le langage des oiseaux de René Guenon

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Allah pour les oiseaux = Simorgh l' oiseau divin zoroastrien aryen iranien
or les slaves descendants des Sarmates iraniens croient au Simorgh alias Simargl lequel Simorgh est un lion ailé comme le lion ailé iranien du drapeau royal iranien et le Sphinx qui est un pharaon lion couché ailé et qui est Atoum ( qu' on sait etre Amon qui est tous les dieux egyptiens dont Thot le vizir d' Amon qui est le propehete Enoch/le prophete Idriss) le sphinx etant Abu al hol des musulmans le lion de la terreur qui terrassera les mecreants autrement dit Jesus le lion de l' apocalypse le lion de la tribu de Juda
Dans le cantique des oiseaux le Simorgh qui est Dieu est invisible inatteignable ses caracteristiques sont toutes nos caracteristiques
Au final les musulmans croient au meme Dieu que les zoroastriens que les rodnoveriens sllaves que les netjeristes/amonistes/kemetistes et egyptiens anciens
 
Dans le livre Shâhnâmeh, un oiseau nommé Simorgh protégea et soigna Zâl (père de Rostam), et cet oiseau aida également Rostam dans sa lutte contre Esfandiâr (Nayernuri, 1965, p. 2). Les motifs de plumes apparaissent sur les épées et les casques sassanides (Harper, 1978, p. 84). Harper cite Ghirshman, qui interprète le motif des plumes comme un symbole de l’oiseau Varagn, qui est l’une des formes de Verethragna, la divinité zoroastrienne de la victoire. Il déclare également que la plume de l’oiseau Varagn apportait de l’aide à l’homme, comme la plume de Simorgh. Les guerriers sassanides utilisaient cette décoration symbolique sur leurs armes et armures pour se sentir bien protégés contre tous les ennemis, y compris les nomades des steppes (Harper, 1978, p. 84). Les ailes d’un aigle sont également représentées sur les couronnes des rois sassanides. En utilisant les plumes et les ailes d’aigle, les rois sassanides se prétendaient représentants de Dieu, Ahura Mazda, sur terre (Nayernuri, 1965, p. 3). D’autre part, le farr-e kiâyni (couronne royale / pouvoir) et farr-e irâni (couronne iranienne) sont toujours représentés comme Verethragna dans l’Avesta. Varagn est un oiseau de proie, tel que l’aigle ou le faucon, et est considéré comme très puissant. http://www.teheran.ir/spip.php?article2801#gsc.tab=0

Saïn (Simorgh), l’oiseau légendaire qui ressemble au faucon. Le Saïn fait son nid en haut de l’arbre Hametokhmeh. En battant des ailes, il sème des graines de cet arbre. Selon les légendes, cet oiseau allaite ses poussins. Ce qui retient l’attention est que dans le Shâhnâmeh de Ferdowsi, cet oiseau, ayant des pouvoirs extraordinaires, joue un rôle de premier plan, en particulier dans l’histoire de Zâl et Rostam. http://www.teheran.ir/spip.php?article1559#gsc.tab=0
 
Sîmorgh : de l’oiseau légendaire du Shâhnâmeh au guide intérieur de la mystique persane http://www.teheran.ir/spip.php?article242#gsc.tab=0

Le Sîmorgh, le Phénix et la tradition chrétienne​


Le Sîmorgh a été maintes fois comparé à d’autres oiseaux fabuleux présents dans les cultes ou traditions de nombreuses civilisations tels que le Fenghuang chinois, le Zhar-ptitsa russe, le Ghoghnus arabe, ou le Homa persan. Cependant, c’est du Phénix, oiseau fabuleux doté d’une grande longévité et qui doit d’abord se consumer pour pouvoir ensuite renaître de ses cendres, qu’il a le plus été rapproché. A l’instar du Sîmorgh, il symbolise une nouvelle résurrection par la mort et a souvent été identifié à la colombe de l’Esprit saint, symbole de l’intelligence agente ou du guide intérieur. Même si ces deux créatures ne peuvent être totalement assimilées l’une à l’autre, la présence de traits communs rendent néanmoins possibles certaines comparaisons particulièrement enrichissantes pour le domaine de la mystique comparée.

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Zâl demandant au Sîmorgh d’aider son fils Rostam à vaincre Esfandiyâr, miniature iranienne illustrant le Shâhnâmeh, XVe siècle.
Le Phénix était déjà présent chez les Grecs ainsi qu’en ancienne Egypte où il existait sous le nom de Bénou, oiseau mystérieux qui n’apparaissait que tous les cinq siècles aux hommes à l’occasion de sa mort et de sa résurrection à Héliopolis (ou "Cité du soleil"). Il symbolisait le soleil levant et était étroitement associé avec le Dieu du soleil Râ.


