Le bonheur dans la vie intellectuelle : un texte d'aristote

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Ebion
  • Date de début Date de début

Ebion

Contre les crimes de guerre
VIB
Bonjour :timide:

Voici un beau texte d'Aristote tiré de son Éthique à Nicomaque (qui est un de ses ouvrages les plus lisibles) :

Mais si le bonheur est une activité conforme à la vertu, il est rationnel qu’il soit activité conforme à la plus haute vertu et celle-ci sera la vertu de la partie la plus noble de nous-mêmes. Que ce soit donc l’intellect ou quelque autre faculté qui soit regardé comme possédant par nature le commandement et la direction et comme ayant la connaissance des réalités belles et divines, qu’au surplus cet élément soit lui-même divin ou seulement la partie la plus divine de nous-mêmes, c’est l’acte de cette partie selon la vertu qui lui est propre qui sera le bonheur parfait. Or, que cette activité soit théorétique, c’est ce que nous avons dit.

Cette dernière affirmation paraîtra s’accorder tant avec nos précédentes conclusions qu’avec la vérité. En effet, en premier lieu, cette activité est la plus haute, puisque l’intellect est la meilleure partie de nous-mêmes et qu’aussi les objets sur lesquels porte l’intellect sont les plus hauts de tous les objets connaissables Ensuite elle est la plus continue car nous sommes capables de nous livrer à la contemplation d’une manière plus continue qu’en accomplissant n’importe quelle action. Nous pensons encore que du plaisir doit être mélangé au bonheur ; or l’activité selon la sagesse est, tout le monde le reconnaît, la plus plaisante des activités conformes à la vertu ; de toute façon, on admet que la philosophie renferme de merveilleux plaisirs sous le rapport de la pureté et de la stabilité, et il est normal que la joie de connaître soit une occupation plus agréable que la poursuite du savoir De plus, ce qu’on appelle la pleine suffisance appartiendra au plus haut point à l’activité de contemplation car s’il est vrai qu’un homme sage, un homme juste, ou tout autre possédant une autre vertu, ont besoin des choses nécessaires à la vie, cependant, une fois suffisamment pourvu des biens de ce genre, tandis que l’homme juste a encore besoin de ses semblables, envers lesquels ou avec l’aide desquels il agira avec justice (et il en est encore de même pour l’homme tempéré, l’homme courageux et chacun des autres), l’homme sage, au contraire, fût-il laissé à lui-même, garde la capacité de contempler, et il est même d’autant plus sage qu’il contemple dans cet état davantage

@Drianke , n'as-tu rien de spirituel à dire? :joueur:

@misszara88 , même remarque!

@Saytham , je regarde dans ta direction!

@Lilyla , voici une invitation à la philo!
 
(suite du texte)

Sans doute est-il préférable pour lui d’avoir des collaborateurs mais il n’en est pas moins l’homme qui se suffit le plus pleinement à lui-même. [1177b] Et cette activité paraîtra la seule à être aimée pour elle-même : elle ne produit, en effet, rien en dehors de l’acte même de contempler, alors que des activités pratiques nous retirons un avantage plus ou moins considérable à part de l’action elle-même. De plus, le bonheur semble consister dans le loisir car nous ne nous adonnons à une vie active qu’en vue d’atteindre le loisir, et ne faisons la guerre qu’afin de vivre en paix. Or, l’activité des vertus pratiques s’exerce dans la sphère de la politique ou de la guerre ; mais les actions qui s’y rapportent paraissent bien être étrangères à toute idée de loisir, et, dans le domaine de la guerre elles revêtent même entièrement ce caractère, puisque personne ne choisit de faire la guerre pour la guerre, ni ne prépare délibérément une guerre : on passerait pour un buveur de sang accompli, si de ses propres amis on se faisait des ennemis en vue de susciter des batailles et des tueries. Et l’activité de l’homme d’État est, elle aussi, étrangère au loisir, et, en dehors de l’administration proprement dite des intérêts de la cité, elle s’assure la possession du pouvoir et des honneurs, ou du moins le bonheur pour l’homme d’État lui-même et pour ses concitoyens, bonheur qui est différent de l’activité politique, et qu’en fait nous recherchons ouvertement comme constituant un avantage distincte. Donc, si parmi les actions conformes à la vertu, les actions relevant de l’art politique ou de la guerre viennent en tête par leur noblesse et leur grandeur, et sont cependant étrangères au loisir et dirigées vers une fin distincte et ne sont pas désirables par elles-mêmes ; si, d’autre part, l’activité de l’intellect, activité contemplative, paraît bien à la fois l’emporter sous le rapport du sérieux et n’aspirer à aucune autre fin qu’elle-même, et posséder un plaisir achevé qui lui est propre (et qui accroît au surplus son activité) ; si enfin la pleine suffisance, la vie de loisir, l’absence de fatigue (dans les limites de l’humaine nature), et tous les autres caractères qu’on attribue à l’homme jouissant de la félicité, sont les manifestations rattachées à cette activité : il en résulte que c’est cette dernière qui sera le parfait bonheur de l’homme, − quand elle est prolongée pendant une vie complète puisque aucun des éléments du bonheur ne doit être inachevé.
 
