L'aid el adha est une bid3a, une innovation

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Moulatkoum
  • Date de début Date de début
comme chaque année, en rapport direct avec le pèlerinage, on célèbre la fête du sacrifice, cet aïd al Adha qui est devenu un anachronisme, symbole même du sous-développement.
On le voit bien, c'est une occasion de transformer nos villes en bergeries sans parler des saletés qui précèdent et suivent cette supposée fête qui est bien plus une tradition qu'un rite religieux.
Le sacrifice, un rite dans le cadre du hajj


Le sacrifice en islam est intimement lié au pèlerinage et ne s'impose que dans ce cadre. Aussi, l'aïd al Adha n'est une fête qu'à la Mecque, en étroite liaison avec le rituel du pèlerinage. En dehors du hajj, la fête du sacrifice est une innovation qui ne relève pas de la raison islamique pure.


Certes, le prophète a toujours veillé à s'acquitter du sacrifice à Médine, mais ce fut toujours en tant que rite du pèlerinage et non en fête indépendante. Ainsi appelle-t-on le jour du sacrifice "Jour du grand pèlerinage".
Ce qui revient à dire que sacrifier en dehors de l'enceinte du pèlerinage n'est qu'une tradition populaire honorant de plus en plus le commerce des moutons bien plus que la religion.
Le sacrifié n'est pas nommé dans le Coran
Par le geste du sacrifice, le prophète a honoré l'exemple d'Abraham. Or, il n'est nulle part dit dans le Coran que le sacrifié était Ismaël. De plus, la doctrine du début de l'islam assurait que c'était plutôt Isaac et non Ismaël, se conformant à ce que disait la Bible. Car le Coran, sauf en ce qu'il a rectifié du judaïsme, n'a pas renié la Tora.
C'était bien l'avis d'un grand nombre d'éminents jurisconsultes musulmans dignes de foi, comme Tabari, Qortobi, Zamakhchari ou Razi. Nombre des Compagnons du prophète le pensaient aussi, tels le calife Omar, le cousin du prophète Ali Ibn Abi Talib, son oncle Al Abbes et son fils Abdallah, ou l'illustre Abdallah Ibn Messaoud.

Ce qui n'est pas pour étonner, notre religion reconnaissant les prophètes venus avant le nôtre, l'islam étant l'Ultime Testament. De plus, admettre que c'était Isaac le sacrifié et non Ismaël était plutôt plus juste historiquement et conforme aux moeurs de l'époque ne reconnaissant pas de droit d'aînesse au fils d'esclave.
Hors La Mecque, l'aïd est commerce


Sauf à honorer Isaac, ce qui est légitime en islam, ultime révélation divine, le geste du sacrifice, hors du pèlerinage, est donc réduit à n'être qu'une tradition commerciale; c'est la fête du mouton.
On se soucie de manger, faire bombance et non honorer les valeurs cardinales de l'islam qui sont plutôt dans la solidarité tous les jours loin de l'ostentation et surtout ces spectacles de sous-développement qui se répètent chaque année. Regardons donc nos rues et nos supermarchés devenus des foires païennes éprises de matérialité au nom de notre religion qui est d'abord spiritualité !

Souvent, pour justifier leur attachement au rite du sacrifice en dehors de la Mecque, les adultes évoquent la nécessité de faire la joie des enfants; ce qui n'est qu'un prétexte fallacieux bien évidemment, les enfants d'aujourd'hui ayant d'autres moyens de s'amuser que de voir égorger un mouton. Ce qui peut traumatiser et/ou conditionner d'aucuns.
D'autant plus qu'avec ce qu'on voit chez nos terroristes de comportement bestial, il devient impératif d'éviter de violenter ainsi l'imaginaire de nos enfants en évitant de transformer nos foyers en boucheries.

Honorer l'aïd par une piété véritable
Il est bien temps de revenir au vrai islam par des retrouvailles avec une saine compréhension de la fête du sacrifice devant rester consignée à l'enceinte de la Mecque. Hors d'elle, la célébration du geste du pèlerin - qui n'est d'ailleurs plus exécuté de lui-même - doit se résoudre dans la piété, qui est d'abord de donner l'exemple par des qualités éminentes et un souci attentif à la solidarité communautaire
Nos autorités, si elles entendent être au service de la religion, ont le devoir de ne plus se taire sur cette tradition devenue néfaste pour le pays et son cheptel, ainsi que pour la bonne compréhension de la religion. Elles doivent veiller à mettre en garde contre un tel dévoiement des préceptes de l'islam et inviter les citoyens à se soucier en premier de l'intérêt général.

