire plus). Il y a quand même des faits qui demeurent inchangés sur la psychologie, les besoins des enfants et des femmes, qui ne dépendent pas des constructions sociales, religions, idéologies à la mode dans le monde post-vérité.
 
Il y a pas autant de relativité que ça dans le droit ni en psychiatrie. Un sociopathe, un violeur et un meurtrier est ce qu'il est indépendamment des sociétés. Et un schizophrène ou une borderline ne sera pas plus adapté en Orient qu'en Occident.
Tu qualifies, déjà, des choses différentes.

Il n'est pas interdit d'être sociopathe et schizophrène. Par contre, violer et assassiner, ça tombe sous le coup de la loi.
Je ne vois vraiment pas comment tu peux faire, objectivement, une corrélation entre ces deux choses : violer et assassiner sont des faits, pénalement répréhensibles. Schizophrène et sociopathe sont des états.

Schizophrène, sociopathe, autiste, pervers, etc... Nous le sommes tous, déjà, à des degrés divers.

Donc, je te repose la question, à laquelle tu refuses de répondre : Qui peut décider, objectivement, du droit à faire et/ou à élever des enfants ?
 
C'est exact que certaines sociétés permettent des choses comme le mariage entre une fillette et un homme mûr, mais je doute qu'on puisse le justifier objectivement (pour ne pas en dire plus).
Nous sommes d'accord sur ce fait. Tout individu a, ou devrait avoir, des droits inaliénables.

A partir du moment ou tu dis que certains individus n'ont pas le droit de faire des enfants, tu dénies à certains individus ces droits inaliénables.

La question devient donc : Faire des enfants est-il un droit inaliénable ?

En corollaire, (et j'adore m'envoyer, encore, et en corollaire), la question devient : "Qui décide du droit d'un individu ?".
 
Il y a quand même des faits qui demeurent inchangés sur la psychologie, les besoins des enfants et des femmes, qui ne dépendent pas des constructions sociales, religions, idéologies à la mode dans le monde post-vérité.
Pfiuu, là, déjà, tu admets tes limites : les besoins des enfants et des femmes dépendent, forcément, des constructions sociales et religieuses.

Rien que, faire référence, sur le forum "Islam" à la DUDH, va t'exposer à de sévères railleries, moqueries et humiliations diverses.

Tu te feras traiter de doux rêveur, au mieux, et/ou Islamophobe, raciste et sioniste, dans la majorité des réponses.
 
Tu qualifies, déjà, des choses différentes.

Il n'est pas interdit d'être sociopathe et schizophrène. Par contre, violer et assassiner, ça tombe sous le coup de la loi.
Je ne vois vraiment pas comment tu peux faire, objectivement, une corrélation entre ces deux choses : violer et assassiner sont des faits, pénalement répréhensibles. Schizophrène et sociopathe sont des états.

Schizophrène, sociopathe, autiste, pervers, etc... Nous le sommes tous, déjà, à des degrés divers.

Donc, je te repose la question, à laquelle tu refuses de répondre : Qui peut décider, objectivement, du droit à faire et/ou à élever des enfants ?

C'est une question importante, mais le statu quo est intenable. On voit trop clairement que certains individus sont inaptes au rôle de parent. Je suis d'accord qu'il y a des zones grises, mais il y a des cas qui ne font pas de doute!

Quant aux sociopathes, leur cerveau est différent du nôtre. Ils n'ont pas de conscience morale, Littéralement. Ce n'est pas qu'ils choisissent de désobéir à leur conscience, c'est qu'ils sont privés de conscience, comme un aveugle est privé de la vue. Leur confieriez-vous des enfants? Et ceux condamnés pour pédophilie?
 
Nous sommes d'accord sur ce fait. Tout individu a, ou devrait avoir, des droits inaliénables.

A partir du moment ou tu dis que certains individus n'ont pas le droit de faire des enfants, tu dénies à certains individus ces droits inaliénables.

La question devient donc : Faire des enfants est-il un droit inaliénable ?

En corollaire, (et j'adore m'envoyer, encore, et en corollaire), la question devient : "Qui décide du droit d'un individu ?".

Non ce n'est pas un droit inaliénable. Mais il y a la présomption qu'une personne peut le faire tant qu'elle n'a pas donné des preuves du contraire.
 
La question devient donc : Faire des enfants est-il un droit inaliénable ?.
Oui bien sûr, mais ce n'est pas qu'un droit, c'est avant tout un choix personnel...
Aucune loi n'oblige de concevoir des enfants ou refuse cette conception aux individus
Après un texte peut accorder juridiquement un reconnaissance légale d'avoir des enfants à l'ensemble de ses citoyens, comme pour les couples de lesbiennes ou les femmes célibataires...
Et puis il y a les gens incapables d'élever des enfants pour diverses raisons et ceux qui n'en veulent pas....
 
Retour
Haut