Bonjour :timide:

Voici un beau texte d'Aristote tiré de son Éthique à Nicomaque (qui est un de ses ouvrages les plus lisibles) :

Mais si le bonheur est une activité conforme à la vertu, il est rationnel qu’il soit activité conforme à la plus haute vertu et celle-ci sera la vertu de la partie la plus noble de nous-mêmes. Que ce soit donc l’intellect ou quelque autre faculté qui soit regardé comme possédant par nature le commandement et la direction et comme ayant la connaissance des réalités belles et divines, qu’au surplus cet élément soit lui-même divin ou seulement la partie la plus divine de nous-mêmes, c’est l’acte de cette partie selon la vertu qui lui est propre qui sera le bonheur parfait. Or, que cette activité soit théorétique, c’est ce que nous avons dit.

Cette dernière affirmation paraîtra s’accorder tant avec nos précédentes conclusions qu’avec la vérité. En effet, en premier lieu, cette activité est la plus haute, puisque l’intellect est la meilleure partie de nous-mêmes et qu’aussi les objets sur lesquels porte l’intellect sont les plus hauts de tous les objets connaissables Ensuite elle est la plus continue car nous sommes capables de nous livrer à la contemplation d’une manière plus continue qu’en accomplissant n’importe quelle action. Nous pensons encore que du plaisir doit être mélangé au bonheur ; or l’activité selon la sagesse est, tout le monde le reconnaît, la plus plaisante des activités conformes à la vertu ; de toute façon, on admet que la philosophie renferme de merveilleux plaisirs sous le rapport de la pureté et de la stabilité, et il est normal que la joie de connaître soit une occupation plus agréable que la poursuite du savoir De plus, ce qu’on appelle la pleine suffisance appartiendra au plus haut point à l’activité de contemplation car s’il est vrai qu’un homme sage, un homme juste, ou tout autre possédant une autre vertu, ont besoin des choses nécessaires à la vie, cependant, une fois suffisamment pourvu des biens de ce genre, tandis que l’homme juste a encore besoin de ses semblables, envers lesquels ou avec l’aide desquels il agira avec justice (et il en est encore de même pour l’homme tempéré, l’homme courageux et chacun des autres), l’homme sage, au contraire, fût-il laissé à lui-même, garde la capacité de contempler, et il est même d’autant plus sage qu’il contemple dans cet état davantage

@Drianke , n'as-tu rien de spirituel à dire?

@misszara88 , même remarque!

@Saytham , je regarde dans ta direction!

@Lilyla , voici une invitation à la philo!
Salam pratido,
Tu me surprends !!! Un texte qui parle de sagesse de bonheur et non de souffrance, de mort ou de suicide !!!
C'est bien toi petit scarabée ? Tu vas bien ^^

PS: Ouvrage les plus lisible...
 
Autre beau texte tiré du même livre :

Un signe encore, c’est que les animaux autres que l’homme n’ont pas de participation au bonheur, du fait qu’ils sont totalement démunis d’une activité de cette sorte. Tandis qu’en effet chez les dieux la vie est tout entière bienheureuse, comme elle l’est aussi chez les hommes dans la mesure où une certaine ressemblance avec l’activité divine est présente en eux, dans le cas des animaux, au contraire, il n’y a pas trace de bonheur, parce que, en aucune manière, l’animal n’a part à la contemplation. Le bonheur est donc coextensif à la contemplation, et plus on possède la faculté de contempler, plus aussi on est heureux, heureux non pas par accident, mais en vertu de la contemplation même car cette dernière est par elle-même d’un grand prix. Il en résulte que le bonheur ne saurait être qu’une forme de contemplation.
 