En temps de crise extrême comme celle que vit la Tunisie, encourager au sacrifice d'un mouton, au prix prohibitif qui plus est, c'est non seulement violer l'esprit de notre religion, mais aussi ne pas respecter sa lettre. Celle-ci est explicite, le musulman ne devant pas se faire du tort en honorant les préceptes de sa foi qui demeure indulgente, n'ayant de raison d'être que l'intérêt du fidèle.

http://www.huffpostmaghreb.com/farh...on_b_17869314.html?ncid=fcbklnkfrhpmg00000006
 
quand j'ai égorgé mon mouton sans l'étourdir
en espérant qu'Allah accepte mon sacrifice
j'ai pensé a tous les taulards et tous les tocards
tous ces imbéciles heureux qui crient ''sauvages!!''
''faut étourdir la bête''!!
''respectez l'animal bande de *******!''

non
non et non

nous sacrifions et nous continuerons de sacrifier
pour Allah et par Soumission a LUİ
nous honorerons la mémoire de İbrahim Aleyhisselam et de son fils
qui étaient eux aussi des Soumis a Allah

plus vous interdirez
et plus nous sacrifierons avec encore plus de convictions
ce que satan vous insuffle ne nous touche pas
ne vous fatiguez pas pour rien
 
je vois venir la horde de sauvages qui veut me lapider:D

calmos
prenez une tisane, ou une verveine
respirez 3 fois
repondez intelligemment en utilisant des arguments
C'est juste un extrait de l'opinion de certains musulmans de Molenbek suite au fait que la région n'a pas,
cette année organisé l’abattage, mais je pense que ceux la ont cette année retrouvé le sens

"Certaines familles s’orientent vers le don.
Elles envoient l’argent destiné au mouton dans leur pays d’origine ou dans des pays pauvres.
Ils achètent leurs pièces directement chez le boucher.
Toute la population n’est pas spécialement du même avis", explique la bourgmestre "...

http://www.lalibre.be/regions/bruxe...-fete-sans-sacrifice-59a9cf08cd706e263fbb8ef1
 
quand j'ai égorgé mon mouton sans l'étourdir
en espérant qu'Allah accepte mon sacrifice
j'ai pensé a tous les taulards et tous les tocards
tous ces imbéciles heureux qui crient ''sauvages!!''
''faut étourdir la bête''!!
''respectez l'animal bande de *******!''

non
non et non

nous sacrifions et nous continuerons de sacrifier
pour Allah et par Soumission a LUİ
nous honorerons la mémoire de İbrahim Aleyhisselam et de son fils
qui étaient eux aussi des Soumis a Allah

plus vous interdirez
et plus nous sacrifierons avec encore plus de convictions
ce que satan vous insuffle ne nous touche pas
ne vous fatiguez pas pour rien


ou c'est ecrit dans le coran qu'il faut sacrifier des betes pour soulager Allah?
 
C'est juste un extrait de l'opinion de certains musulmans de Molenbek suite au fait que la région n'a pas,
cette année organisé l’abattage, mais je pense que ceux la ont cette année retrouvé le sens

"Certaines familles s’orientent vers le don.
Elles envoient l’argent destiné au mouton dans leur pays d’origine ou dans des pays pauvres.
Ils achètent leurs pièces directement chez le boucher.
Toute la population n’est pas spécialement du même avis", explique la bourgmestre "...

http://www.lalibre.be/regions/bruxe...-fete-sans-sacrifice-59a9cf08cd706e263fbb8ef1


je vois pas le rapport
hors sujet
 
La plupart des peuples païens faisaient des sacrifices, ils ont sacrifié des animaux mais aussi des hommes. Les peuples primitifs adoraient faire couler du sang.
Parfois certaines civilisations ont disparu à cause de ses sacrifices. Lors des années de sécheresses on sacrifie les hommes les plus forts ou les plus expérimentés pour plaire aux dieux.
Aujourd'hui on est plus évolué on sacrifie les animaux en l'engorgement et les hommes pour des causes devines ou pour s'enrichir de plus en plus.
 
ou c'est ecrit dans le coran qu'il faut sacrifier des betes pour soulager Allah?

c'est ds le coran et dans la bible
si tu sais lire...


