Effectivement, la phrase est bizzare; mais ça m'a fait rire
La sexualité de la Maghrebine : refoulement ou rattrapage OU frustation? que fais-tu ma soeur? c’est pas possible
- Initiateur de la discussion BJDI2020
- Date de début
J'ai plus l'impression que ton message est un reproche aux femmes Maghrébines, qu'une demande d'éclaircissement et de débat. Essaie déjà de tourner ton message pour qu'il ne soit pas orienté mais plus posé objectivement. il est difficile de faire des raccourcies mais difficile de mettre un sujet dans l'espace publique pour être discuté objectivement.
Explique ta phrase "scientifiquement, la fille garde l'ADN de chaque homme avec qui elle a forniqué", j'ai un peu de mal à croire ce que tu dis. Dans la science et précisement la biologie, le corp humain rejet tout organ (donc ADN) étranger à ton ADN; c'est pour ça que c'est les opérations de greffe ne marchent pas toujours. Donc ta phrase est difficile à prouver
on a trouvé des microchimérisme masculins dans le cerveau des femmes ayant eu des rapports non protégés @manap tu avais raisonExplique ta phrase "scientifiquement, la fille garde l'ADN de chaque homme avec qui elle a forniqué", j'ai un peu de mal à croire ce que tu dis. Dans la science et précisement la biologie, le corp humain rejet tout organ (donc ADN) étranger à ton ADN; c'est pour ça que c'est les opérations de greffe ne marchent pas toujours. Donc ta phrase est difficile à prouver
ça reste à vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'aime pas trop parler de ces sujets, mais, un conseil aux filles qui ont des rapports oraux non protégés, les spermatozoides restent comme des cellules mortes dans vos passages nasaux, l'oreille interne et dans le flux sanguin jusqu'au cerveau
Je savais pas ça, je vais me renseigneron a trouvé des microchimérisme masculins dans le cerveau des femmes ayant eu des rapports non protégés @manap tu avais raison
ça reste à vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'aime pas trop parler de ces sujets, mais, un conseil aux filles qui ont des rapports oraux non protégés, les spermatozoides restent comme des cellules mortes dans vos passages nasaux, l'oreille interne et dans le flux sanguin jusqu'au cerveau
Ok, je ne peux pas nier ce que je ne connais pas. Je ne peux pas nier le fait qu'il y a des maladies sexuellement transmissible comme le SIDA, comme...les autres, pas besoin de les citer. Mais je ne peux pas te laisser parler d'ADN étranger qui reste dans le corp humainon a trouvé des microchimérisme masculins dans le cerveau des femmes ayant eu des rapports non protégés @manap tu avais raison
ça reste à vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'aime pas trop parler de ces sujets, mais, un conseil aux filles qui ont des rapports oraux non protégés, les spermatozoides restent comme des cellules mortes dans vos passages nasaux, l'oreille interne et dans le flux sanguin jusqu'au cerveau
. Ce n'est pas ce que la science et la médecine m'a appris jusque là 
tu peux faire tes propres recherchesOk, je ne peux pas nier ce que je ne connais pas. Je ne peux pas nier le fait qu'il y a des maladies sexuellement transmissible comme le SIDA, comme...les autres, pas besoin de les citer. Mais je ne peux pas te laisser parler d'ADN étranger qui reste dans le corp humain
Le placenta est d'ailleurs composé de l'adn du père...et donc ...
Trackergirl
VIB
on a trouvé des microchimérisme masculins dans le cerveau des femmes ayant eu des rapports non protégés @manap tu avais raison
ça reste à vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'aime pas trop parler de ces sujets, mais, un conseil aux filles qui ont des rapports oraux non protégés, les spermatozoides restent comme des cellules mortes dans vos passages nasaux, l'oreille interne et dans le flux sanguin jusqu'au cerveau
Ce site mentionne une étude pour les femmes qui ont eu des fistons: https://www.futura-sciences.com/san...e-femmes-ont-hommes-tete-litteralement-41494/
ienouchka
VIB
Voilà. C'est seulement en cas de grossesse. Pas autrement. Et ça fait un moment que c'est connu, l'article date de 2012 : https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0045592
pourtant on les a trouvé même chez les femmes ayant pas eu de grossesse
ienouchka
VIB
Tu aurais une source pour cette affirmation? ca m'intéresse...
Peut-être qu’elles ont avorté ?
ienouchka
VIB
Oui c'est en effet une bonne hypothèse.
Beaucoup de femmes, donc c’est pas tous les toits qu’elles ont avorté
mioulo
VIB
Pas la même expérience, elle sont très douces nos maghrébines.
Une femme de plus je dirais pas non.
Je pense que les contraintes culturelles, cultuelles créent chez certaines de nos compatriotes une relation pathologique à la chose sexuelle. Et ce, avec une éducation formatée faite de culpabilisation autour de la chose sexuelle.
Peu parlent de leur découverte des premiers plaisirs solitaires (c'est 3ibb, tabou), osent à peine parler onanisme. Le plexus est soit ouvert, occasionnellement à l'issue d'une surcharge hormonale pesante (l'onanisme dont l'on disait au siècle dernier qu'il rendait muet est plus efficace que le Xanax) ou fermé. En mode binaire. L'autre n'a que peu sa place. Il n'est pas vu comme un objet humanisé de plaisir à partager mais un moyen pour une fin. Se marier, faire des enfants puis se détacher de cet homme KKS habitué à connaître plusieurs partenaires avec son corollaire, la diversité de faunes qu'il cherche inlassablement dans un désir de conquête et de diversité. Lui, la conquête. Elle, la sécurité, le confort car comme le dit l'adage "une belle femme ne peut donner que ce qu'elle a". En ce sens, elle est parfaitement consciente, comme une fleur craignant l'hiver, que cette même beauté, son principal atout, se fane avec le temps. A son grand dam.
