Le colonel-major marocain Kaddour Terhzaz, condamné en 2008 à douze ans de prison pour « atteinte à la sécurité extérieure de lÉtat », et qui purgeait sa peine à la prison de Salé, a été libéré ce mercredi.
Le colonel-major marocain Kaddour Terhzaz qui purgeait une peine pour « atteinte à la sécurité extérieure de lÉtat » a été libéré de la prison de Salé (près de Rabat) ce mercredi.
Il avait été condamné à une peine de douze ans de prison en 2008. Mais sa famille réclamait sa libération, intervenant notamment auprès de Paris (Kaddour Terhzaz disposait également de la nationalité française).
En 2006, il avait écrit une lettre au roi Mohammed VI dans laquelle il dénonçait le sous-équipement des avions de combat marocains pendant la guerre contre le Polisario, il y a vingt ans. Avoir rendue publique cette prise de position na pas joué en sa faveur. Selon certains de ses anciens collègues, Tehrzaz avait cherché à régler des comptes avec son ancien supérieur, le général Kabbaj (aujourdhui décédé).
La fille de Kaddour Terhzaz avait sollicité la grâce royale en juin dernier. Il aura attendu neuf mois pour quelle lui soit accordée.
Le colonel-major marocain Kaddour Terhzaz qui purgeait une peine pour « atteinte à la sécurité extérieure de lÉtat » a été libéré de la prison de Salé (près de Rabat) ce mercredi.
Il avait été condamné à une peine de douze ans de prison en 2008. Mais sa famille réclamait sa libération, intervenant notamment auprès de Paris (Kaddour Terhzaz disposait également de la nationalité française).
En 2006, il avait écrit une lettre au roi Mohammed VI dans laquelle il dénonçait le sous-équipement des avions de combat marocains pendant la guerre contre le Polisario, il y a vingt ans. Avoir rendue publique cette prise de position na pas joué en sa faveur. Selon certains de ses anciens collègues, Tehrzaz avait cherché à régler des comptes avec son ancien supérieur, le général Kabbaj (aujourdhui décédé).
La fille de Kaddour Terhzaz avait sollicité la grâce royale en juin dernier. Il aura attendu neuf mois pour quelle lui soit accordée.