Le Sacrifice d’Araham dans le Coran
Au chapitre XXXVII
Il (Abraham) dit :
« Oui, je vais aller vers mon Seigneur, il me guidera.
Mon Seigneur !
Accorde-moi un fils qui soit juste ».
Nous lui avons alors annoncé une bonne nouvelle la naissance d’un garçon, doux de caractère.
Lorsqu’il fut en âge d’accompagner son père, celui-ci dit :
« O mon fils ! Je me suis vu moi-même en songe,
et je t’immolais ; qu’en penses-tu ? »
Il dit :
« O mon père ! Fais ce qui t’es ordonné.
Tu me trouveras patient, si Dieu le veut ! »
Après que tous deux se furent soumis, et qu’Abraham eut jeté son fils, le front à terre,
nous lui criâmes :
« O Abraham ! Tu as cru en cette vision et tu l’as réalisée ;
c’est ainsi que nous récompensons ceux qui font le bien :
voilà l’épreuve concluante ».
Nous avons racheté son fils par un sacrifice solennel
Nous avons perpétué son souvenir dans la postérité :
« Paix sur Abraham ! »
C’est ainsi que nous récompensons ceux qui font le bien.
Il était au nombre de nos serviteurs croyants.
Coran XXXVII 99 - 111
(d’après la traduction de Denise Masson revue par Dr. Sobhi El-Saleh)




Le Sacrifice d’Abraham dans la bible
En Genèse 2

1Après ces choses, Dieu mit Abraham à l'épreuve, et lui dit: Abraham! Et il répondit: Me voici!
2Dieu dit: Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai.
3Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit.
4Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit le lieu de loin.
5Et Abraham dit à ses serviteurs: Restez ici avec l'âne; moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous.
6Abraham prit le bois pour l'holocauste, le chargea sur son fils Isaac, et porta dans sa main le feu et le couteau. Et il marchèrent tous deux ensemble.
7Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l'agneau pour l'holocauste?
8Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
9Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois.
10Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils.
11Alors l'ange de l'Éternel l'appela des cieux, et dit: Abraham! Abraham! Et il répondit: Me voici!
12L'ange dit: N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique.
13Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.
14Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui: A la montagne de l'Éternel il sera pourvu.
15L'ange de l'Éternel appela une seconde fois Abraham des cieux,
16et dit: Je le jure par moi-même, parole de l'Éternel! parce que tu as fais cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique,
17je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis.
18Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix.

 
c'est ds le coran et dans la bible
si tu sais lire...


Le Sacrifice d’Araham dans le Coran
Au chapitre XXXVII
Il (Abraham) dit :
« Oui, je vais aller vers mon Seigneur, il me guidera.
Mon Seigneur !
Accorde-moi un fils qui soit juste ».
Nous lui avons alors annoncé une bonne nouvelle la naissance d’un garçon, doux de caractère.
Lorsqu’il fut en âge d’accompagner son père, celui-ci dit :
« O mon fils ! Je me suis vu moi-même en songe,
et je t’immolais ; qu’en penses-tu ? »
Il dit :
« O mon père ! Fais ce qui t’es ordonné.
Tu me trouveras patient, si Dieu le veut ! »
Après que tous deux se furent soumis, et qu’Abraham eut jeté son fils, le front à terre,
nous lui criâmes :
« O Abraham ! Tu as cru en cette vision et tu l’as réalisée ;
c’est ainsi que nous récompensons ceux qui font le bien :
voilà l’épreuve concluante ».
Nous avons racheté son fils par un sacrifice solennel
Nous avons perpétué son souvenir dans la postérité :
« Paix sur Abraham ! »
C’est ainsi que nous récompensons ceux qui font le bien.
Il était au nombre de nos serviteurs croyants.
Coran XXXVII 99 - 111
(d’après la traduction de Denise Masson revue par Dr. Sobhi El-Saleh)




