Bonjour
Voilà, je regarde les événements du monde actuel, que ce soit la politique internationale, les problèmes du Québec ou du Canada, ou l'état des débats culturels, sociaux et, surtout, identitaires.
Force est de constater que depuis un bon nombre d'années, une tendance se dessine. La haine prend de l'expansion et devient de plus en plus influente non seulement sur les réseaux sociaux et dans les écoles et médias, mais aussi dans les discours et agissements d'une nouvelle génération de politiciens, qui ne se donnent même plus la peine de dissimuler ou de réprimer leurs sentiments haineux et xénophobes, mais en font fièrement l'étalage, en sachant que cela est rentable politiquement.
Le symbole le plus visible de ce nouveau paradigme est évidemment Trump, mais le problème est beaucoup plus large que lui, et à certains égards, il le précède.
Cette haine n'est pas limitée à l'extrême droite : il y a aussi une forme de haine propre à l'extrême gauche (dont le « wokisme » et la cancel culture).
Les religions sont évidemment pas immunisées contre le virus de la haine. S'il y a des textes qui invitent à l'amour du prochain et à la tolérance, il y en a aussi d'autres qui sont beaucoup plus « antagonisants » et tribalistes. Une personne pieuse qui aime son prochain, elle va trouver dans sa religion un appui pour ses valeurs. Mais une personne qui veut haïr et persécuter d'autres communautés ou des minorités, malheureusement il y a des textes canoniques qui peuvent lui servir à « justifier » sa haine.
Mais l'athéisme, l'agnosticisme et le laïcisme non plus sont évidemment pas immunisés contre la haine.
Face à cette haine, « l'amour » porté par certaines personnes, ou même l'exigence de justice (je ne dis pas : vengeance) porté aussi par certaines personnes ne font pas le poids. Les personnes peuvent bénéficier de l'amour de leur famille et de leurs amis dans la vie quotidienne, bien sûr, mais c'est pas cela la « force » principale qui mène le monde et ses affaires.
L'amour a échoué.
Voilà, je regarde les événements du monde actuel, que ce soit la politique internationale, les problèmes du Québec ou du Canada, ou l'état des débats culturels, sociaux et, surtout, identitaires.
Force est de constater que depuis un bon nombre d'années, une tendance se dessine. La haine prend de l'expansion et devient de plus en plus influente non seulement sur les réseaux sociaux et dans les écoles et médias, mais aussi dans les discours et agissements d'une nouvelle génération de politiciens, qui ne se donnent même plus la peine de dissimuler ou de réprimer leurs sentiments haineux et xénophobes, mais en font fièrement l'étalage, en sachant que cela est rentable politiquement.
Le symbole le plus visible de ce nouveau paradigme est évidemment Trump, mais le problème est beaucoup plus large que lui, et à certains égards, il le précède.
Cette haine n'est pas limitée à l'extrême droite : il y a aussi une forme de haine propre à l'extrême gauche (dont le « wokisme » et la cancel culture).
Les religions sont évidemment pas immunisées contre le virus de la haine. S'il y a des textes qui invitent à l'amour du prochain et à la tolérance, il y en a aussi d'autres qui sont beaucoup plus « antagonisants » et tribalistes. Une personne pieuse qui aime son prochain, elle va trouver dans sa religion un appui pour ses valeurs. Mais une personne qui veut haïr et persécuter d'autres communautés ou des minorités, malheureusement il y a des textes canoniques qui peuvent lui servir à « justifier » sa haine.
Mais l'athéisme, l'agnosticisme et le laïcisme non plus sont évidemment pas immunisés contre la haine.
Face à cette haine, « l'amour » porté par certaines personnes, ou même l'exigence de justice (je ne dis pas : vengeance) porté aussi par certaines personnes ne font pas le poids. Les personnes peuvent bénéficier de l'amour de leur famille et de leurs amis dans la vie quotidienne, bien sûr, mais c'est pas cela la « force » principale qui mène le monde et ses affaires.
L'amour a échoué.