REPRISE D UN ARTICLE PARU SUR AGORA VOX : (extrait)
<- la remise en cause du peu de souveraineté (du Parlement et de la nation) subsistant après les coups déjà portés par les institutions de la Ve République et lUnion européenne > ;
- la remise en cause de la possibilité pour les organisations syndicales de négocier sur la base des revendications des salariés, qui pourraient être décrétées « anticonstitutionnelles ».
Déjà, depuis ladoption du traité de Maastricht (1992), en application des décisions de lUnion européenne, tous les gouvernements successifs ont organisé toutes les destructions :
services publics,
dés industrialisation,
démantèlement de lagriculture
, déréglementation des droits du travail.
Tous les budgets, à tous les niveaux, de l'État aux communes, se sont vu opposer les critères de Maastricht. Le principe de la « concurrence libre et non faussée » a imposé les privatisations.
Demain, si cette réforme de la Constitution était adoptée, un gouvernement, quelle que soit sa couleur politique, serait « contraint » sous peine de non-respect de la Constitution dappliquer toutes ces exigences dictatoriales de lUnion européenne >
lien :
http://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/reforme-constitutionnelle-le-coup-93138
mam
<- la remise en cause du peu de souveraineté (du Parlement et de la nation) subsistant après les coups déjà portés par les institutions de la Ve République et lUnion européenne > ;
- la remise en cause de la possibilité pour les organisations syndicales de négocier sur la base des revendications des salariés, qui pourraient être décrétées « anticonstitutionnelles ».
Déjà, depuis ladoption du traité de Maastricht (1992), en application des décisions de lUnion européenne, tous les gouvernements successifs ont organisé toutes les destructions :
services publics,
dés industrialisation,
démantèlement de lagriculture
, déréglementation des droits du travail.
Tous les budgets, à tous les niveaux, de l'État aux communes, se sont vu opposer les critères de Maastricht. Le principe de la « concurrence libre et non faussée » a imposé les privatisations.
Demain, si cette réforme de la Constitution était adoptée, un gouvernement, quelle que soit sa couleur politique, serait « contraint » sous peine de non-respect de la Constitution dappliquer toutes ces exigences dictatoriales de lUnion européenne >
lien :
http://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/reforme-constitutionnelle-le-coup-93138
mam