Le jour où ils ont fait de moi une femme

Naveen

VIB
Peu importe que le titre ai été choisi par la rédactrice, elle a repris les mots de la victime, il qualifie ce jour de "jour ou ils ont fait de moi une femme", ça n'a pas été mis entre guillemets pour rien...

Encore une fois tu ne fais rien d'autre qu'admettre sans t'en rendre compte que tu as des difficultés de lecture.

Les paroles de cet homme sont:
Bon… Ils allaient faire… comme si nous étions des femmes, ils allaient coucher avec nous.

Et si le titre, choisi par la rédactrice, est entre guillemet, ce n'est pas du tout parce qu'il a dit textuellement ces mots mais parce qu'elle reprend le terme central qui est femme: c'est ce qu'on appelle une paraphrase.

Tu as mal su lire l'article, c'est tout.
 
Il suffit de bien relire l'article pour se rendre compte que la seule fois où il utilise le terme femme est dans la citation que j'ai relevé. Et en y portant le regard on y voit que c'est un euphémisme: pour ne pas dire "je me suis fait violé" il dit "ils allaient faire comme si j'étais une femme".

"Deux ans et demi après son enlèvement par les rebelles de Laurent Nkunba, l'homme de 28 ans raconte « le jour où ils ont fait de [lui] une femme ». Ce premier soir a été suivi de huit autres."
 

Naveen

VIB
Je ne nie pas la souffrance subie par l'acte non consentie, j'ai seulement l'impression que le côté passif de la chose ajoute à sa souffrance, il se sent féminisé.

Sauf que ton impression n'a aucune valeur analytique en ce qui concerne le texte. Tu confonds les paroles de l'homme avec le titre choisi par la rédactrice, tu te sens offusquée d'une image que tu interprètes mal pour finir en disant que dans toute la souffrance qu'il a subi, le pire aura été de jouer le rôle de la femme.

Je réitère, le jeûne ne te fait vraiment pas de bien :confused:
 
Encore une fois tu ne fais rien d'autre qu'admettre sans t'en rendre compte que tu as des difficultés de lecture.

Les paroles de cet homme sont:

Et si le titre, choisi par la rédactrice, est entre guillemet, ce n'est pas du tout parce qu'il a dit textuellement ces mots mais parce qu'elle reprend le terme central qui est femme: c'est ce qu'on appelle une paraphrase.

Tu as mal su lire l'article, c'est tout.

Ah non là t'es trop de mauvaise foi :eek:
Regarde dans les commentaires, t'as un type qui précise à une personne qui a été autant offusquée que moi par le titre que ce sont les mots de la victime.
 

Naveen

VIB
"Deux ans et demi après son enlèvement par les rebelles de Laurent Nkunba, l'homme de 28 ans raconte « le jour où ils ont fait de [lui] une femme ». Ce premier soir a été suivi de huit autres."

Écoute, je suis sincèrement désolé de te le dire, mais tu ne sais pas lire un article de journal.
 

Naveen

VIB
Ah non là t'es trop de mauvaise foi :eek:

C'est toi qui est de mauvaise foi et qui ne sait pas faire la différence entre le contenu d'un article et un titre.

Un titre se doit d'être accrocheur et de capter l'attention; c'est un choix de la rédactrice. Donc elle reprend une de ses expression et la reformule à sa manière c'est tout.
 

Naveen

VIB
Ah non là t'es trop de mauvaise foi :eek:
Regarde dans les commentaires, t'as un type qui précise à une personne qui a été autant offusquée que moi par le titre que ce sont les mots de la victime.

Ah oui et donc tu as raison parce que qqn a eu la même impression que toi sur le site?

Super l'argument :rolleyes:
 

Naveen

VIB
Il me semble que c'est un journaliste du site donc je suppose qu'il parle en connaissance de cause :rolleyes:

Franchement c'est grave de ne pas pouvoir comprendre un truc aussi simple.

Ecoute la version audio, à aucun moment il ne qualifie cette journée comme le titre le suggère. Il ne dit que ce que j'ai cité, qui est dans l'article.

Ensuite, le rédacteur, lui, reprend le terme femme utilisé et le remanie pour en faire un titre accrocheur et captivant l'attention.

Si t'es pas capable de comprendre ça, j'y peux rien.
 
Franchement c'est grave de ne pas pouvoir comprendre un truc aussi simple.

Ecoute la version audio, à aucun moment il ne qualifie cette journée comme le titre le suggère. Il ne dit que ce que j'ai cité, qui est dans l'article.

Ensuite, le rédacteur, lui, reprend le terme femme utilisé et le remanie pour en faire un titre accrocheur et captivant l'attention.

Si t'es pas capable de comprendre ça, j'y peux rien.

"Ce n'est absolument pas ce que sous-entend cet article : il s'agit de propos tenus par la victime, c'est pour cela qu'ils sont placés entre guillemets, y compris dans le titre."

Je me fie à ce que dit le journaliste, le seul truc qui est remanié dans l'article c'est le "moi" qui est remplacé par un "lui"...

Va dormir Naveen :confused::D
 

Naveen

VIB
"Ce n'est absolument pas ce que sous-entend cet article : il s'agit de propos tenus par la victime, c'est pour cela qu'ils sont placés entre guillemets, y compris dans le titre."