Le Sacrifice d’Abraham dans la bible
En Genèse 2

1Après ces choses, Dieu mit Abraham à l'épreuve, et lui dit: Abraham! Et il répondit: Me voici!
2Dieu dit: Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai.
3Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit.
4Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit le lieu de loin.
5Et Abraham dit à ses serviteurs: Restez ici avec l'âne; moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous.
6Abraham prit le bois pour l'holocauste, le chargea sur son fils Isaac, et porta dans sa main le feu et le couteau. Et il marchèrent tous deux ensemble.
7Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l'agneau pour l'holocauste?
8Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
9Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois.
10Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils.
11Alors l'ange de l'Éternel l'appela des cieux, et dit: Abraham! Abraham! Et il répondit: Me voici!
12L'ange dit: N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique.
13Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.
14Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui: A la montagne de l'Éternel il sera pourvu.
15L'ange de l'Éternel appela une seconde fois Abraham des cieux,
16et dit: Je le jure par moi-même, parole de l'Éternel! parce que tu as fais cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique,
17je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis.
18Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix.

au debut c'etait les premiers nouveaux nés d'humains qu'ils fallaient jeter au feu pour soulager Dieu
sous les cris horribles des mamans

apres ils ont evolué et remplacé leur bébé par des agneaux

y'en a qui continuent a sacrifier des betes pour soulager Dieu

sauf qu'a l'origine c'est des humains qu'il fallait sacrifier
 
La plupart des peuples païens faisaient des sacrifices, ils ont sacrifié des animaux mais aussi des hommes. Les peuples primitifs adoraient faire couler du sang.
Parfois certaines civilisations ont disparu à cause de ses sacrifices. Lors des années de sécheresses on sacrifie les hommes les plus forts ou les plus expérimentés pour plaire aux dieux.
Aujourd'hui on est plus évolué on sacrifie les animaux en l'engorgement et les hommes pour des causes devines ou pour s'enrichir de plus en plus.


sacrifier un mouton pour s'enrichir:joueur:

elle est bonne celle la
 
Tu es en train d'essayer de nous prendre pour des ânes :
Tu ferais mieux de revoir les bases de l'islam et éviter de faire dire des choses mensongères aux compagnons du prophètes salahou alayhi wa salam.

Tu ne connais rien à l'islam et le peux que tu connais tu le déformes et tu nous sers des choses fausses et mensongères.
Tu nous sers une propagande islamophobe de bas niveau







comme chaque année, en rapport direct avec le pèlerinage, on célèbre la fête du sacrifice, cet aïd al Adha qui est devenu un anachronisme, symbole même du sous-développement.
On le voit bien, c'est une occasion de transformer nos villes en bergeries sans parler des saletés qui précèdent et suivent cette supposée fête qui est bien plus une tradition qu'un rite religieux.
Le sacrifice, un rite dans le cadre du hajj


Le sacrifice en islam est intimement lié au pèlerinage et ne s'impose que dans ce cadre. Aussi, l'aïd al Adha n'est une fête qu'à la Mecque, en étroite liaison avec le rituel du pèlerinage. En dehors du hajj, la fête du sacrifice est une innovation qui ne relève pas de la raison islamique pure.


Certes, le prophète a toujours veillé à s'acquitter du sacrifice à Médine, mais ce fut toujours en tant que rite du pèlerinage et non en fête indépendante. Ainsi appelle-t-on le jour du sacrifice "Jour du grand pèlerinage".
Ce qui revient à dire que sacrifier en dehors de l'enceinte du pèlerinage n'est qu'une tradition populaire honorant de plus en plus le commerce des moutons bien plus que la religion.
Le sacrifié n'est pas nommé dans le Coran
Par le geste du sacrifice, le prophète a honoré l'exemple d'Abraham. Or, il n'est nulle part dit dans le Coran que le sacrifié était Ismaël. De plus, la doctrine du début de l'islam assurait que c'était plutôt Isaac et non Ismaël, se conformant à ce que disait la Bible. Car le Coran, sauf en ce qu'il a rectifié du judaïsme, n'a pas renié la Tora.
C'était bien l'avis d'un grand nombre d'éminents jurisconsultes musulmans dignes de foi, comme Tabari, Qortobi, Zamakhchari ou Razi. Nombre des Compagnons du prophète le pensaient aussi, tels le calife Omar, le cousin du prophète Ali Ibn Abi Talib, son oncle Al Abbes et son fils Abdallah, ou l'illustre Abdallah Ibn Messaoud.

