salam
A trois mois du Ramadan, un goût de désenchantement se fait sentir chez les professionnels du secteur audiovisuel. Le flou sur le sort des productions télévisuelles entretient ce climat.
En effet, ni le ministère de la Communication ni la direction de la SNRT nont réagi à lavis de la HACA sur lapplication des cahiers des charges, en particulier lachat des programmes.
Par conséquent, les productions sont toujours au point mort et les sociétés qui en ont la charge se sont mises au chômage technique.
LAssociation des entreprises du secteur audiovisuel (AESA) craint le pire puisquil sagit, selon elle, de milliers de familles et demplois qui sont menacés. Une situation qui perdure depuis une année et qui ne semble pas saméliorer pour autant.
« Il est inadmissible quaprès tant dinvestissements en temps et en argent afin de répondre aux appels doffres du mois de Ramadan, aucune décision ne soit prise», nous a confié Farid Benyakhlef, président de lASESA. Une situation des plus graves puisque la moitié de la production audiovisuelle annuelle est réalisée durant le Ramadan. Ceci dautant plus que les effets néfastes de cette situation ont commencé à se faire sentir.
« Il suffit de regarder nos chaînes télé pour se rendre compte de la situation. En effet, ces dernières se contentent depuis près de quatre mois de rediffuser leurs anciennes émissions et séries », nous a-t-il indiqué. Pire encore, les sociétés tombent en faillite les unes après les autres à cause du marasme qui sévit dans le secteur.
http://www.libe.ma/La-programmation...production-au-bord-de-la-faillite_a36974.html
A trois mois du Ramadan, un goût de désenchantement se fait sentir chez les professionnels du secteur audiovisuel. Le flou sur le sort des productions télévisuelles entretient ce climat.
En effet, ni le ministère de la Communication ni la direction de la SNRT nont réagi à lavis de la HACA sur lapplication des cahiers des charges, en particulier lachat des programmes.
Par conséquent, les productions sont toujours au point mort et les sociétés qui en ont la charge se sont mises au chômage technique.
LAssociation des entreprises du secteur audiovisuel (AESA) craint le pire puisquil sagit, selon elle, de milliers de familles et demplois qui sont menacés. Une situation qui perdure depuis une année et qui ne semble pas saméliorer pour autant.
« Il est inadmissible quaprès tant dinvestissements en temps et en argent afin de répondre aux appels doffres du mois de Ramadan, aucune décision ne soit prise», nous a confié Farid Benyakhlef, président de lASESA. Une situation des plus graves puisque la moitié de la production audiovisuelle annuelle est réalisée durant le Ramadan. Ceci dautant plus que les effets néfastes de cette situation ont commencé à se faire sentir.
« Il suffit de regarder nos chaînes télé pour se rendre compte de la situation. En effet, ces dernières se contentent depuis près de quatre mois de rediffuser leurs anciennes émissions et séries », nous a-t-il indiqué. Pire encore, les sociétés tombent en faillite les unes après les autres à cause du marasme qui sévit dans le secteur.
http://www.libe.ma/La-programmation...production-au-bord-de-la-faillite_a36974.html