Bonjour partido! :joueur:

On n'est pas dans HDC ici!
Hdc je ne connais pas ^^



Autre beau texte tiré du même livre :

Un signe encore, c’est que les animaux autres que l’homme n’ont pas de participation au bonheur, du fait qu’ils sont totalement démunis d’une activité de cette sorte. Tandis qu’en effet chez les dieux la vie est tout entière bienheureuse, comme elle l’est aussi chez les hommes dans la mesure où une certaine ressemblance avec l’activité divine est présente en eux, dans le cas des animaux, au contraire, il n’y a pas trace de bonheur, parce que, en aucune manière, l’animal n’a part à la contemplation. Le bonheur est donc coextensif à la contemplation, et plus on possède la faculté de contempler, plus aussi on est heureux, heureux non pas par accident, mais en vertu de la contemplation même car cette dernière est par elle-même d’un grand prix. Il en résulte que le bonheur ne saurait être qu’une forme de contemplation.
Aristote ou pas, il raconte n'importe quoi sur les animaux.
Et surtout il confond bonheur avec contemplation...il doit vouloir parler d'extase.
 
Hdc je ne connais pas ^^




Aristote ou pas, il raconte n'importe quoi sur les animaux.
Et surtout il confond bonheur avec contemplation...il doit vouloir parler d'extase.

Non il ne parle pas d'extase mystique. Aristote est loin d'être un mystique. C'est un philosophe qui a une ferme confiance dans l'intelligence humaine.
 
Non il ne parle pas d'extase mystique. Aristote est loin d'être un mystique. C'est un philosophe qui a une ferme confiance dans l'intelligence humaine.
Extase tout court. C'est un beau parleur (enfin pour ce qui arrive à le suivre) mais il dit aussi beaucoup de conneries.
Une ferme confiance dans l’intelligence humaine, et une grande méconnaissance du monde animal.
Sur cette confiance aujourd'hui il se raviserait ce coño ^^

PS: Parle nous un peu du dernier discours du Pape François, contre la mafia :mignon: tu en penses quoi ?
 
Extase tout court. C'est un beau parleur (enfin pour ce qui arrive à le suivre) mais il dit aussi beaucoup de conneries.
Une ferme confiance dans l’intelligence humaine, et une grande méconnaissance du monde animal.
Sur cette confiance aujourd'hui il se raviserait ce coño ^^

En effet, notre époque est beaucoup plus sceptique et pessimiste. Aristote était trop dogmatique, mais on semble être tombés dans le défaut opposé... Les gens pensent que les sciences naturelles peuvent connaître la vérité sur la nature, mais que la philosophie et la théologie, voire les sciences humaines, ce n'est pas sérieux, que c'est des débats qui ne mènent à rien sur des choses inaccessibles à la connaissance.

PS: Parle nous un peu du dernier discours du Pape François, contre la mafia :mignon: tu en penses quoi ?

ça ne me dit rien. Pourtant d'habitude le pape me dit tout. :desole:
 
En effet, notre époque est beaucoup plus sceptique et pessimiste. Aristote était trop dogmatique, mais on semble être tombés dans le défaut opposé... Les gens pensent que les sciences naturelles peuvent connaître la vérité sur la nature, mais que la philosophie et la théologie, voire les sciences humaines, ce n'est pas sérieux, que c'est des débats qui ne mènent à rien sur des choses inaccessibles à la connaissance.

ça ne me dit rien. Pourtant d'habitude le pape me dit tout. :desole:
On parle dans ce cas de sciences dures (formelles) et de science molles.
Les sciences dures ont une portée normative, par opposition aux sciences molles. Elles ne s'opposent, pas mais sont complémentaires.

Tu te ramollis, un petit résumer sur la question du Pape:
 
@UNIVERSAL ,

Pourquoi dis-tu que les sciences dures ont une portée normative? Parce qu'elles servent de modèle de rigueur et de succès aux autres sciences?