Dans les représentations qui en ont été faites en Europe durant le Moyen Age, il prend la forme d’une sorte d’aigle au plumage rouge, (d’où son nom venant de "phénicée" qui, en grec, signifie pourpre) [10]. Selon les sources de cette époque, il vivrait jusqu’à 500 ou 1461 ans pour ensuite préparer un bûcher au sein duquel il s’immole pour renaître de ses cendres trois jours après sous la forme d’un jeune Phénix.


Il est mentionné dans l’Ancien Testament, notamment dans le livre de Job où il est écrit : "Je me disais alors : "Je mourrai dans mon nid comme l’oiseau Phénix, et revivrai longtemps. Je suis comme un arbre qui a le pied dans l’eau ; la rosée de la nuit rafraîchit mes rameaux. Je pourrai retrouver un prestige tout neuf, et ma force d’agir comme un arc bien tendu"" (Job 29 :18).


Dans la mystique chrétienne, le feu dans lequel il brûle pour renaître symbolise l’accès aux hautes connaissances permettant la régénération du corps et de l’âme. Il est en outre le seul oiseau à pouvoir regarder le soleil en face, c’est-à-dire à accéder aux hautes connaissances mystiques en libérant son âme de la mort dans ce feu de vie éternelle. Pour le christianisme, il symbolise donc la résurrection après la mort et fut parfois associé à celle du Christ. En outre, dans certains récits mystiques chrétiens, le Phénix symbolise l’âme ou l’être céleste de chacun se consumant pour renaître à son propre monde, symbolique rejoignant parfaitement celle des récits de Sohrawardî.


Il est également intéressant de souligner que dans le folklore juif, il est le seul animal à ne pas avoir rejoint Adam après que ce dernier ait été banni et exclu du Jardin d’Eden.
 
Amon est le Benou l' oiseau mythique solaire ( phenix) qui s' est créé lui meme et est l' ame d' Amon/le ba d' Amon lequel est l' univers entier, le rout et tous les dieux , tout ce qui est car le ba d' Amon est tout ce qui est

Bénou
, dans la mythologie égyptienne, est l'oiseau représentant l'âme – le – de qui le précède dans la barque solaire. Comme Rê, l'oiseau Bénou était adoré à Héliopolis où on le trouve également lié à Atoum, le dieu du soleil couchant. Le livre des morts dit : « Je suis l'Oiseau Bénou, l'Âme/cœur de , le Guide des Dieux vers la Douât ».

Il est associé à la crue du Nil, à la résurrection et au Soleil. On l'associe également à la planète Vénus<a https://fr.wikipedia.org/wiki/Bénou#cite_note-Chaby_Gulden-3 , celle qui fait traverser l'oiseau Bénou. Du fait de sa relation à la création et au renouveau, il est relié au calendrier. Le temple de Bénou était réputé pour les systèmes de comptage du temps qu'il abritait.

Parmi ses titres on trouve, « celui qui est venu à l'existence par lui-même », ou « seigneur des Jubilés ».

Durant l'Ancien Empire, le Bénou est représenté sous l'apparence d'une bergeronnette printanière couronnée de l'Atef - coiffure d'Osiris - ou du disque solaire. À partir du Nouvel Empire, il prend l'apparence d'un héron cendré, parfois d'un héron pourpré. En de rares occurrences, il apparaît comme un homme à tête de héron vêtu de bleu ou de blanc et portant un long manteau transparent.

Selon le mythe, le Bénou s'était créé de lui-même à partir d'un feu consumant l'un des arbres situés dans une des enceintes du temple de . D'après une autre version, il avait jailli du cœur même d'Osiris. Il vivait sur la pierre benben ou sur le saule sacré d'Héliopolis. Le mythe le plus répandu fait du Bénou un oiseau mystérieux, qui n'apparaît aux hommes que tous les cinq cents ans à Héliopolis à l'occasion de sa mort et de sa résurrection qui marque ainsi le cycle du temps.

Pour les Grecs, il devient le Phénix (phoinix) dont le nom vient peut-être du verbe égyptien wbn "https://fr.wikipedia.org/wiki/Bénou#cite_note-4" qui signifie « briller », « étinceler » et « naître » concernant le Soleil.
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