Objectivement, A Thawrat est le Livre des Juifs, le Miracle de Moussa ( as ) était son bâton.
Al Injil est le Livre des Chrétiens, le Miracle de 3issa ( as ) était ses pouvoirs de guérison…
Le Coran étant le Livre s’adressant à tous, le Miracle ne se devait donc pas d’être temporel, lié au Prophète Mohammad salla LLAHO 3alayhi wa salam.
Ce Miracle est donc venu sous la forme du Livre rapportant Al Minhaj ( le chemin ou le programme ) ET le Miracle en même temps.
Ce Miracle qui est le Coran prouve la sincérité du Prophète sLaws, avec l’aspect défiant ( Mo3jiz ) tout être humain jusqu’à la fin des temps.
Si les Miracles de Moussa et 3issa ( aslayhima salam ) n’étaient pas présents dans le Coran, nous serions en droit de les réfuter car nous ne les avons pas vu. Contrairement aux Juifs et Chrétiens qui ont vécu ces Miracles et les ont vu. Leurs Miracles se sont donc éteints avec eux et aujourd’hui nous y croyons même s’ils n’existent plus.
Aujourd’hui, personne ne peut pointer du doigt le Miracle de Moussa et 3issa ( alayhima salam ) pour nous dire ça : c’est le Miracle des deux Prophètes. Or, le Miracle du Coran lui, perdurera encore et encore, et est visible de tous. Son défi est lancé depuis sa révélation et continuera jusqu’à la fin des temps.
Fussilat – V 53 : Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?
سَنُرِيهِمْ ءَايَٰتِنَا فِى ٱلْءَافَاقِ وَفِىٓ أَنفُسِهِمْ حَتَّىٰ يَتَبَيَّنَ لَهُمْ أَنَّهُ ٱلْحَقُّ ۗ أَوَلَمْ يَكْفِ بِرَبِّكَ أَنَّهُۥ عَلَىٰ كُلِّ شَىْءٍۢ شَهِيدٌ
Sanurīhim 'Āyātinā Fī Al-'Āfāqi Wa Fī 'Anfusihim Ĥattá Yatabayyana Lahum 'Annahu Al-Ĥaqqu 'Awalam Yakfi Birabbika 'Annahu `Alá Kulli Shay'in Shahīdun
Cette phrase dans ce Verset : « jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la vérité. » Nous prouve que ceux, à qui deviendrait évident que le Coran est la vérité, ne sont en principe pas des Musulmans, sinon ils n’auraient pas besoin que le Coran devienne évident, il le serait déjà s’ils étaient Musulmans. Cela montre donc, que les avancées et les découvertes réelles et effectives seront compatibles avec les Signes présents dans le Coran. Et ce, au fur et à mesure du temps.
Un autre point important, Le Coran a défié toute personne ayant vécu au moment de sa révélation et jusqu’à la fin des temps de produire ne serait-ce qu’une Soura similaire. Aucun poète, ni écrivain n’a sur relever le défi. Il est donc un Livre d’exception. Regardons la réaction de certains :
Younous – V 15 / 16 : Et quand leur sont récités Nos versets en toute clarté, ceux qui n'espèrent pas notre rencontre disent: « Apporte un Coran autre que celui-ci » ou bien: « Change-le. » Dis: « Il ne m'appartient pas de le changer de mon propre chef. Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé. Je crains, si je désobéis à mon Seigneur, le châtiment d'un jour terrible. »