Ce qui n'est pas pour étonner, notre religion reconnaissant les prophètes venus avant le nôtre, l'islam étant l'Ultime Testament. De plus, admettre que c'était Isaac le sacrifié et non Ismaël était plutôt plus juste historiquement et conforme aux moeurs de l'époque ne reconnaissant pas de droit d'aînesse au fils d'esclave.
Hors La Mecque, l'aïd est commerce


Sauf à honorer Isaac, ce qui est légitime en islam, ultime révélation divine, le geste du sacrifice, hors du pèlerinage, est donc réduit à n'être qu'une tradition commerciale; c'est la fête du mouton.
On se soucie de manger, faire bombance et non honorer les valeurs cardinales de l'islam qui sont plutôt dans la solidarité tous les jours loin de l'ostentation et surtout ces spectacles de sous-développement qui se répètent chaque année. Regardons donc nos rues et nos supermarchés devenus des foires païennes éprises de matérialité au nom de notre religion qui est d'abord spiritualité !

Souvent, pour justifier leur attachement au rite du sacrifice en dehors de la Mecque, les adultes évoquent la nécessité de faire la joie des enfants; ce qui n'est qu'un prétexte fallacieux bien évidemment, les enfants d'aujourd'hui ayant d'autres moyens de s'amuser que de voir égorger un mouton. Ce qui peut traumatiser et/ou conditionner d'aucuns.
D'autant plus qu'avec ce qu'on voit chez nos terroristes de comportement bestial, il devient impératif d'éviter de violenter ainsi l'imaginaire de nos enfants en évitant de transformer nos foyers en boucheries.


En temps de crise extrême comme celle que vit la Tunisie, encourager au sacrifice d'un mouton, au prix prohibitif qui plus est, c'est non seulement violer l'esprit de notre religion, mais aussi ne pas respecter sa lettre. Celle-ci est explicite, le musulman ne devant pas se faire du tort en honorant les préceptes de sa foi qui demeure indulgente, n'ayant de raison d'être que l'intérêt du fidèle.

http://www.huffpostmaghreb.com/farh...on_b_17869314.html?ncid=fcbklnkfrhpmg00000006
 
comme chaque année, en rapport direct avec le pèlerinage, on célèbre la fête du sacrifice, cet aïd al Adha qui est devenu un anachronisme, symbole même du sous-développement.
On le voit bien, c'est une occasion de transformer nos villes en bergeries sans parler des saletés qui précèdent et suivent cette supposée fête qui est bien plus une tradition qu'un rite religieux.
Le sacrifice, un rite dans le cadre du hajj


Le sacrifice en islam est intimement lié au pèlerinage et ne s'impose que dans ce cadre. Aussi, l'aïd al Adha n'est une fête qu'à la Mecque, en étroite liaison avec le rituel du pèlerinage. En dehors du hajj, la fête du sacrifice est une innovation qui ne relève pas de la raison islamique pure.


Certes, le prophète a toujours veillé à s'acquitter du sacrifice à Médine, mais ce fut toujours en tant que rite du pèlerinage et non en fête indépendante. Ainsi appelle-t-on le jour du sacrifice "Jour du grand pèlerinage".
Ce qui revient à dire que sacrifier en dehors de l'enceinte du pèlerinage n'est qu'une tradition populaire honorant de plus en plus le commerce des moutons bien plus que la religion.
Le sacrifié n'est pas nommé dans le Coran
Par le geste du sacrifice, le prophète a honoré l'exemple d'Abraham. Or, il n'est nulle part dit dans le Coran que le sacrifié était Ismaël. De plus, la doctrine du début de l'islam assurait que c'était plutôt Isaac et non Ismaël, se conformant à ce que disait la Bible. Car le Coran, sauf en ce qu'il a rectifié du judaïsme, n'a pas renié la Tora.
C'était bien l'avis d'un grand nombre d'éminents jurisconsultes musulmans dignes de foi, comme Tabari, Qortobi, Zamakhchari ou Razi. Nombre des Compagnons du prophète le pensaient aussi, tels le calife Omar, le cousin du prophète Ali Ibn Abi Talib, son oncle Al Abbes et son fils Abdallah, ou l'illustre Abdallah Ibn Messaoud.

