salam
Si dans plusieurs pays, pour ne pas dire partout dans le monde, le problème des enfants des rues, persiste depuis des décennies, ce phénomène est récent dans les provinces du Sud.
En effet, la solidarité et la faible démographie ont toujours contribué à éradiquer ce phénomène qui, au-delà des enfants de la rue, concerne les vagabonds, les malades mentaux et les SDF qui peuplent les rues de la quasi totalité des villes du Sud.
Mais on constate, depuis quelques années, une nette augmentation du mombre des enfants de la rue et de malades mentaux.
La commission régionale des droits de l'Homme de la région de Laâyoune-Smara, consciente de ces problèmes, tente d'attirer l'attention des responsables.
C'est dans ce cadre qu'elle a organisé, mercredi 18 juillet, une journée d'étude sur ce problème, afin d'attirer l'attention des populations et des autorités et tenter de trouver des solutions à même d'éradiquer ce fléau, encore nouveau chez les habitants de cette région.
C'était le sujet qu'a traité dans son exposé Fatiha Lakri, actrice associative et membre de la commission régionale. Elle a déclaré à Libé que son exposé a mis en lumière ce fléau qui n'épargne aucun pays du monde, qu'il soit des plus nantis ou des plus pauvres. Elle nous a indiqué que l'organisation de cette journée visait à attirer l'attention sur ce problème et mettre chacun, autorités, société civile et populations, devant ses responsabilités.
L'exposé de Fatiha Lakri a été étayé par un documentaire réalisé par la chaîne régionale de Laâyoune qui avait donné la parole aux enfants des rues pour exposer leurs points de vue, et leurs problèmes, tout en explicitant les raisons qui les ont amenés à fuir le foyer familial.
A noter que différentes parties ont pris part à cette journée d'étude. Notamment des représentants des forces de l'ordre, des autorités locales et de la société civile. Les discussions étaient très instructives, aux dires de Salek Ben Aouisse, autre acteur associatif qui a participé aux travaux de cette journée qui, ajoute-t-il, ont porté sur les problèmes des enfants, leurs besoins et l'aide qui peut leur être apportée par les différents intervenants de la chose locale.
source:Libération
Si dans plusieurs pays, pour ne pas dire partout dans le monde, le problème des enfants des rues, persiste depuis des décennies, ce phénomène est récent dans les provinces du Sud.
En effet, la solidarité et la faible démographie ont toujours contribué à éradiquer ce phénomène qui, au-delà des enfants de la rue, concerne les vagabonds, les malades mentaux et les SDF qui peuplent les rues de la quasi totalité des villes du Sud.
Mais on constate, depuis quelques années, une nette augmentation du mombre des enfants de la rue et de malades mentaux.
La commission régionale des droits de l'Homme de la région de Laâyoune-Smara, consciente de ces problèmes, tente d'attirer l'attention des responsables.
C'est dans ce cadre qu'elle a organisé, mercredi 18 juillet, une journée d'étude sur ce problème, afin d'attirer l'attention des populations et des autorités et tenter de trouver des solutions à même d'éradiquer ce fléau, encore nouveau chez les habitants de cette région.
C'était le sujet qu'a traité dans son exposé Fatiha Lakri, actrice associative et membre de la commission régionale. Elle a déclaré à Libé que son exposé a mis en lumière ce fléau qui n'épargne aucun pays du monde, qu'il soit des plus nantis ou des plus pauvres. Elle nous a indiqué que l'organisation de cette journée visait à attirer l'attention sur ce problème et mettre chacun, autorités, société civile et populations, devant ses responsabilités.
L'exposé de Fatiha Lakri a été étayé par un documentaire réalisé par la chaîne régionale de Laâyoune qui avait donné la parole aux enfants des rues pour exposer leurs points de vue, et leurs problèmes, tout en explicitant les raisons qui les ont amenés à fuir le foyer familial.
A noter que différentes parties ont pris part à cette journée d'étude. Notamment des représentants des forces de l'ordre, des autorités locales et de la société civile. Les discussions étaient très instructives, aux dires de Salek Ben Aouisse, autre acteur associatif qui a participé aux travaux de cette journée qui, ajoute-t-il, ont porté sur les problèmes des enfants, leurs besoins et l'aide qui peut leur être apportée par les différents intervenants de la chose locale.
source:Libération