Un collectif veut transformer la journée de super soldes post-Thanksgiving en un rendez-vous de la lutte contre l’hyperconsommation. 150 entreprises françaises se sont engagées à ne pratiquer aucun rabais ce vendredi, explique la présidente du mouvement, Anémone Bérès, à «Libération».
Faire d’un symbole de notre frénésie consumériste une journée de sensibilisation à une consommation plus responsable : c’est l’ambition du mouvement «Green Friday», né l’année dernière en réaction au «Black Friday», cette journée de promos massives proposées aux Américains au lendemain de Thanksgiving.
Une tradition commerciale récemment importée en France qui implique une surproduction de biens voraces en ressources et «une course au moins-disant social et environnemental»,dénonce le collectif, qui veut, à la place, profiter de ce 23 novembre pour faire découvrir d’autres modes de consommation (ou de non-consommation) pour limiter le gaspillage :
réparer plutôt que jeter,
encourager l’achat d’occasion ou local,
allonger la durée de vie des produits…
Des alternatives plus durables que le consommateur a le pouvoir de privilégier aux achats compulsifs, explique à Libération Anémone Bérès, présidente de l’association Green Friday et du réseau Envie, qui regroupe une cinquantaine de structures engagées dans l’économie circulaire, à l’initiative de cet événement «écocitoyen» avec cinq autres membres, dont Emmaüs et Ethiquable.
la suite sur https://www.msn.com/fr-fr/actualite/environnement/le-«green-friday»-un-anti-«black-friday»-pour-«responsabiliser»-le-consommateur/ar-BBPXbjO?li=BBoJIji&ocid=mailsignout
mam
Faire d’un symbole de notre frénésie consumériste une journée de sensibilisation à une consommation plus responsable : c’est l’ambition du mouvement «Green Friday», né l’année dernière en réaction au «Black Friday», cette journée de promos massives proposées aux Américains au lendemain de Thanksgiving.
Une tradition commerciale récemment importée en France qui implique une surproduction de biens voraces en ressources et «une course au moins-disant social et environnemental»,dénonce le collectif, qui veut, à la place, profiter de ce 23 novembre pour faire découvrir d’autres modes de consommation (ou de non-consommation) pour limiter le gaspillage :
réparer plutôt que jeter,
encourager l’achat d’occasion ou local,
allonger la durée de vie des produits…
Des alternatives plus durables que le consommateur a le pouvoir de privilégier aux achats compulsifs, explique à Libération Anémone Bérès, présidente de l’association Green Friday et du réseau Envie, qui regroupe une cinquantaine de structures engagées dans l’économie circulaire, à l’initiative de cet événement «écocitoyen» avec cinq autres membres, dont Emmaüs et Ethiquable.
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