L'ambassadeur du royaume du Maroc à Tunis, Nejib Zerouali Ouarithi, a souligné que l'accord sur le droit à la résidence signé en 1964 entre son pays et la Tunisie et comprenant le droit de séjour, de travail, de propriété, d'investissement et de transfert des économies (Argent), est en cours d'application et tacitement reconduit, par les autorités de son pays.
Au cours d'une conférence de presse, mercredi, au siège de l'ambassade à Tunis, pour présenter les résultats de la 17ème session de la haute commission mixte marocco-tunisienne, à Rabat, les 15 et 16 juin 2012, et pour évoquer les perspectives d'avenir pour l'édification de l'Union du Maghreb arabe (UMA), il a émis l'espoir que le principe de réciprocité soit appliqué au profit de son pays, par les autorités tunisiennes.
L'ambassadeur marocain a dénoncé ce qu'il a qualifié de "tapage médiatique" qui a suivi les déclarations de responsables du gouvernement tunisien, autour de l'activation des cinq droits avec les pays maghrébin.
Il a indiqué, à ce propos, "je ne comprends pas cette campagne qui porte atteinte, parfois, à la dignité des maghrébins, et ce que j'ai lu et entendu fait honte".
Le diplomate marocain n'a pas écarté l'idée de l'existence de parties étrangères derrière ce discours médiatique incitateur qui a accompagné cette question.
Il a, dans ce sens, souligné qu'en plus de l'application des cinq droits dans son pays, la constitution du Maroc accorde aux étrangers le droit de participer aux élections locales, après cinq ans de résidence.
Il a rappelé, à cet effet le décret-loi royal de 1973 qui interdit aux étrangers la propriété de terres agricoles, mais qui accorde ce droit aux Tunisiens et aux Sénégalais.
Il a, en outre, remarqué que cette 17ème session de la haute commission mixte, présidées par les deux chefs du gouvernement, s'est déroulée dans un climat marqué par la détermination mutuelle de hisser les relations du stade de la coopération à celui du partenariat et de la coordination dans les instances internationales, de même qu'elle a reflété la ferme volonté qui anime les directions des deux pays pour que le Maroc et la Tunisie soient la locomotive de l'édification de l'UMA.
Au cours d'une conférence de presse, mercredi, au siège de l'ambassade à Tunis, pour présenter les résultats de la 17ème session de la haute commission mixte marocco-tunisienne, à Rabat, les 15 et 16 juin 2012, et pour évoquer les perspectives d'avenir pour l'édification de l'Union du Maghreb arabe (UMA), il a émis l'espoir que le principe de réciprocité soit appliqué au profit de son pays, par les autorités tunisiennes.
L'ambassadeur marocain a dénoncé ce qu'il a qualifié de "tapage médiatique" qui a suivi les déclarations de responsables du gouvernement tunisien, autour de l'activation des cinq droits avec les pays maghrébin.
Il a indiqué, à ce propos, "je ne comprends pas cette campagne qui porte atteinte, parfois, à la dignité des maghrébins, et ce que j'ai lu et entendu fait honte".
Le diplomate marocain n'a pas écarté l'idée de l'existence de parties étrangères derrière ce discours médiatique incitateur qui a accompagné cette question.
Il a, dans ce sens, souligné qu'en plus de l'application des cinq droits dans son pays, la constitution du Maroc accorde aux étrangers le droit de participer aux élections locales, après cinq ans de résidence.
Il a rappelé, à cet effet le décret-loi royal de 1973 qui interdit aux étrangers la propriété de terres agricoles, mais qui accorde ce droit aux Tunisiens et aux Sénégalais.
Il a, en outre, remarqué que cette 17ème session de la haute commission mixte, présidées par les deux chefs du gouvernement, s'est déroulée dans un climat marqué par la détermination mutuelle de hisser les relations du stade de la coopération à celui du partenariat et de la coordination dans les instances internationales, de même qu'elle a reflété la ferme volonté qui anime les directions des deux pays pour que le Maroc et la Tunisie soient la locomotive de l'édification de l'UMA.