Ce qui n'est pas pour étonner, notre religion reconnaissant les prophètes venus avant le nôtre, l'islam étant l'Ultime Testament. De plus, admettre que c'était Isaac le sacrifié et non Ismaël était plutôt plus juste historiquement et conforme aux moeurs de l'époque ne reconnaissant pas de droit d'aînesse au fils d'esclave.
Hors La Mecque, l'aïd est commerce


Sauf à honorer Isaac, ce qui est légitime en islam, ultime révélation divine, le geste du sacrifice, hors du pèlerinage, est donc réduit à n'être qu'une tradition commerciale; c'est la fête du mouton.
On se soucie de manger, faire bombance et non honorer les valeurs cardinales de l'islam qui sont plutôt dans la solidarité tous les jours loin de l'ostentation et surtout ces spectacles de sous-développement qui se répètent chaque année. Regardons donc nos rues et nos supermarchés devenus des foires païennes éprises de matérialité au nom de notre religion qui est d'abord spiritualité !

Souvent, pour justifier leur attachement au rite du sacrifice en dehors de la Mecque, les adultes évoquent la nécessité de faire la joie des enfants; ce qui n'est qu'un prétexte fallacieux bien évidemment, les enfants d'aujourd'hui ayant d'autres moyens de s'amuser que de voir égorger un mouton. Ce qui peut traumatiser et/ou conditionner d'aucuns.
D'autant plus qu'avec ce qu'on voit chez nos terroristes de comportement bestial, il devient impératif d'éviter de violenter ainsi l'imaginaire de nos enfants en évitant de transformer nos foyers en boucheries.

Honorer l'aïd par une piété véritable
Il est bien temps de revenir au vrai islam par des retrouvailles avec une saine compréhension de la fête du sacrifice devant rester consignée à l'enceinte de la Mecque. Hors d'elle, la célébration du geste du pèlerin - qui n'est d'ailleurs plus exécuté de lui-même - doit se résoudre dans la piété, qui est d'abord de donner l'exemple par des qualités éminentes et un souci attentif à la solidarité communautaire
Nos autorités, si elles entendent être au service de la religion, ont le devoir de ne plus se taire sur cette tradition devenue néfaste pour le pays et son cheptel, ainsi que pour la bonne compréhension de la religion. Elles doivent veiller à mettre en garde contre un tel dévoiement des préceptes de l'islam et inviter les citoyens à se soucier en premier de l'intérêt général.

En temps de crise extrême comme celle que vit la Tunisie, encourager au sacrifice d'un mouton, au prix prohibitif qui plus est, c'est non seulement violer l'esprit de notre religion, mais aussi ne pas respecter sa lettre. Celle-ci est explicite, le musulman ne devant pas se faire du tort en honorant les préceptes de sa foi qui demeure indulgente, n'ayant de raison d'être que l'intérêt du fidèle.

http://www.huffpostmaghreb.com/farh...on_b_17869314.html?ncid=fcbklnkfrhpmg00000006


continues juste à payer tes impots

là soudainement tes neuronnes arretent de bouger :D

les impots on peut les payer par virement ou cash ?:D

quelle bandes de lobotomisés kkkkkkkkkkk
 
Tu es en train d'essayer de nous prendre pour des ânes :
Tu ferais mieux de revoir les bases de l'islam et éviter de faire dire des choses mensongères aux compagnons du prophètes salahou alayhi wa salam.

Tu ne connais rien à l'islam et le peux que tu connais tu le déformes et tu nous sers des choses fausses et mensongères.
Tu nous sers une propagande islamophobe de bas niveau


qu'est ce qui est dans mon article et qui est mensonger?

utilise des arguments:)
 
Tu touches le fonds du fonds , quelle ignorance

Tu mélange tout, tu ne connais rien à l'islam .

Nous avons ce point commun avec la communauté juive qui sacrifie les moutons et les chèvres autant que les musulmans , et les égorge sans étourdissement partout dans le monde.
Va les convaincre que seul leurs prophètes ( qui sont aussi les notre ) ont sacrifiés et qu'eux ne doivent plus sacrifier


c'etait exceptionnel

car il es le prophete

il avait aussi 11 femmes
ca veut dire que tu peut en avoir 11?
 
Tu touches le fonds du fonds , quelle ignorance

Tu mélange tout, tu ne connais rien à l'islam .

Nous avons ce point commun avec la communauté juive qui sacrifie les moutons et les chèvres autant que les musulmans , et les égorge sans étourdissement partout dans le monde.
Va les convaincre que seul leurs prophètes ( qui sont aussi les notre ) ont sacrifiés et qu'eux ne doivent plus sacrifier

les juifs sacrifient des moutons?

n'importe quoi

tu es mal renseigné
 
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