Le gouvernement reste confiant dans l’économie malgré l’impact de la crise financière mondiale et la hausse du prix des matières premières. Jeudi dernier, le porte parole du gouvernement , M.*Khalid Naciri, a reconnu que le Maroc devait faire face à des difficultés financières complexes.
Signe positif. Malgré la raréfaction du crédit, les banques ont joué le jeu en soutenant les secteurs clés de l’économie. Le ministre Khalid Naciri s’est voulu rassurant car le Maroc est parvenue à maintenir un taux de croissance élevé malgré une conjoncture difficile marquée par la hausse vertigineuse des prix des matières premières et la crise des marchés financiers. M.*Salaheddine Mezouar, le ministre marocain de l’Economie et des Finances, rappelle que le secteur non agricole a réalisé un taux de croissance de 5,1% au premier semestre de l’année. La loi de Finances 2012 table sur un taux de croissance oscillant entre 4,7% et 5,2% (5 à 5,5% pour le secteur non agricole), un taux d’inflation de 2% et un baril de pétrole de 100 dollars. L’inflation moyenne globale en 2010 s’est maintenue à un niveau très modéré de 1%. En 2011, une bonne campagne agricole et le maintien des prix de certains produits pétroliers et alimentaires malgré l’ augmentation des prix internationaux, devraient aider à limiter l’ augmentation de l’indice des prix à environ 1%. Le crédit à l’ économie a progressé de 7,4% en 2010. D’après les chiffres fournis par M.*Mezouar, les exportations ont, pour leur part, continué sur leur trend haussier avec une progression de 19,8%, y compris les ventes de phosphates et ses dérivés qui ont augmenté de 12,7%.
http://france-moyenorient.com/spip.php?article6482
Signe positif. Malgré la raréfaction du crédit, les banques ont joué le jeu en soutenant les secteurs clés de l’économie. Le ministre Khalid Naciri s’est voulu rassurant car le Maroc est parvenue à maintenir un taux de croissance élevé malgré une conjoncture difficile marquée par la hausse vertigineuse des prix des matières premières et la crise des marchés financiers. M.*Salaheddine Mezouar, le ministre marocain de l’Economie et des Finances, rappelle que le secteur non agricole a réalisé un taux de croissance de 5,1% au premier semestre de l’année. La loi de Finances 2012 table sur un taux de croissance oscillant entre 4,7% et 5,2% (5 à 5,5% pour le secteur non agricole), un taux d’inflation de 2% et un baril de pétrole de 100 dollars. L’inflation moyenne globale en 2010 s’est maintenue à un niveau très modéré de 1%. En 2011, une bonne campagne agricole et le maintien des prix de certains produits pétroliers et alimentaires malgré l’ augmentation des prix internationaux, devraient aider à limiter l’ augmentation de l’indice des prix à environ 1%. Le crédit à l’ économie a progressé de 7,4% en 2010. D’après les chiffres fournis par M.*Mezouar, les exportations ont, pour leur part, continué sur leur trend haussier avec une progression de 19,8%, y compris les ventes de phosphates et ses dérivés qui ont augmenté de 12,7%.
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