Je me fie à ce que dit le journaliste, le seul truc qui est remanié dans l'article c'est le "moi" qui est remplacé par un "lui"...

Va dormir Naveen :confused::D

Article écrit par Maryline Dumas et intervention de Yann Guégan. T'en as d'autres des comme ça?

Non mais franchement tu me fais peur. Tu n'as jamais lu un journal de ta vie ou quoi?

Dans quasiment tout journal tu peux trouver au moins une fois une phrase en exergue, entre guillemet, qui est attribuée à l'interrogé. Puis, lorsque tu lis l'article en lui-même, les mêmes termes sont utilisés mais pas de la même manière. Là c'est exactement la même chose: sa citation a été reprise pour le titre.

Si moi je devrais aller dormir, tu devrais aller chercher le journal pour que tu puisses au moins savoir que c'est une pratique extrêmement courante dans les articles que de reprendre des termes et les formuler d'une autre manière. C'est incroyable tu ne saches pas un truc aussi bête, franchement.
 
Article écrit par Maryline Dumas et intervention de Yann Guégan. T'en as d'autres des comme ça?

Non mais franchement tu me fais peur. Tu n'as jamais lu un journal de ta vie ou quoi?

Dans quasiment tout journal tu peux trouver au moins une fois une phrase en exergue, entre guillemet, qui est attribuée à l'interrogé. Puis, lorsque tu lis l'article en lui-même, les mêmes termes sont utilisés mais pas de la même manière. Là c'est exactement la même chose: sa citation a été reprise pour le titre.

Si moi je devrais aller dormir, tu devrais aller chercher le journal pour que tu puisses au moins savoir que c'est une pratique extrêmement courante dans les articles que de reprendre des termes et les formuler d'une autre manière. C'est incroyable tu ne saches pas un truc aussi bête, franchement.

Je n'ai pas dit que je ne connaissais pas ce genre de pratiques mais en l'espèce ça ne me semble pas être le cas au regard des propos du journaliste, ne te sens pas obligé de dénigrer ton interlocuteur, je t'ai connu plus courtois :confused:
 

Naveen

VIB
Je n'ai pas dit que je ne connaissais pas ce genre de pratiques mais en l'espèce ça ne me semble pas être le cas au regard des propos du journaliste, ne te sens pas obligé de dénigrer ton interlocuteur, je t'ai connu plus courtois :confused:

Et sans vouloir t'offenser je t'ai connue plus intelligente.

Tout est là: tu sais que c'est une pratique courante OK. Les termes du titre sont retrouvables dans le texte mais formulés d'une autre manière OK. L'article n'a pas été écrit par cette personne, il n'a donc pas choisi le titre OK. La bande audio ne fait absolument pas mention de cette phrase OK

MAIS tu persistes à dire que ce sont ses mots et - encore pire - que la souffrance qu'il a vécu est plutôt le fait d'avoir joué le rôle de la femme que d'avoir subi un rapport non-consenti.

Là c'est fort!
 
Et sans vouloir t'offenser je t'ai connue plus intelligente.

Tout est là: tu sais que c'est une pratique courante OK. Les termes du titre sont retrouvables dans le texte mais formulés d'une autre manière OK. L'article n'a pas été écrit par cette personne, il n'a donc pas choisi le titre OK. La bande audio ne fait absolument pas mention de cette phrase OK

MAIS tu persistes à dire que ce sont ses mots et - encore pire - que la souffrance qu'il a vécu est plutôt le fait d'avoir joué le rôle de la femme que d'avoir subi un rapport non-consenti.

Là c'est fort!

Que veux tu que je te dises, le titre reflète ce qui est dit dans l'article et m'a amené à penser ce que je pense, ça s'arrête là...
 

Naveen

VIB
Que veux tu que je te dises, le titre reflète ce qui est dit dans l'article et m'a amené à penser ce que je pense, ça s'arrête là...

Aaaah bien voilà!

Le titre reflète ce qui est dans l'article, il a été fabriqué à partir de termes utilisés dans l'article mais ce ne sont pas les mots de l'interrogé!

Et si tu lis/écoutes bien son interview, tu remarqueras qu'il ne fait pas d'autre mention du fait que ce soit une femme. Ça montre bien que tu te trompes quand tu dis que tu as l'impression que ce n'est pas tant le rapport non-consenti qui pose problème mais le fait qu'il ait joué le rôle de la femme. Sinon cela se ressentirai dans le contenu de ses paroles, ce qui présentement n'est pas du tout le cas.

C'est une manière de parler, d'adoucir la dureté de ce qu'il a vécu. Même le médecin va dans ce sens: il dit

Quand ils parlent aussi. Ils ne disent pas tout de suite “j'ai été violé” mais plutôt : “On m'a séquestré, on m'a maltraité, j'ai mal dans le bas du dos”. »

Et cet homme l'a fait à sa manière en disant en gros "on m'a fait comme on fait à une femme". Stop, ça s'arrête là.

Tu as mal interprété le titre et t'es concentrée uniquement dessus sans avoir de vision globale de l'article et en discernant ce qui a été dit et ce qui n'a pas été dit. Fin de l'histoire ;).
 
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