Le Maroc en difficulté financière

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion younes87
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Le gouvernement reste confiant dans l’économie malgré l’impact de la crise financière mondiale et la hausse du prix des matières premières. Jeudi dernier, le porte parole du gouvernement , M.*Khalid Naciri, a reconnu que le Maroc devait faire face à des difficultés financières complexes.

Signe positif. Malgré la raréfaction du crédit, les banques ont joué le jeu en soutenant les secteurs clés de l’économie. Le ministre Khalid Naciri s’est voulu rassurant car le Maroc est parvenue à maintenir un taux de croissance élevé malgré une conjoncture difficile marquée par la hausse vertigineuse des prix des matières premières et la crise des marchés financiers. M.*Salaheddine Mezouar, le ministre marocain de l’Economie et des Finances, rappelle que le secteur non agricole a réalisé un taux de croissance de 5,1% au premier semestre de l’année. La loi de Finances 2012 table sur un taux de croissance oscillant entre 4,7% et 5,2% (5 à 5,5% pour le secteur non agricole), un taux d’inflation de 2% et un baril de pétrole de 100 dollars. L’inflation moyenne globale en 2010 s’est maintenue à un niveau très modéré de 1%. En 2011, une bonne campagne agricole et le maintien des prix de certains produits pétroliers et alimentaires malgré l’ augmentation des prix internationaux, devraient aider à limiter l’ augmentation de l’indice des prix à environ 1%. Le crédit à l’ économie a progressé de 7,4% en 2010. D’après les chiffres fournis par M.*Mezouar, les exportations ont, pour leur part, continué sur leur trend haussier avec une progression de 19,8%, y compris les ventes de phosphates et ses dérivés qui ont augmenté de 12,7%.

http://france-moyenorient.com/spip.php?article6482
 
En même temps nos ministres continuent a placer des ordres d'achat de véhicules, de compagne de communications "bidons" et d'engager leurs ministères dans des missions et

dépenses inutiles ....ze3ma aucun plan ni politique de "ta9Achof" pour surmonter la crise et diminuer son impact ...ils n'ont que la politique de "" ana wa toffano min ba3di "" .
 
quel scoop !!!! QUE LE MAROC ?
que le maroc? les grandes nations non?
les pays les plus riches en pétrole en gaz non?
l'algérie a perdu 265MD en 6 mois il est sur les rotules ce n'est pas pour autant on poste les sujets de leur journaux
 
quel scoop !!!! QUE LE MAROC ?
que le maroc? les grandes nations non?
les pays les plus riches en pétrole en gaz non?
l'algérie a perdu 265MD en 6 mois il est sur les rotules ce n'est pas pour autant on poste les sujets de leur journaux

Pkoi tjrs tirer l'algerie!!! ya toujours du racisme dans ce forum sobhnallah!
 
puisqu,il n y a que l,Ocean de l,autre cote.. le Grand Maroc est oblige de se comparer et de s,exempler avec son unique voisin riche.
c pas du racisme au contraire c,est seulement l,amour voisinnage.
 
Le gouvernement reste confiant dans l’économie malgré l’impact de la crise financière mondiale et la hausse du prix des matières premières. Jeudi dernier, le porte parole du gouvernement , M.*Khalid Naciri, a reconnu que le Maroc devait faire face à des difficultés financières complexes.

Signe positif. Malgré la raréfaction du crédit, les banques ont joué le jeu en soutenant les secteurs clés de l’économie. Le ministre Khalid Naciri s’est voulu rassurant car le Maroc est parvenue à maintenir un taux de croissance élevé malgré une conjoncture difficile marquée par la hausse vertigineuse des prix des matières premières et la crise des marchés financiers. M.*Salaheddine Mezouar, le ministre marocain de l’Economie et des Finances, rappelle que le secteur non agricole a réalisé un taux de croissance de 5,1% au premier semestre de l’année. La loi de Finances 2012 table sur un taux de croissance oscillant entre 4,7% et 5,2% (5 à 5,5% pour le secteur non agricole), un taux d’inflation de 2% et un baril de pétrole de 100 dollars. L’inflation moyenne globale en 2010 s’est maintenue à un niveau très modéré de 1%. En 2011, une bonne campagne agricole et le maintien des prix de certains produits pétroliers et alimentaires malgré l’ augmentation des prix internationaux, devraient aider à limiter l’ augmentation de l’indice des prix à environ 1%. Le crédit à l’ économie a progressé de 7,4% en 2010. D’après les chiffres fournis par M.*Mezouar, les exportations ont, pour leur part, continué sur leur trend haussier avec une progression de 19,8%, y compris les ventes de phosphates et ses dérivés qui ont augmenté de 12,7%.

http://france-moyenorient.com/spip.php?article6482
L'économie du Maroc se porte bien, mais la situation sociale des marocains va de mal en mal... 3ajib :D
 
Comme les generaux algeriens ont perdu la Tunisie,ils vont tout faire
pour s'installer au Maroc
Sinon ,ils vont placer leur argent?
Voilà pourquoi ils comment à parler des frontieres et ils speculent sur l'economie marocaine
 
Le gouvernement reste confiant dans l’économie malgré l’impact de la crise financière mondiale et la hausse du prix des matières premières. Jeudi dernier, le porte parole du gouvernement , M.*Khalid Naciri, a reconnu que le Maroc devait faire face à des difficultés financières complexes.

Signe positif. Malgré la raréfaction du crédit, les banques ont joué le jeu en soutenant les secteurs clés de l’économie. Le ministre Khalid Naciri s’est voulu rassurant car le Maroc est parvenue à maintenir un taux de croissance élevé malgré une conjoncture difficile marquée par la hausse vertigineuse des prix des matières premières et la crise des marchés financiers. M.*Salaheddine Mezouar, le ministre marocain de l’Economie et des Finances, rappelle que le secteur non agricole a réalisé un taux de croissance de 5,1% au premier semestre de l’année. La loi de Finances 2012 table sur un taux de croissance oscillant entre 4,7% et 5,2% (5 à 5,5% pour le secteur non agricole), un taux d’inflation de 2% et un baril de pétrole de 100 dollars. L’inflation moyenne globale en 2010 s’est maintenue à un niveau très modéré de 1%. En 2011, une bonne campagne agricole et le maintien des prix de certains produits pétroliers et alimentaires malgré l’ augmentation des prix internationaux, devraient aider à limiter l’ augmentation de l’indice des prix à environ 1%. Le crédit à l’ économie a progressé de 7,4% en 2010. D’après les chiffres fournis par M.*Mezouar, les exportations ont, pour leur part, continué sur leur trend haussier avec une progression de 19,8%, y compris les ventes de phosphates et ses dérivés qui ont augmenté de 12,7%.

http://france-moyenorient.com/spip.php?article6482
c'est une crise financière passagère et tout va rentrer dans l'ordre après les élections.
 
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