Ya desfois où il faut savoir être égoiste wesh mdrrrPunaiz je suis déçue @nwidiya t'as même pas pensé a me tagger
Rooooo la meufYa desfois où il faut savoir être égoiste wesh mdrrr
Ca dépend de la taille je dirais soit déo à billes, soit déo à pétanques...Rooooo la meuf
Pour les roubignoles c'est des deo billes ?
Hahahahahhaha ouais ben pour ceux la faudrait qu ils pensent a vidangerCa dépend de la taille je dirais soit déo à billes, soit déo à pétanques...
Explosée de rire!
c'est pour eux qu'on a inventé ceciformat petanque ca doit plus être un handicape qu'autre chose lol
c'est pour eux qu'on a inventé ceci
MDRRRRRRRRRRRR ya un filet à l'intérieur?c'est pour eux qu'on a inventé ceci
Ils ont trouvé le fion euhh le filon du mec fragile
ah non comprends toujours pas ???Alors un déo.. pas un anti transpirant!
Je te laisse faire la déduction...
Mdrrrrr un anti transpirant Ca serait dans le but de limiter la sueur.ah non comprends toujours pas ???
veux tu dire que ca limiterais la sécrétion de liquide séminale qui provient en grande partie de la prostate auquel cas je ne comprends pas l’intérêt ?
Mdrrrrr un anti transpirant Ca serait dans le but de limiter la sueur.
Le déodorant dans le but de limiter les odeurs ...
Un anti transpirant ét un déodorant c'est different . La le but c'est de limiter les odeurs ... Du genre capteurs de mauvaises odeur . Une sorte de febreze spécial coucougnette mdrrrrrrrrbah un déodorant fonctionne en limitant la sécrétion des glandes sudoripares ... donc pas de transpiration pas de mauvaise odeur !
ça marche comment concrètement du coups en bas ?
mmmmmdddrrrrrrrrrrrrr!Un anti transpirant ét un déodorant c'est different . La le but c'est de limiter les odeurs ... Du genre capteurs de mauvaises odeur . Une sorte de febreze spécial coucougnette mdrrrrrrrr
Non, pas plus de raison, pour une femme que pour un homme. Je dirais même au contraire, c'est ignorer totalement ( ou négliger, et de la part des laboratoires c'est grave) le fonctionnement physiologique à ce niveau.Des produits d'hygiène intime pour les femmes, je trouve ça compréhensible, au vu de vos matos a vous et leurs fonctionnement
MdrrrrrrrBientôt ont va nous sortir ce genre de désodorisants à accrocher aux testicules
Des produits d'hygiène intime pour les femmes, je trouve ça compréhensible, au vu de vos matos a vous et leurs fonctionnement
Mais pour les hommes, a moins d'avoir un problème dermatologique, ou, dans c cas la tu vas voir un médecin et tu te soignes et basta ... Je vois pas l’intérêt de produits (Za3ma) spécialisés ... Création de besoins quand tu nous tiens
Bientôt ont va nous sortir ce genre de désodorisants à accrocher aux testicules
Vas y, Croque dans la pomme
Non, pas plus de raison, pour une femme que pour un homme. Je dirais même au contraire, c'est ignorer totalement ( ou négliger, et de la part des laboratoires c'est grave) le fonctionnement physiologique à ce niveau.
Il ne faut JAMAIS mettre de produits autres que de l'eau ou du savon "banal", genre savon de Marseille, et surtout, surtout aucun lavage "interne". Le vagin est auto-nettoyant, en quelque sorte ; utiliser un produit quel qu'il soit par voie interne, c'est le plus sûr moyen de provoquer une mycose, par déséquilibre de la flore naturelle et du ph.
En période de règles, un coup de jet d'eau sous la douche, et c'est tout.
Bien sûr.Mais peut - on utiliser le savon de Marseille au quotidien ? .
Si ça te réussit, continue. On ne change pas une équipe qui gagne.Moi j'utilise saforelle tout les jours
Et je peux pas concevoir ne pas me laver cette partie quotidiennement.