وَإِذَا تُتْلَىٰ عَلَيْهِمْ ءَايَاتُنَا بَيِّنَٰتٍۢ ۙ قَالَ ٱلَّذِينَ لَا يَرْجُونَ لِقَآءَنَاٱئْتِ بِقُرْءَانٍ غَيْرِ هَٰذَآ أَوْ بَدِّلْهُ ۚ قُلْ مَا يَكُونُ لِىٓ أَنْ أُبَدِّلَهُۥ مِن تِلْقَآئِ نَفْسِىٓ ۖ إِنْ أَتَّبِعُ إِلَّا مَا يُوحَىٰٓ إِلَىَّ ۖ إِنِّىٓ أَخَافُ إِنْ عَصَيْتُ رَبِّى عَذَابَ يَوْمٍ عَظِيمٍۢ
Wa 'Idhā Tutlá `Alayhim 'Āyātunā Bayyinātin Qāla Al-Ladhīna Lā Yarjūna Liqā'anā A'ti Biqur'ānin Ghayri Hādhā 'Aw Baddilhu Qul Mā Yakūnu Lī 'An 'Ubaddilahu Min Tilqā'i Nafsī 'In 'Attabi`u 'Illā Mā Yūĥá 'Ilayya 'Innī 'Akhāfu 'In `Aşaytu Rabbī `Adhāba Yawmin `Ažīmin
Dis: « Si Allah avait voulu, je ne vous l'aurais pas récité et Il ne vous l'aurait pas non plus fait connaître. Je suis bien resté, avant cela, tout un âge parmi vous. Ne raisonnez-vous donc pas ? »
قُل لَّوْ شَآءَ ٱللَّهُ مَا تَلَوْتُهُۥ عَلَيْكُمْ وَلَآ أَدْرَىٰكُم بِهِۦ ۖ فَقَدْ لَبِثْتُ فِيكُمْ عُمُرًۭا مِّن قَبْلِهِۦٓ ۚ أَفَلَا تَعْقِلُونَ
Qul Law Shā'a Allāhu Mā Talawtuhu `Alaykum Wa Lā 'Adrākum Bihi Faqad Labithtu Fīkum `Umurāan Min Qablihi 'Afalā Ta`qilūna
Qui parmi nous, se serait vu attribué l’excellence d’un ouvrage ou d’une action et aurait rejeté le bénéfice qui aurait pu en découler alors que certains achètent et s’approprient tout ce qu’ils peuvent s’approprier même à tort à des fins de gloire et de réussite ? N’a-t-on pas souvent entendu cette phrase : Je te l’avais dit ou pas ?
Al Injil est le Livre des Chrétiens, le Miracle de 3issa ( as ) était ses pouvoirs de guérison…
Le Coran étant le Livre s’adressant à tous, le Miracle ne se devait donc pas d’être temporel, lié au Prophète Mohammad salla LLAHO 3alayhi wa salam.
Ce Miracle est donc venu sous la forme du Livre rapportant Al Minhaj ( le chemin ou le programme ) ET le Miracle en même temps.
Ce Miracle qui est le Coran prouve la sincérité du Prophète sLaws, avec l’aspect défiant ( Mo3jiz ) tout être humain jusqu’à la fin des temps.
Si les Miracles de Moussa et 3issa ( aslayhima salam ) n’étaient pas présents dans le Coran, nous serions en droit de les réfuter car nous ne les avons pas vu. Contrairement aux Juifs et Chrétiens qui ont vécu ces Miracles et les ont vu. Leurs Miracles se sont donc éteints avec eux et aujourd’hui nous y croyons même s’ils n’existent plus.
Aujourd’hui, personne ne peut pointer du doigt le Miracle de Moussa et 3issa ( alayhima salam ) pour nous dire ça : c’est le Miracle des deux Prophètes. Or, le Miracle du Coran lui, perdurera encore et encore, et est visible de tous. Son défi est lancé depuis sa révélation et continuera jusqu’à la fin des temps.
Fussilat – V 53 : Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?