Intéressant ce reportage. :)

On a un pape courageux, qui rafraîchit le message de l'Église. Je ne serais pas étonné qu'on essaie de l'assassiner. :eek:
 
@UNIVERSAL ,
Pourquoi dis-tu que les sciences dures ont une portée normative? Parce qu'elles servent de modèle de rigueur et de succès aux autres sciences?
Intéressant ce reportage. :)
On a un pape courageux, qui rafraîchit le message de l'Église. Je ne serais pas étonné qu'on essaie de l'assassiner. :eek:
On peut le dire comme ça.
En science humaine il n'y a pas de réponse unique (écoles de pensées), contrairement aux sciences durs pour qui il existe une réponse unique (reproductibilité des expériences).

Je ne pense pas qu'ils (Mafia) osent le (Pape) tuer. Ils sont d'abord en gnrl très croyant, et ils risquent de se mettre toute la population à dos.
Je salue son courage, chapeau bas Mr le Pape.
 
Autre beau texte tiré du même livre :

Un signe encore, c’est que les animaux autres que l’homme n’ont pas de participation au bonheur, du fait qu’ils sont totalement démunis d’une activité de cette sorte. Tandis qu’en effet chez les dieux la vie est tout entière bienheureuse, comme elle l’est aussi chez les hommes dans la mesure où une certaine ressemblance avec l’activité divine est présente en eux, dans le cas des animaux, au contraire, il n’y a pas trace de bonheur, parce que, en aucune manière, l’animal n’a part à la contemplation. Le bonheur est donc coextensif à la contemplation, et plus on possède la faculté de contempler, plus aussi on est heureux, heureux non pas par accident, mais en vertu de la contemplation même car cette dernière est par elle-même d’un grand prix. Il en résulte que le bonheur ne saurait être qu’une forme de contemplation.

Il "divinise" l'humain en prétendant qu'il se suffit à lui même de par sa simple capacité à atteindre la sagesse des dieux. De quel homme parle t-il? Est ce que tous les hommes ont cette propension au bonheur(sagesse)?
La réponse est évidemment non . De là, je déduis que notre philosophe fait une distinction nette entre les hommes (capables de contemplation) et les autres humains (réduits (selon sa théorie) au rang d'animaux incapables d'atteindre le bonheur à cause de leur incapacité à atteindre la sagesse (des dieux).
Me trompe-je dans mon analyse ? o_O
 
On peut le dire comme ça.
En science humaine il n'y a pas de réponse unique (écoles de pensées), contrairement aux sciences durs pour qui il existe une réponse unique (reproductibilité des expériences).

Je ne pense pas qu'ils (Mafia) osent le (Pape) tuer. Ils sont d'abord en gnrl très croyant, et ils risquent de se mettre toute la population à dos.
Je salue son courage, chapeau bas Mr le Pape.

Seulement parce que les facteurs sont nombreux et extrêmement complexes.

Mais cela n'empêche que l'on peut voir des schéma, prévoir les réactions avec plus ou moins d'exactitudes, en prenant compte d'une base donnée.
 
Il "divinise" l'humain en prétendant qu'il se suffit à lui même de par sa simple capacité à atteindre la sagesse des dieux. De quel homme parle t-il? Est ce que tous les hommes ont cette propension au bonheur(sagesse)?
La réponse est évidemment non . De là, je déduis que notre philosophe fait une distinction nette entre les hommes (capables de contemplation) et les autres humains (réduits (selon sa théorie) au rang d'animaux incapables d'atteindre le bonheur à cause de leur incapacité à atteindre la sagesse (des dieux).
Me trompe-je dans mon analyse ? o_O

Je ne pense pas qu'il faille vraiment voir là quelque chose de péjoratif.

Il fait juste la distinction entre l'intellect comme plaisir ne nécessitant pas de prérequis physique ou financier, et le schéma quotidien métro-boulot-dodo pouvant apporter quelque chose par les bénéfices qu'il aura tiré de son quotidien.

Le gars qui bosse et qui part en vacances... Est-ce réellement du bonheur ?
 
Je ne pense pas qu'il faille vraiment voir là quelque chose de péjoratif.

Il fait juste la distinction entre l'intellect comme plaisir ne nécessitant pas de prérequis physique ou financier, et le schéma quotidien métro-boulot-dodo pouvant apporter quelque chose par les bénéfices qu'il aura tiré de son quotidien.

