Le général Richoufftz transformera les africains en français par la magie de l'école et la langue!

« Il faut une flamme, une volonté, pour dire à cette population : “vous venez d’Afrique, vous allez devenir Français. Et pour ce faire, vous allez apprendre la langue et aller à l’école” »

Cette obsession qu'ont ce gens à vouloir muter des gens ont un truc obscure et qui n'existe que dans leurs esprit.
 

Tancredi

Moramora
VIB
« Il faut une flamme, une volonté, pour dire à cette population : “vous venez d’Afrique, vous allez devenir Français. Et pour ce faire, vous allez apprendre la langue et aller à l’école” »

Cette obsession qu'ont ce gens à vouloir muter des gens ont un truc obscure et qui n'existe que dans leurs esprit.
Ou alors, ils restent chez eux et ils font ce qu'ils veulent !
 
Ou alors, ils restent chez eux et ils font ce qu'ils veulent !
T'as pas besoin de copier Morano, tu peux faire mieux en pensant par toi meme, tout le monde est normalement capable de faire mieux qu'elle.

Les gens qui viennent d'Afrique ne sont pas venus dans le cadre d'un système colonialiste en massacrant la population locale et prenant leurs biens, ils sont venus par la volonté de ceux qui dirigent ton pays.
 

David39

On est les enfants oublié de l'Histoire les amis!
VIB
« Il faut une flamme, une volonté, pour dire à cette population : “vous venez d’Afrique, vous allez devenir Français. Et pour ce faire, vous allez apprendre la langue et aller à l’école” »

Cette obsession qu'ont ce gens à vouloir muter des gens ont un truc obscure et qui n'existe que dans leurs esprit.

Salut morjani!

Tu m'avais manqué! Je plaisante, sois rassuré mais dis moi c'est pas plutôt toi l'obsédé?

Quel est le mal et/ou le problème à vouloir établir des liens et de la communication entre les différentes strates d'une société?

Tu préfères la politique de M. Sarkozy qui a rompu tout contact entre police et quartier par exemple?

Moi j'aime autant pouvoir bénéficier de communication de généraux et de pouvoir converser à minima avec les représentants de l'ordre.

Quel est le problème d'enseigner un minimum les bases? Aller à l'école est un mal? Être français ce n'est pas appartenir à une race ou une idéologie, être français c'est adhérer à des valeurs et des principes de bases, toujours sous les auspices de L'Être suprême.

Le Coran, par ordre de révélation, il commence par "lis".

Le langage, les mots sont des armes gracieusement offertes pour permettre à tous de pouvoir se battre et assurer sa défense et aussi pour ne pas passer pour un plouc!

Tu es le premier à dénigrer et mépriser ceux qui abandonne certains à leurs sort, à te moquer des classes inférieures "non éduquée", mais dès qu'un mec fait quelque chose tu critiques aussi. En fait tu critiques sans arrêt sans vraiment avoir de connaissances, voir aucune parfois.

Je dis ça pourtant je suis pas spécialement pro armée surtout en France mais ça reste une classe indispensable au fonctionnement d'une nation et certains font ce qu'ils peuvent face à ceux qui nous gangrène et agisse en traître.

La sécurité du territoire est capitale, cela s'appelle la paix.
 

David39

On est les enfants oublié de l'Histoire les amis!
VIB
Ce qu'il faut, quand on tient un discours avec des opinions, ce sont des arguments et des sources.


Comme ici par exemple:

En 2004, le général Emmanuel de Richoufftz se soucie du lien entre la nation et l’armée. Trop de jeunes ne se sentent guère français dans les banlieues. Pour créer un sentiment d’appartenance, il veut agir sur trois facteurs : la maîtrise de la langue, l’accès à l’emploi et la référence à l’histoire ; et il lance un projet : permettre à des jeunes d’obtenir, après six mois de formation, le permis de conduire et un emploi. Les résultats sont exceptionnels. En 2008, il renouvelle l’opération en tant que civil.
Je suis un homme d’action et je ne vais donc pas vous faire de grands discours, mais vous expliquer très simplement pourquoi, comment et avec qui j’ai décidé de mener une action en faveur des jeunes de banlieue, d’abord en tant que militaire, en 2005-2006, et maintenant en tant que civil.

Quatre constats​

Mon engagement résulte de quatre constats, que beaucoup d’entre vous ont dû faire comme moi.

L’échec scolaire​


Depuis trente ans, l’Éducation nationale met chaque année sur le marché du travail environ 80 000 jeunes en échec scolaire, soit, au total en trente ans, l’équivalent de la population parisienne : 2,4 millions de personnes qui ont du mal à s’exprimer, à comprendre ce qu’on leur dit, à écouter des ordres, à s’insérer dans une collectivité, quelle qu’elle soit.

L’échec de l’intégration​

L’intégration de la population immigrée est également un échec, qui se répercute sur les générations successives. Des jeunes, pourtant nés en France, ne se sentent pas vraiment français, alors qu’ils ne sont plus vraiment étrangers. Ils sont en déshérence.

Les paradoxes du marché du travail​

Le troisième constat concerne le marché du travail. D’un côté, une main-d’œuvre peu ou pas qualifiée, qui ne trouve pas de travail auprès des entreprises. De l’autre, ces mêmes entreprises, qui bien qu’ayant un besoin pressant de main-d’œuvre, ne parviennent pas à recruter ces personnes. La raison en est simple : non seulement les jeunes qui sortent de l’école n’ont pas vraiment acquis de savoir-faire, mais ils n’ont pas acquis non plus de savoir être. C’est à l’entreprise de leur apporter le savoir-faire, mais c’est à l’école de leur inculquer le savoir être, et l’école ne fixe pas les règles de vie.

