salam
Malgré ses insuffisances, une récente enquête en a attesté
Entre les Marocains et leurs moyens de transport en commun, cest le désamour. Une réalité que vient de confirmer Averty Market Research & Intelligence, un institut denquêtes et de sondages dopinion au Maroc.
Selon lenquête en ligne quil a réalisée pendant les mois de janvier et février 2013 auprès de 1.016 usagers des NTIC, les Marocains seraient insatisfaits de la sécurité des moyens de transport avec une note de 2,9/10, du confort (2,6/10), de la ponctualité (2,9/10) et de la disponibilité (3.5/10).
La même enquête a démontré que les voitures demeurent le moyen de transport le plus utilisé par les personnes enquêtées (31%), suivies par les bus (21%), les petits taxis (19%) et les autres moyens de transport en commun. Le choix du moyen usité est dabord motivé par la praticabilité (42% des enquêtés), la rapidité (40%) et le prix (37%).
Quant aux motifs des déplacements, le travail vient en premier lieu (51%), suivi par le règlement des affaires personnelles (48%) et lécole (34%). Parmi les utilisateurs de voitures, 35% y passent plus dune heure par jour et 56% dépensent plus de 1.000 DH par mois pour leurs déplacements (carburant, entretien du véhicule,...).
En outre, 85% des enquêtés utilisant principalement le petit taxi comme moyen de transport, y passent moins de 30 minutes par jour et 50% dentre eux y dépensent plus de 200 DH par mois. De plus, 54% des sondés utilisant principalement les transports en commun, y passent plus de 30 minutes par jour et 74% dentre eux y dépensent moins de 400 DH par mois.
Près de la moitié des personnes enquêtées (49%) passent plus de 10 minutes pour trouver un petit taxi et 58% passent en moyenne plus de 15 minutes à attendre le bus.
Pourtant, une question demeure : faut-il prendre au sérieux ces résultats ? Non. Plusieurs éléments les remettent, en effet, en cause. Dabord, la représentativité de léchantillon de lenquête. Le nombre dindividus interviewés ne dépassant pas les 1.016 personnes.
Un quota qui est loin de garantir la fiabilité des résultats proposés par le sondage. Du coup, la mauvaise qualité des résultats et leur marge derreur sont patentes.
http://www.libe.ma/La-voiture-moyen-de-deplacement-prefere-des-Marocains_a36611.html
Malgré ses insuffisances, une récente enquête en a attesté
Entre les Marocains et leurs moyens de transport en commun, cest le désamour. Une réalité que vient de confirmer Averty Market Research & Intelligence, un institut denquêtes et de sondages dopinion au Maroc.
Selon lenquête en ligne quil a réalisée pendant les mois de janvier et février 2013 auprès de 1.016 usagers des NTIC, les Marocains seraient insatisfaits de la sécurité des moyens de transport avec une note de 2,9/10, du confort (2,6/10), de la ponctualité (2,9/10) et de la disponibilité (3.5/10).
La même enquête a démontré que les voitures demeurent le moyen de transport le plus utilisé par les personnes enquêtées (31%), suivies par les bus (21%), les petits taxis (19%) et les autres moyens de transport en commun. Le choix du moyen usité est dabord motivé par la praticabilité (42% des enquêtés), la rapidité (40%) et le prix (37%).
Quant aux motifs des déplacements, le travail vient en premier lieu (51%), suivi par le règlement des affaires personnelles (48%) et lécole (34%). Parmi les utilisateurs de voitures, 35% y passent plus dune heure par jour et 56% dépensent plus de 1.000 DH par mois pour leurs déplacements (carburant, entretien du véhicule,...).
En outre, 85% des enquêtés utilisant principalement le petit taxi comme moyen de transport, y passent moins de 30 minutes par jour et 50% dentre eux y dépensent plus de 200 DH par mois. De plus, 54% des sondés utilisant principalement les transports en commun, y passent plus de 30 minutes par jour et 74% dentre eux y dépensent moins de 400 DH par mois.
Près de la moitié des personnes enquêtées (49%) passent plus de 10 minutes pour trouver un petit taxi et 58% passent en moyenne plus de 15 minutes à attendre le bus.
Pourtant, une question demeure : faut-il prendre au sérieux ces résultats ? Non. Plusieurs éléments les remettent, en effet, en cause. Dabord, la représentativité de léchantillon de lenquête. Le nombre dindividus interviewés ne dépassant pas les 1.016 personnes.
Un quota qui est loin de garantir la fiabilité des résultats proposés par le sondage. Du coup, la mauvaise qualité des résultats et leur marge derreur sont patentes.
http://www.libe.ma/La-voiture-moyen-de-deplacement-prefere-des-Marocains_a36611.html