Arrête de dire n'importe quoi il y a jamais eu 7 touaregs disparus à Ghardaia.
Ghardaia est une ville sécurisé 2 femmes russes ont fait une vidéo sur Ghardaia il y a peine 2 mois pour faire du tourisme
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Tu sais lire ou tu as des problèmes de compréhension ? C'est la direction du Rallye Paris / Dakar qui s'est rendu à Alger pour avoir l'accord des autorités algériennes de faire revenir le Paris / Dakar en Algérie.
Dès sa création en 1979 le Rallye Paris Dakar a traversé l'Algérie jusqu'en 1988, ensuite c'est la Tunisie qui a pris le relais en 1989 puis la Libye en 1990, et au Maroc à partir de 1993 et en Egypte en 2000 :
http://rallye-dakar.radiogenerique.com/1979/rallye_dakar_1979.html
Depuis 4 ans l'Algérie organise un Rallye International dans son Sahara qui se sont tous très bien passé c'est pour ça que la direction du Paris / Dakar veut faire son retour en Algérie
Tu as même un spécial Rallye International féminin organisé chaque année dans le Sahara algérien ou des pilotes françaises, italiennes, espagnoles, tunisiennes, marocaines, egyptiennes et algériennes y participent
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Je vais pas allimenter un trolle de pacotille comme toi. Les infos sont sur le net.
Les terroristes abattus seraient algériens: Toute l'actualité sur lesoirdalgerie.com
Publié par Abla Chérif
le 28.03.2018 , 11h00
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«C’est un véritable coup de pied dans la fourmilière» qui a été donné ce samedi à Ouabri, territoire libyen frontalier avec l’Algérie, affirment les fins connaisseurs du dossier. La frappe américaine menée contre un abri terroriste a semé une véritable confusion au sein des groupes armés repliés dans cette région.
Abla Chérif - Alger (Le Soir) - Ouabri est, en effet, connue comme étant une véritable zone de repli des éléments terroristes chassés des territoires libyens où se livre une guerre sans merci contre les groupes de Daesh. En juillet dernier, Le Soir d’Algérie signalait déjà que des dizaines d’individus fuyant le Nord se dirigeaient vers la région de Ghat elle-même située à quelques kilomètres de Ouabri. Les deux villes s’étalent sur la bande frontalière algéro-libyenne (elles jouxtent Djanet).
Le parcours fréquemment utilisé par les caravaniers et trafiquants en tous genres. A la même période, et remarquant un mouvement anormal, des nomades alertent les autorités algériennes et font état d’un important regroupement terroriste. On parle alors de camp terroriste constitué d’éléments ayant activé pour le compte du sinistre Belmokhtar. Blessé durant un raid aérien mené à Syrte, il serait décédé lors de son évacuation vers Ghat et enterré à Ouabri.
L’existence de ce camp aux frontières algériennes se confirme progressivement. On soupçonne y compris les terroristes d’avoir dérobé trois avions agricoles mystérieusement disparus d’un hangar. Conscientes du danger, les autorités militaires algériennes renforcent le cordon de sécurité aux frontières.
Engagé dans une guerre totale contre les groupes de Daesh, le GNA (Gouvernement national libyen) semble lui aussi suivre de près l’affaire. Durant l’été, il concentre, cependant, ses efforts sur la bataille pour la récupération de Syrte. Au même moment, des démarches diplomatiques se déroulent sous la coupe des Nations-Unies. Le nouveau secrétaire général de l’ONU déclare au monde sa volonté d’aider les Libyens à se débarrasser du terrorisme. Antonio Guterres présente un rapport au Conseil de sécurité qui décide alors de fournir au GNA l’aide militaire nécessaire lorsque cette dernière est sollicitée. C’est exactement ce que fait Faïez Esserraj (président du GNA). Face à la menace des terroristes regroupés entre Ghat et Ouabri, il introduit une demande à laquelle répond l’Africom.
Le Commandement des Etats-Unis pour l’Afrique officialise l’information et rend public (samedi) un communiqué où il annonce la mort de deux éléments armés. Ces derniers se trouvaient dans une maison qui servait de lieu de réunion aux chefs terroristes. L’opération a été coordonnée avec le GNA. L’Africom ne livre aucune indication sur l’identité des deux individus abattus. Lundi à Alger, certaines informations non confirmées laissaient entendre qu’il s’agissait de deux Algériens.
Une certitude, cependant : la frappe menée a semé une véritable confusion au sein des groupes terroristes. Chassés du Nord libyen où les forces loyalistes poursuivent leur mission, cernés le long des frontières par les soldats algériens aguerris à la lutte antiterroriste, ils se trouvent, depuis samedi, sous le feu de l’aviation américaine.
L’Africom a fait savoir que sa mission n’allait pas s’arrêter à cette opération.