Ben dis donc!!@kewkew @KINGjulian @Sanid @Babouchemasquee @Abazaa @nwidiya @hanibarios
Rasoirs, déodorants, soins hydratants destinés aux parties intimes... l'obsession pour l'hygiène tourne mâle.
Déodorant pour testicules, sérum hydratant pour « parties intimes », vaporisateur pour « zones sensibles »...
On a d'abord cru qu'il s'agissait d'une blague. Pourtant, ces produits sont disponibles en supermarchés ou en pharmacies depuis quelques semaines. La question de l'hygiène intime inspire désormais les créateurs de marques pour homme.
Si prendre une douche et changer quotidiennement de sous-vêtements paraît suffisant pour une majorité d'entre eux, d'autres seraient plus maniaques.
« Notre laboratoire décline en France des formules qui ont déjà rencontré un grand succès outre-Atlantique. A l'origine, le gel déodorant Comfy Boys a été lancé en 2013 aux Etats-Unis dans les magasins de sport pour les athlètes qui se plaignaient de leur transpiration au niveau de l'entrejambe. »
Alternative au talc déjà utilisé par les sportifs, ce déodorant intime finit par conquérir un public plus large que sa cible de départ.
Ainsi la marque Mennen vient tout juste de développer une gamme de déodorants « intégraux » : aisselles, torse, zones intimes et... pieds ! De quoi s'interroger quant à l'usage que les hommes font de leur déodorant classique.
« En 2014, grâce à une étude sur l'hygiène des hommes, nous avons appris que 50 % des moins de 35 ans s'épilent, se rasent ou se tondent les poils du corps ».
Or, le poil — sur lequel se greffent bactéries et mauvaises odeurs — absorbe la transpiration et protège donc la peau de ces zones sensibilisées, qui ne sont d'ailleurs jamais véritablement appelées par leur nom. « Nous avons donc conçu une gamme non irritante sans alcool ni sels d'aluminium qui s'adapte à ces nouveaux comportements ».
Pour Bernard Andrieu, philosophe du corps et auteur de La Peur de l'orgasme (éd. Le Murmure, 2013), la disparition du poil est liée à la représentation actuelle des corps dans les films pornographiques : « Avec moins de poils, le sexe masculin paraît plus visible, dit-il. Reste à savoir s'il s'agit d'hygiénisme ou d'érotisme. Contrôler et entretenir l'espace privé de son corps, c'est une manière de mettre en scène la nudité. »
Plus pragmatiques, les créateurs du premier sérum « sex care » baptisé Mojo sont convaincus que ce type de produits offre une suite logique à la cosmétique masculine. « Il existe des soins pour toutes les parties du corps sauf pour l'intimité des hommes, s'étonne Grégoire Mahler, cocréateur de Mojo. Ça fait rire les gens mais au fond, une fois qu'on en a fait l'expérience, c'est difficile de s'en passer. »
Mais pourquoi chercher à effacer toute animalité du corps ? « On sait que le désir sexuel est intimement lié à l'odorat et que les anosmiques ont de gros problèmes de libido, rappelle Denyse Beaulieu, auteure de Parfums - Une histoire intime (Presses de la Cité, 2013). Or, depuis les années 1980, on éradique progressivement dans les parfums toutes les notes animales pour les remplacer par des odeurs de propreté. Ce puritanisme anglo-saxon questionne notre aptitude à accepter un corps adulte qui sécrète. »
Il suffit pourtant de prendre le métro chaque matin pour observer que l'obsession pour la propreté reste un courant mineur. « C'est une tendance très polarisée, confirme Aurélie Chaffel, cofondatrice de l'agence Perspectives-Lab. Parallèlement à l'arrivée de ces nouveaux produits, on note aussi l'émergence de comportements inverses comme ces femmes qui laissent repousser leurs poils sous les aisselles et sur le pubis. » De quoi nourrir des débats animés entre amis...
source: www.lemonde.fr
En savoir plus sur Le filon de l'hygiène intime de l'homme
@kewkew @KINGjulian @Sanid @Babouchemasquee @Abazaa @nwidiya @hanibarios
Rasoirs, déodorants, soins hydratants destinés aux parties intimes... l'obsession pour l'hygiène tourne mâle.
