Le bras de fer perdure à Fès entre City-bus et ses employés

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madalena

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salam

Bientôt neuf mois, le service du transport urbain à Fès aura vécu une nouvelle expérience, à savoir celle de la gestion déléguée. Rien ne semble marcher, cependant. Lundi en fin d’après-midi, plus de deux cents employés de la société City-bus - Fès ont battu le pavé du boulevard Hassan II, appelant cette société délégataire du transport urbain à partir. «City-bus, dégage !», scandaient les employés qui brandissaient des banderoles, demandant le respect du Code de travail et l’arrêt de ce qu’ils qualifient de « licenciement abusif ».
Les slogans exprimaient aussi la grogne des employés contre Hamid Chabat, président du Conseil de la ville, l’accusant de les avoir mis dans ce sale pétrin, depuis la concession accordée à cette société qui ne respecte ni ses engagements ni l’action syndicale, les expulsés étant presque tous des syndicalistes ! « Si City-bus respecte ses engagements, pourquoi n’a-t-elle pas réglé ses arriérés remontant au temps de l’ancienne Régie autonome que nous regrettons beaucoup aujourd’hui ? », s’interroge Mohamed, un jeune
syndicaliste, voix cassée et mégaphone à la main.

http://www.libe.ma/Le-bras-de-fer-perdure-a-Fes-entre-City-bus-et-ses-employes_a38656.html
 
salam

Bientôt neuf mois, le service du transport urbain à Fès aura vécu une nouvelle expérience, à savoir celle de la gestion déléguée. Rien ne semble marcher, cependant. Lundi en fin d’après-midi, plus de deux cents employés de la société City-bus - Fès ont battu le pavé du boulevard Hassan II, appelant cette société délégataire du transport urbain à partir. «City-bus, dégage !», scandaient les employés qui brandissaient des banderoles, demandant le respect du Code de travail et l’arrêt de ce qu’ils qualifient de « licenciement abusif ».
Les slogans exprimaient aussi la grogne des employés contre Hamid Chabat, président du Conseil de la ville, l’accusant de les avoir mis dans ce sale pétrin, depuis la concession accordée à cette société qui ne respecte ni ses engagements ni l’action syndicale, les expulsés étant presque tous des syndicalistes ! « Si City-bus respecte ses engagements, pourquoi n’a-t-elle pas réglé ses arriérés remontant au temps de l’ancienne Régie autonome que nous regrettons beaucoup aujourd’hui ? », s’interroge Mohamed, un jeune
syndicaliste, voix cassée et mégaphone à la main.

http://www.libe.ma/Le-bras-de-fer-perdure-a-Fes-entre-City-bus-et-ses-employes_a38656.html

J'imagine le pavé du boulevard Hassan II cette journée, un véritable poulailler, 9a 9a 9a 9a 9a 9a :D


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Je croyais qu'ils se battaient pour voir ceux qui allaient s'inscrire sur la liste des couples qui vont se marier en même temps que la fille de Chabite. Et comme il a promis de financer de A à Z les frais des sauteries, je me suis dis que les chauffeurs de bus même les déjà mariés, ont décidé de se remarier. Ce qui créa un gros conflit puisque chez les plus jeunes, on comptait bcp plus de célibataires. :prudent:
 
j'etais tout près d'eux ce jour là au boulvard Hassan II et je me souviens très bien qu'il disaient " hada monkar hada mokar , ya chabate ya chaffar"...aussi " haz gdam whate gdam , chawari3 3amra baddam" ...et là je me souviens qu'on répetais cà au université en 1990...en tout cas c'est le citoyen qui est la victime...
 
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