سَنُرِيهِمْ ءَايَٰتِنَا فِى ٱلْءَافَاقِ وَفِىٓ أَنفُسِهِمْ حَتَّىٰ يَتَبَيَّنَ لَهُمْ أَنَّهُ ٱلْحَقُّ ۗ أَوَلَمْ يَكْفِ بِرَبِّكَ أَنَّهُۥ عَلَىٰ كُلِّ شَىْءٍۢ شَهِيدٌ
Sanurīhim 'Āyātinā Fī Al-'Āfāqi Wa Fī 'Anfusihim Ĥattá Yatabayyana Lahum 'Annahu Al-Ĥaqqu 'Awalam Yakfi Birabbika 'Annahu `Alá Kulli Shay'in Shahīdun
Cette phrase dans ce Verset : « jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la vérité. » Nous prouve que ceux, à qui deviendrait évident que le Coran est la vérité, ne sont en principe pas des Musulmans, sinon ils n’auraient pas besoin que le Coran devienne évident, il le serait déjà s’ils étaient Musulmans. Cela montre donc, que les avancées et les découvertes réelles et effectives seront compatibles avec les Signes présents dans le Coran. Et ce, au fur et à mesure du temps.
Un autre point important, Le Coran a défié toute personne ayant vécu au moment de sa révélation et jusqu’à la fin des temps de produire ne serait-ce qu’une Soura similaire. Aucun poète, ni écrivain n’a sur relever le défi. Il est donc un Livre d’exception. Regardons la réaction de certains :
Younous – V 15 / 16 : Et quand leur sont récités Nos versets en toute clarté, ceux qui n'espèrent pas notre rencontre disent: « Apporte un Coran autre que celui-ci » ou bien: « Change-le. » Dis: « Il ne m'appartient pas de le changer de mon propre chef. Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé. Je crains, si je désobéis à mon Seigneur, le châtiment d'un jour terrible. »
وَإِذَا تُتْلَىٰ عَلَيْهِمْ ءَايَاتُنَا بَيِّنَٰتٍۢ ۙ قَالَ ٱلَّذِينَ لَا يَرْجُونَ لِقَآءَنَاٱئْتِ بِقُرْءَانٍ غَيْرِ هَٰذَآ أَوْ بَدِّلْهُ ۚ قُلْ مَا يَكُونُ لِىٓ أَنْ أُبَدِّلَهُۥ مِن تِلْقَآئِ نَفْسِىٓ ۖ إِنْ أَتَّبِعُ إِلَّا مَا يُوحَىٰٓ إِلَىَّ ۖ إِنِّىٓ أَخَافُ إِنْ عَصَيْتُ رَبِّى عَذَابَ يَوْمٍ عَظِيمٍۢ
Wa 'Idhā Tutlá `Alayhim 'Āyātunā Bayyinātin Qāla Al-Ladhīna Lā Yarjūna Liqā'anā A'ti Biqur'ānin Ghayri Hādhā 'Aw Baddilhu Qul Mā Yakūnu Lī 'An 'Ubaddilahu Min Tilqā'i Nafsī 'In 'Attabi`u 'Illā Mā Yūĥá 'Ilayya 'Innī 'Akhāfu 'In `Aşaytu Rabbī `Adhāba Yawmin `Ažīmin
Dis: « Si Allah avait voulu, je ne vous l'aurais pas récité et Il ne vous l'aurait pas non plus fait connaître. Je suis bien resté, avant cela, tout un âge parmi vous. Ne raisonnez-vous donc pas ? »
قُل لَّوْ شَآءَ ٱللَّهُ مَا تَلَوْتُهُۥ عَلَيْكُمْ وَلَآ أَدْرَىٰكُم بِهِۦ ۖ فَقَدْ لَبِثْتُ فِيكُمْ عُمُرًۭا مِّن قَبْلِهِۦٓ ۚ أَفَلَا تَعْقِلُونَ
Qul Law Shā'a Allāhu Mā Talawtuhu `Alaykum Wa Lā 'Adrākum Bihi Faqad Labithtu Fīkum `Umurāan Min Qablihi 'Afalā Ta`qilūna
Qui parmi nous, se serait vu attribué l’excellence d’un ouvrage ou d’une action et aurait rejeté le bénéfice qui aurait pu en découler alors que certains achètent et s’approprient tout ce qu’ils peuvent s’approprier même à tort à des fins de gloire et de réussite ? N’a-t-on pas souvent entendu cette phrase : Je te l’avais dit ou pas ?