Déodorant pour testicules, sérum hydratant pour « parties intimes », vaporisateur pour « zones sensibles »...
On a d'abord cru qu'il s'agissait d'une blague. Pourtant, ces produits sont disponibles en supermarchés ou en pharmacies depuis quelques semaines. La question de l'hygiène intime inspire désormais les créateurs de marques pour homme.
Si prendre une douche et changer quotidiennement de sous-vêtements paraît suffisant pour une majorité d'entre eux, d'autres seraient plus maniaques.
« Notre laboratoire décline en France des formules qui ont déjà rencontré un grand succès outre-Atlantique. A l'origine, le gel déodorant Comfy Boys a été lancé en 2013 aux Etats-Unis dans les magasins de sport pour les athlètes qui se plaignaient de leur transpiration au niveau de l'entrejambe. »
Alternative au talc déjà utilisé par les sportifs, ce déodorant intime finit par conquérir un public plus large que sa cible de départ.
Ainsi la marque Mennen vient tout juste de développer une gamme de déodorants « intégraux » : aisselles, torse, zones intimes et... pieds ! De quoi s'interroger quant à l'usage que les hommes font de leur déodorant classique.
« En 2014, grâce à une étude sur l'hygiène des hommes, nous avons appris que 50 % des moins de 35 ans s'épilent, se rasent ou se tondent les poils du corps ».
Or, le poil — sur lequel se greffent bactéries et mauvaises odeurs — absorbe la transpiration et protège donc la peau de ces zones sensibilisées, qui ne sont d'ailleurs jamais véritablement appelées par leur nom. « Nous avons donc conçu une gamme non irritante sans alcool ni sels d'aluminium qui s'adapte à ces nouveaux comportements ».
Pour Bernard Andrieu, philosophe du corps et auteur de La Peur de l'orgasme (éd. Le Murmure, 2013), la disparition du poil est liée à la représentation actuelle des corps dans les films pornographiques : « Avec moins de poils, le sexe masculin paraît plus visible, dit-il. Reste à savoir s'il s'agit d'hygiénisme ou d'érotisme. Contrôler et entretenir l'espace privé de son corps, c'est une manière de mettre en scène la nudité. »
Plus pragmatiques, les créateurs du premier sérum « sex care » baptisé Mojo sont convaincus que ce type de produits offre une suite logique à la cosmétique masculine. « Il existe des soins pour toutes les parties du corps sauf pour l'intimité des hommes, s'étonne Grégoire Mahler, cocréateur de Mojo. Ça fait rire les gens mais au fond, une fois qu'on en a fait l'expérience, c'est difficile de s'en passer. »
Mais pourquoi chercher à effacer toute animalité du corps ? « On sait que le désir sexuel est intimement lié à l'odorat et que les anosmiques ont de gros problèmes de libido, rappelle Denyse Beaulieu, auteure de Parfums - Une histoire intime (Presses de la Cité, 2013). Or, depuis les années 1980, on éradique progressivement dans les parfums toutes les notes animales pour les remplacer par des odeurs de propreté. Ce puritanisme anglo-saxon questionne notre aptitude à accepter un corps adulte qui sécrète. »
Il suffit pourtant de prendre le métro chaque matin pour observer que l'obsession pour la propreté reste un courant mineur. « C'est une tendance très polarisée, confirme Aurélie Chaffel, cofondatrice de l'agence Perspectives-Lab. Parallèlement à l'arrivée de ces nouveaux produits, on note aussi l'émergence de comportements inverses comme ces femmes qui laissent repousser leurs poils sous les aisselles et sur le pubis. » De quoi nourrir des débats animés entre amis...
source: www.lemonde.fr
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