Le maquillage et l'embellissement en étant la marque. Cela fait partie de la parade nuptiale. Les animaux en font de même mais eux ne s'embarrassent guère de subterfuges, de code, de dogmes, de sentiments, de pré-requis intellectualisé. Ils y vont parce qu'ils sont programmés ainsi. Sans dialogue, sans prérequis excessif. Par désir, conscient ou pas, de perpétuation de l'espèce. Les femmes connues, les unes aussi différentes que les autres. Freud dit à raison que l'absence d'objet à mettre en fourreau (va.gin signifie fourreau) est ce qui caractérise la névrose originelle. La cavité. Le cervis. Celle de l'absence d'un organe saillant. Il est réduit, dans l'embryogenèse, à sa portion congrue. Le gland clitoridien est le vestige du gland phallique. Diminué, réduit. Cette obsession de la réduction, du manque structure la femme. Elle cherchera, aussi inconsciemment, à le combler. Par un instinct de conservation, par une quête de sécurité.
Bcp de maghrébines enfermées dans ce carcan sont ainsi passives. A la recherche de la reproduction d'un plaisir solitaire avec une homme objétisé et réifié. Son phallus n'est ni plus ni moins que le substitut à ses doigts, les objets inertes pris en substitution mais victimes de la frustration, s€x-toys dont les ventes explosent. L'aspect relationnel, osmotique est nié. Il n'est même pas intégré. Il ne faut pas s'y tromper. Le feu d'artifice n'est que dans les débuts et les prémisses. L'excitation de territoires inconnus, délaissés, mis en jachère mais contrairement à l'humus, dans le domaine de la reproduction, cela ne s'enrichit. Au contraire, cela s'appauvrit. Use it or loose it pour finir, tel un produit à obsolescence programmée (cf. apoptose cellulaire) par s'épuiser. Le corps a ses limites. L'homme en est tout autant conscient.
L'appétit vorace dont tu parles n'est que circonstanciel et circonstancié. Le KKS est lui aussi pris dans cette nasse. Phallocrate éduqué dans la reproduction d'un modèle patriarcal, il sombre dans une espèce de schizophrénie. A lui le goût de la chair. A elle l'abstinence et la chasteté. La construction d'un modèle d'immoralité pour celles qu'il convoite. De moralité pudibonde pour celles à qui il souhaite mettre la bague.
++
Peu parlent de leur découverte des premiers plaisirs solitaires (c'est 3ibb, tabou), osent à peine parler onanisme. Le plexus est soit ouvert, occasionnellement à l'issue d'une surcharge hormonale pesante (l'onanisme dont l'on disait au siècle dernier qu'il rendait muet est plus efficace que le Xanax) ou fermé. En mode binaire. L'autre n'a que peu sa place. Il n'est pas vu comme un objet humanisé de plaisir à partager mais un moyen pour une fin. Se marier, faire des enfants puis se détacher de cet homme KKS habitué à connaître plusieurs partenaires avec son corollaire, la diversité de faunes qu'il cherche inlassablement dans un désir de conquête et de diversité. Lui, la conquête. Elle, la sécurité, le confort car comme le dit l'adage "une belle femme ne peut donner que ce qu'elle a". En ce sens, elle est parfaitement consciente, comme une fleur craignant l'hiver, que cette même beauté, son principal atout, se fane avec le temps. A son grand dam.
Le maquillage et l'embellissement en étant la marque. Cela fait partie de la parade nuptiale. Les animaux en font de même mais eux ne s'embarrassent guère de subterfuges, de code, de dogmes, de sentiments, de pré-requis intellectualisé. Ils y vont parce qu'ils sont programmés ainsi. Sans dialogue, sans prérequis excessif. Par désir, conscient ou pas, de perpétuation de l'espèce. Les femmes connues, les unes aussi différentes que les autres. Freud dit à raison que l'absence d'objet à mettre en fourreau (va.gin signifie fourreau) est ce qui caractérise la névrose originelle. La cavité. Le cervis. Celle de l'absence d'un organe saillant. Il est réduit, dans l'embryogenèse, à sa portion congrue. Le gland clitoridien est le vestige du gland phallique. Diminué, réduit. Cette obsession de la réduction, du manque structure la femme. Elle cherchera, aussi inconsciemment, à le combler. Par un instinct de conservation, par une quête de sécurité.
Bcp de maghrébines enfermées dans ce carcan sont ainsi passives. A la recherche de la reproduction d'un plaisir solitaire avec une homme objétisé et réifié. Son phallus n'est ni plus ni moins que le substitut à ses doigts, les objets inertes pris en substitution mais victimes de la frustration, s€x-toys dont les ventes explosent. L'aspect relationnel, osmotique est nié. Il n'est même pas intégré. Il ne faut pas s'y tromper. Le feu d'artifice n'est que dans les débuts et les prémisses. L'excitation de territoires inconnus, délaissés, mis en jachère mais contrairement à l'humus, dans le domaine de la reproduction, cela ne s'enrichit. Au contraire, cela s'appauvrit. Use it or loose it pour finir, tel un produit à obsolescence programmée (cf. apoptose cellulaire) par s'épuiser. Le corps a ses limites. L'homme en est tout autant conscient.
L'appétit vorace dont tu parles n'est que circonstanciel et circonstancié. Le KKS est lui aussi pris dans cette nasse. Phallocrate éduqué dans la reproduction d'un modèle patriarcal, il sombre dans une espèce de schizophrénie. A lui le goût de la chair. A elle l'abstinence et la chasteté. La construction d'un modèle d'immoralité pour celles qu'il convoite. De moralité pudibonde pour celles à qui il souhaite mettre la bague.
++