didadoune
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Ecrit dans le plus grand secret, « Murmures à la jeunesse », l’essai de l’ex-garde des Sceaux, se veut un plaidoyer contre la déchéance de nationalité, à quelques jours des débats parlementaires.
Un coup d’éclat après l’autre : moins d’une semaine après avoir annoncé sa démission du gouvernement, mardi 26 janvier, l’ex-garde des Sceaux Christiane Taubira publie ce lundi 1er février un livre dans lequel elle expose les raisons de son opposition à la déchéance de nationalité.
Intitulé « Murmures à la jeunesse », l’ouvrage publié aux Editions Philippe Rey est un essai d’un peu moins d’une centaine de pages tiré à 40.000 exemplaires.
D’après « Le Monde » , les choses sont allées très vite puisque son premier contact avec l’éditeur remonte au 10 janvier seulement, de sorte que le l’essai puisse être publié à la veille du débat parlementaire sur la déchéance de nationalité, vendredi.
Portée symbolique négative Elle estime la mesure non seulement inefficace, aux « effets nuls en matière de la dissuasion », mais souligne également la portée symbolique négative : « A qui parle et que dit le symbole de la déchéance de nationalité pour les Français de naissance ? Puisqu’il ne parle pas aux terroristes (…), qui devient, par défaut, destinataire du message ? Celles et ceux qui partagent, par totale incidence avec les criminels visés, d’être binationaux, rien d’autre. »
Un coup d’éclat après l’autre : moins d’une semaine après avoir annoncé sa démission du gouvernement, mardi 26 janvier, l’ex-garde des Sceaux Christiane Taubira publie ce lundi 1er février un livre dans lequel elle expose les raisons de son opposition à la déchéance de nationalité.
Intitulé « Murmures à la jeunesse », l’ouvrage publié aux Editions Philippe Rey est un essai d’un peu moins d’une centaine de pages tiré à 40.000 exemplaires.
D’après « Le Monde » , les choses sont allées très vite puisque son premier contact avec l’éditeur remonte au 10 janvier seulement, de sorte que le l’essai puisse être publié à la veille du débat parlementaire sur la déchéance de nationalité, vendredi.
Portée symbolique négative Elle estime la mesure non seulement inefficace, aux « effets nuls en matière de la dissuasion », mais souligne également la portée symbolique négative : « A qui parle et que dit le symbole de la déchéance de nationalité pour les Français de naissance ? Puisqu’il ne parle pas aux terroristes (…), qui devient, par défaut, destinataire du message ? Celles et ceux qui partagent, par totale incidence avec les criminels visés, d’être binationaux, rien d’autre. »