Salam Aleykoum,
C'est un sujet que j'ai déjà abordé de nombreuses fois ici même et à d'autres endroits sans jamais avoir pu trouver une réponse apparaissant intéressante.
En dehors de Dieu, la vérité n'existe pas. En d'autres termes, le relativisme moral est le nécessaire aboutissement de la négation du Divin. Comment définir le mal et le bien de façon universelle ? Le bien et le mal ne semblent être que des conventions sociales variant selon le temps et l'espace.
Ce qui est un bien pour moi peut être un mal pour un autre. En quoi mon regard serait-il, non pas plus objectif mais, plus véridique que celui de cet autre ? Personnellement je considère que tous les hommes ne se valent pas. Bon il est évident que cette sentence est assurément un truisme pour la majorité des humains mais disons que là où nous divergeons, c'est que les hommes que je placerai dans la catégorie des infras-humains ne seront pas les mêmes que ceux de mon voisin ou même que ceux que je perçois en tant qu'infra-humains.
A partir du moment où le référentiel n'est plus Divin, alors les avis des uns valent ceux des autres. La vérité est profondément relative et n'existe que selon la subjectivité inhérente à notre être. C'est uniquement une autorité suprême, une autorité transcendante, une autorité Divine en fait, qui est à même de définir les règles car la créature ne peut pas, contrairement à son Créateur/Programmateur, établir les règles qui lui permettent de fonctionner.
Pour "illustrer" la problématique que je mets en avant, est-ce que quelqu'un est capable de me dire, sans contestation possible, en quoi le meurtre est-il mauvais (si l'on exclut le référentiel religieux) ?
C'est un sujet que j'ai déjà abordé de nombreuses fois ici même et à d'autres endroits sans jamais avoir pu trouver une réponse apparaissant intéressante.
En dehors de Dieu, la vérité n'existe pas. En d'autres termes, le relativisme moral est le nécessaire aboutissement de la négation du Divin. Comment définir le mal et le bien de façon universelle ? Le bien et le mal ne semblent être que des conventions sociales variant selon le temps et l'espace.
Ce qui est un bien pour moi peut être un mal pour un autre. En quoi mon regard serait-il, non pas plus objectif mais, plus véridique que celui de cet autre ? Personnellement je considère que tous les hommes ne se valent pas. Bon il est évident que cette sentence est assurément un truisme pour la majorité des humains mais disons que là où nous divergeons, c'est que les hommes que je placerai dans la catégorie des infras-humains ne seront pas les mêmes que ceux de mon voisin ou même que ceux que je perçois en tant qu'infra-humains.
A partir du moment où le référentiel n'est plus Divin, alors les avis des uns valent ceux des autres. La vérité est profondément relative et n'existe que selon la subjectivité inhérente à notre être. C'est uniquement une autorité suprême, une autorité transcendante, une autorité Divine en fait, qui est à même de définir les règles car la créature ne peut pas, contrairement à son Créateur/Programmateur, établir les règles qui lui permettent de fonctionner.
Pour "illustrer" la problématique que je mets en avant, est-ce que quelqu'un est capable de me dire, sans contestation possible, en quoi le meurtre est-il mauvais (si l'on exclut le référentiel religieux) ?