L’affaiblissement du lien armée/nation​

Le dernier constat, d’un ordre très différent, concerne les rapports entre l’armée et la nation. Depuis que notre armée s’est professionnalisée et que les théâtres d’opération ne sont plus situés en Europe ou à la frontière de l’Est, le lien entre la nation et l’armée s’est distendu. Les corps expéditionnaires qui partent combattre dans des pays lointains n’ont plus le soutien de la population : la plupart des gens ne comprennent pas pourquoi des soldats français vont risquer leur vie en Afghanistan. Or, nos troupes ont besoin du soutien moral de la nation. Mais si l’on ne compte que sur les cérémonies militaires pour perpétuer ce lien entre l’armée et la population, on n’ira pas bien loin : pour avoir présidé les prises d’armes du 11 novembre et du 8 mai, je peux témoigner qu’à part quelques personnes âgées autour d’un drapeau qui flotte au vent, quelques groupes scolaires et quelques ambassadeurs contraints d’assister à ce genre de cérémonies, les tribunes sont bien vides.

Il faut donc imaginer d’autres formes de relations entre l’armée et la population. Lorsque j’étais adjoint du gouverneur militaire de Paris, j’avais contribué à renforcer l’opération Carrefours pour l’emploi, qui continue à se tenir, chaque année en octobre, devant l’École militaire, avec la participation de 300 entreprises et des différentes armées. Cette manifestation, qui dure deux jours et attire 25 000 jeunes, permet de donner une autre image de l’armée. Mais si l’on veut que l’armée puisse vraiment s’ancrer dans le pays, il faut qu’elle aille à la rencontre des enfants de la nation, et notamment de ses enfants les plus malheureux, ceux qui vivent dans des quartiers marginalisés qui sont parfois des zones de non-droit. L’objectif est de faire renaître le bonheur et la fierté d’être citoyens français, ce « vouloir vivre ensemble », cher à Renan.

 

David39

On est les enfants oublié de l'Histoire les amis!
VIB

Un tabouret à trois pieds​

Pour relever ces divers défis, j’ai imaginé un dispositif que je compare à un tabouret à trois pieds, toujours en équilibre précaire : si un des pieds fait défaut, le tabouret tombe.

La langue​

Le premier pied du tabouret est la maîtrise de la langue. Les jeunes qui baragouinent un argot de 200 mots sont incapables de se faire comprendre et de comprendre l’autre, ce qui est indispensable pour vivre en collectivité. Pour pouvoir s’insérer dans une entreprise, il faut qu’ils parviennent à maîtriser environ 2 000 mots. Or, ces jeunes qui ont souffert de l’échec scolaire ne veulent plus retourner en classe. Pour qu’ils acceptent d’apprendre la langue, je leur propose donc une “carotte”, le fait de passer le permis de conduire. Les cours de code sont une excellente occasion d’élargir leur vocabulaire, de leur apprendre à exprimer des choses complexes et précises.

L’entreprise​

Le deuxième pied du tabouret, c’est l’entreprise. Avec la fin du service militaire, l’entreprise est aujourd’hui la dernière institution qui apprenne aux gens à vivre ensemble et qui leur offre la possibilité d’une promotion sociale. Il faut donc trouver à ces jeunes des emplois qui leur donneront accès non pas à l’ascenseur social, formule que je trouve impropre, mais à l’“escalier social”. Selon le mot de Napoléon : « Chaque soldat a dans sa musette son bâton de maréchal », mais un jeune qui sort de l’école avec un niveau “bac –5” ne peut pas espérer se faire une situation en se contentant d’appuyer sur un bouton d’ascenseur. Il devra commencer au bas de l’échelle et travailler dur pour progresser.

La citoyenneté​

Se contenter d’offrir un emploi aux jeunes en déshérence n’est pas suffisant, d’abord parce qu’ils ne sauront pas forcément le conserver s’ils ne savent pas s’exprimer et se faire comprendre, ensuite parce qu’il faut aussi leur apporter une part de rêve. Et pour moi, ce rêve, c’est la citoyenneté, qui passe par l’apprentissage de l’histoire. Dans les écoles, la période de 1941 à 1970 a été en quelque sorte mise entre parenthèses : les jeunes des banlieues ignorent que leurs parents et leurs grands-parents ont participé à une incroyable épopée au service de la France, à travers l’armée des Indigènes, puis l’armée d’Afrique, puis le corps expéditionnaire français qui a libéré Toulon et Marseille et s’est battu à Monte Cassino, jusqu’à ce que le drapeau français soit accroché par des spahis marocains à la flèche de la cathédrale de Strasbourg… Quand je leur raconte cette histoire, ils me disent : « Mon général, tu es le premier à nous parler comme ça ! Personne ne nous avait expliqué tout ça. »

Un cheminement de vie​

Ce que je leur propose, c’est de poursuivre ces trois objectifs à la fois. S’ils participent à l’opération uniquement pour avoir leur permis, cela ne fonctionnera pas. Même chose, s’ils ne cherchent qu’à obtenir un emploi sans faire l’apprentissage de la langue et de l’histoire. Je leur propose un cheminement de vie qui va les transformer en profondeur.

Coordonner le dispositif​

Pour que mon tabouret tienne debout, je dois mobiliser trois types d’acteurs : les institutions d’insertion, pour assurer le recrutement et la formation ; les entreprises, pour proposer des emplois ; les institutions représentant l’État ou la nation, pour donner du sens et de la crédibilité à toute la démarche.



Ouh le vilain! :rolleyes:
 
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