Le gars qui bosse et qui part en vacances... Est-ce réellement du bonheur ?
Y avait le métro du temps d'Aristote? :eek:. On m'aurait menti ?:wazaa::p
Plus sérieusement : Je ne vois ni péjoratif ni positif. J'essaie de comprendre et de développer l'idée originelle
 
Il "divinise" l'humain en prétendant qu'il se suffit à lui même de par sa simple capacité à atteindre la sagesse des dieux. De quel homme parle t-il? Est ce que tous les hommes ont cette propension au bonheur(sagesse)?
La réponse est évidemment non . De là, je déduis que notre philosophe fait une distinction nette entre les hommes (capables de contemplation) et les autres humains (réduits (selon sa théorie) au rang d'animaux incapables d'atteindre le bonheur à cause de leur incapacité à atteindre la sagesse (des dieux).
Me trompe-je dans mon analyse ? o_O

Pas tout à fait.

Aristote dit bien que la vie intellectuelle (contemplative) n'est accessible qu'à une minorité de sages qui se trouvent dans des circonstances favorables. Mais il dit aussi que les autres peuvent atteindre un certain bonheur en pratiquant les vertus, dont la majeure partie de son livre (L'éthique à Nicomaque) est l'objet. Il ne s'agit pas de dire que ceux qui ne sont pas philosophes comme lui sont des sous-hommes...

Par contre, oui Aristote avait des préjugés contre les femmes et les esclaves... :(
 
Pas tout à fait.

Aristote dit bien que la vie intellectuelle (contemplative) n'est accessible qu'à une minorité de sages qui se trouvent dans des circonstances favorables. Mais il dit aussi que les autres peuvent atteindre un certain bonheur en pratiquant les vertus, dont la majeure partie de son livre (L'éthique à Nicomaque) est l'objet. Il ne s'agit pas de dire que ceux qui ne sont pas philosophes comme lui sont des sous-hommes...

Par contre, oui Aristote avait des préjugés contre les femmes et les esclaves... :(

Attention tout de même avec la notion d'esclavage qui pouvait être fort différente de ce que l'on a actuellement.

Dans l'antiquité grecque, il arrivait qu'une personne pouvait, pour rembourser une dette, devenir esclave le temps de la rembourser.
De même que des esclaves pouvait hériter du nom de leur maitre, voire de leur biens et de leurs métiers.
De même, les esclaves avaient aussi la possibilité de racheter leur liberté.

Bien entendu, il y avait diverses classes de personnes, l'esclave affranchi n'étant pas encore égal au citoyen.

Mais pour cette époque, où l'esclavage était une chose toute naturelle, certains points sont intéressants et on ne les retrouvent pas nécessairement plus tard.
 
Seulement parce que les facteurs sont nombreux et extrêmement complexes.

Mais cela n'empêche que l'on peut voir des schéma, prévoir les réactions avec plus ou moins d'exactitudes, en prenant compte d'une base donnée.
Salam Pareil,
Je n'ai pas dis le contraire. il n'y a pas de frontière entre science dure et molle. Ce n'est qu'une question de maturité.
Je voulais préciser dan s mon premier post, qu'une science dure d’aujourd’hui, est une science molle d'hier, et une science molle d''aujourd'hui sera peut être une science dure demain. Par manque de temps ......Enfin je me comprend ^^
 
Attention tout de même avec la notion d'esclavage qui pouvait être fort différente de ce que l'on a actuellement.

Dans l'antiquité grecque, il arrivait qu'une personne pouvait, pour rembourser une dette, devenir esclave le temps de la rembourser.
De même que des esclaves pouvait hériter du nom de leur maitre, voire de leur biens et de leurs métiers.
De même, les esclaves avaient aussi la possibilité de racheter leur liberté.

Bien entendu, il y avait diverses classes de personnes, l'esclave affranchi n'étant pas encore égal au citoyen.

Mais pour cette époque, où l'esclavage était une chose toute naturelle, certains points sont intéressants et on ne les retrouvent pas nécessairement plus tard.

Lesquels ? .
 
Salam Pareil,
Je n'ai pas dis le contraire. il n'y a pas de frontière entre science dure et molle. Ce n'est qu'une question de maturité.
Je voulais préciser dan s mon premier post, qu'une science dure d’aujourd’hui, est une science molle d'hier, et une science molle d''aujourd'hui sera peut être une science dure demain. Par manque de temps ......Enfin je me comprend ^^

C'est vrai si tu fais démarrer la physique chez Aristote plutôt que chez Galilée et la chimie par l'alchimie plutôt que par les travaux de Lavoisier...
 
Retour
Haut