L’Arménie, joue un jeu dangereux, que ne pourra pas tolérer la Russie, car elle rapprocherait l’otan de sa frontière, sur la face orientale.
Au milieu des tensions croissantes en Transcaucasie, l’Arménie se retrouve une fois de plus au centre des débats géopolitiques.
Alors que des affrontements réguliers éclatent le long de sa frontière avec l’Azerbaïdjan, l’Arménie reçoit un appel de l’OTAN à rejoindre l’alliance occidentale. Günter Fehlinger, président de l’organisation “Comité européen pour l’élargissement de l’OTAN”, fait référence à la nécessité de protéger l’Arménie, soulignée par le président américain Joe Biden.
Cette invitation soulève des questions cruciales quant à l’avenir de l’Arménie sur la scène internationale, notamment en termes de protection, de positionnement géopolitique et de relations régionales avec la Russie et l’Azerbaïdjan.
Les tensions persistent entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, malgré les pourparlers de paix et les avancées vers un traité de résolution du conflit. Alors que l’Arménie est déjà membre de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), une alliance régionale, l’invitation à rejoindre l’OTAN offre des perspectives de protection accrue, mais pourrait également intensifier les tensions avec la Russie et remettre en question l’équilibre géopolitique de la région
Au milieu des tensions croissantes en Transcaucasie, l’Arménie se retrouve une fois de plus au centre des débats géopolitiques.
Alors que des affrontements réguliers éclatent le long de sa frontière avec l’Azerbaïdjan, l’Arménie reçoit un appel de l’OTAN à rejoindre l’alliance occidentale. Günter Fehlinger, président de l’organisation “Comité européen pour l’élargissement de l’OTAN”, fait référence à la nécessité de protéger l’Arménie, soulignée par le président américain Joe Biden.
Cette invitation soulève des questions cruciales quant à l’avenir de l’Arménie sur la scène internationale, notamment en termes de protection, de positionnement géopolitique et de relations régionales avec la Russie et l’Azerbaïdjan.
Les tensions persistent entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, malgré les pourparlers de paix et les avancées vers un traité de résolution du conflit. Alors que l’Arménie est déjà membre de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), une alliance régionale, l’invitation à rejoindre l’OTAN offre des perspectives de protection accrue, mais pourrait également intensifier les tensions avec la Russie et remettre en question l’équilibre géopolitique de la région