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Le déficit de la balance commercial frôle les 100 Milliards de DH, soit 12 % du PIB
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[QUOTE="NIHIL, post: 10591173, member: 236910"] En juin le prix du pétrole a baissé. Augmenter la production nationale, je veux bien mais en quelques mois, on ne va pas se mettre à faire des airbus, donc, on ne peut joueur que sur la dette, Or on est dèja assez endetté que ce soit l'Etat ou la population. Ou sur la substitution de la consommation des produits importés par des produits fabriquer localement (comme l'a dit Ould Khadija). Or, j'ai bien cité l'exemple du tissus ou du plastique, et sur ces secteurs on peut agir en quelques mois et inverser la tendance. Pour ce qui est des produits de luxe, leurs consommation va tendantiellement à la hausse, stabiliser cette consommation va par une augmentation de leurs prix artificiellement. État peut même être perdant dans l'affaire, car là l’État ne veut pas plus d'impôt, mais moins de hausse de la consommation d'un produit facultatif qui est entièrement d'origine étrangère. Si l'objectif est réalisé alors la hausse d’impôt ou de douane ...etc. Est résorbé par la baisse de la consommation donc l'impôt que perçoit l’État reste inchangé ou augmente légèrement voire diminue. C'est une mesure qui a pour but soit que le consommateur reporte sa consommation soit qu'il l'a substitue. Pas plus d'impôt. L'analogie la plus approchante c'est la hausse du prix du pétrole l'an dernier en France, ça a donné une baisse de la consommation, alors même que le prix augmentait que les taxes indexées sur ce prix augmentait mécaniquement en valeur par litre d'essence ou de Diesel, la consommation a diminué, et donc en volume le revenus des Taxes est resté quasi inchangé. Cela prouve qu'une augmentation des prix entraine une diminution de la consommation, il faut seulement analyser le seuil de tolérance du consommateur, avant de lancer une taxation, et cela montre aussi, même si, c'est évident, qu'une baisse de la consommation en volume n'augmente pas nécessairement les recettes de l’État. [/QUOTE]
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