Le Maroc premier partenaire commercial....de l'Algérie dans le monde arabe !

ould khadija

fédalien
Contributeur
Le Maroc reste le premier client commercial de l'Algérie dans le monde arabe avec des achats de 1,07 milliard de dollars, selon les douanes algériennes.

Le Royaume est également le 4-ème fournisseur arabe de l'Algérie avec des exportations de 281,7 millions de dollars, a indiqué le Centre des statistiques relevant des douanes algériennes. [/b]

L'Algérie exporte vers les pays arabes notamment des produits alimentaires (dattes), de l'énergie et des lubrifiants, des produits laminés et des pneumatiques, a précisé le centre dans ses chiffres pour l'année 2012.

Les principaux produits importés par l'Algérie de ces pays sont les médicaments, les huiles légères, les fils de cuivre, les barres en fer et les conducteurs électriques.

Les importations globales de l'Algérie de la Zone arabe de libre-échange (Zale) avaient connu une baisse de 6,4 pc en 2012, passant de 2,45 milliards de dollars durant 2011 à plus de 2,2 milliards de dollars.

L'introduction par l'Algérie d'une liste négative qui exclut les produits ayant un faible taux d'intégration des avantages douaniers accordés par l'Algérie au sein de cette zone de libre-échange, est le principal facteur derrière cette baisse.



Source [/b]
http://www.atlasinfo.fr/Le-Maroc-pr...e-monde-arabe-douanes-algeriennes_a39471.html
 
Les experts du FCE tirent la sonnette d’alarme

Tanger Med sera le premier port algérien !




Le port marocain Tanger Med risque de devenir très prochainement le premier port desservant le marché algérien.


Les experts, invités hier par le Forum des chefs d’entreprises à animer un atelier sur les ports algériens, sont unanimes à ce sujet. Aussi, depuis plus de deux décennies, le transport maritime de marchandises par lequel transitent 90% des échanges commerciaux internationaux a connu des évolutions notables que ce soit en termes de volume des marchandises prises en charge, lesquels ont doublé, ou en matière d’outils, de navires toujours plus grands, ou encore en matière d’infrastructures portuaires. Or, l’Algérie n’a non seulement pas évolué, mais pris un retard considérable en la matière. Avec des capacités limitées de traitement et un faible tirant d’eau, les ports algériens ne peuvent accueillir les navires de gros tonnage qui dominent actuellement la structure des échanges, car permettant de réaliser des économies d’échelle.

Ainsi, les marchandises à destination de l’Algérie doivent transiter par divers ports européens, notamment celui d’Algesiras en Espagne. A ce titre, le président du FCE, Réda Hamiani, que les 14 ports dont dispose l’Algérie datent de l’époque coloniale. Pis encore, il s’émeut du fait que l’infrastructure portuaire ait été écartée de l’immense programme d’investissements publics entamé il y a plus d’une décennie. Le patron des patrons ajoute qu’au lieu de cela, les pouvoirs publics ont construit une très belle autoroute allant d’Est en Ouest et qui pourra profiter, à terme, aux grands ports réalisés ou encore en réalisation chez nos voisins maghrébins. Il s’agit plus précisément de Ennafida en Tunisie et de Tanger Med au Maroc.

Pour ce dernier port, M. Hamiani affirme qu’il suffira d’une ouverture de la frontière entre l’Algérie et le Maroc pour que toutes les marchandises à destination de l’Algérie transitent directement par Tanger Med, ce qui réduirait ainsi les parts de marché des ports algériens. Une piste qui n’a rien de surréaliste. Selon Abdelhamid Seriaï, ex-cadre du port de Skikda, l’armateur CMA-CGM aurait déjà annoncé la mise en place d’une ligne de feedering régulière reliant Tanger Med aux ports d’Oran et de Ghazaouet. Et d’ajouter qu’avec la réalisation prochaine d’un port pour produits pétroliers à Nador, l’Algérie risque, dans les prochaines années, de se fournir en produits pétroliers au Maroc.

D’après M. Seriaï, les surcoûts liés au fret et à l’opération portuaire seraient de 900 dollars par container. Ainsi, le transport et le traitement d’un conteneur en Algérie sont 40% plus chers qu’au Maroc. Et d’ajouter que les coûts de la logistique en Algérie représentent 25% du PIB, tandis qu’ils ne représentent que 15% au Maroc. Il estime que si l’Algérie arrivait à baisser ce coût de 5%, cela représenterait une économie de près de 9 milliards de dollars annuellement. Lorsqu’on pense que le coût de réalisation d’un port se situe autour de 2 à 3 milliards de dollars, on imagine aisément le manque à gagner. M. Seriaï a également mis à l’index l’interdiction imposée aux opérateurs algériens d’affréter des navires, et ce, au seul bénéfice des armateurs étrangers, dans la mesure où la CNAN ne participe que pour 2% du transport maritime.

Melissa Roumadi



http://www.elwatan.com/economie/tanger-med-sera-le-premier-port-algerien-13-02-2013-203124_111.php
 
Selon le Centre national algérien des statistiques des douanes (Cnis), les échanges commerciaux de l’Algérie avec les pays arabes, qui ont dépassé les 5,41 milliards de dollars en 2012, se sont soldés par un excédent commercial de près de 968 millions de dollars en faveur d’Alger.
Selon le Cnis, le Maroc reste le premier client arabe de l’Algérie, puisqu’il absorbe 1,07 milliards de dollars des ventes algériennes à l’étranger, suivi de la Tunisie avec 1 milliard de dollars, l’Egypte (876,51 millions de dollars), l’Irak (78,32 millions de dollars) et de la Mauritanie (61,07 millions de dollars). Quant aux principaux fournisseurs, la première place revient à l’Arabie Saoudite, qui a expédié vers l’Algérie en 2012 des marchandises d’une valeur de près de 467,2 millions de dollars, suivie de la Tunisie (407,75 millions de dollars), de l’Egypte (380,56 millions de dollars), du Maroc (281,77 millions de dollars) et enfin des Emirats Arabes Unis avec 259,57 millions de dollars. L’Algérie exporte vers les pays arabes notamment des produits alimentaires, de l’énergie et des lubrifiants, des produits laminés, des pneumatiques, des bonbonnes et des bouteilles, des flacons et articles similaires.
Les principaux produits importés par l’Algérie de ces pays sont les médicaments, les huiles légères, les fils de cuivre, les barres en fer, les conducteurs électriques.
Le commerce interarabe a représenté seulement 10% en moyenne de l’ensemble des échanges commerciaux des pays arabes sur les cinq dernières années. Ce résultat est dû essentiellement aux mesures non tarifaires et au coût élevé du commerce interarabe, notamment le transport et la logistique, selon les experts, qui estiment que la similitude des économies arabes, basées souvent sur le pétrole ou l’agriculture, n’encourage pas lesdits échanges. Ces experts considèrent que le coût lié à la logistique entre les pays arabes est parmi les plus élevés au monde. A titre d’exemple, ils relèvent que le coût de transit des biens entre deux pays arabes est dix fois supérieur à celui pratiqué entre deux pays asiatiques.
L’absence d’une harmonisation entre les politiques financières et de change des pays arabes, outre la faible complémentarité des biens échangés dans la région et le manque de diversification des structures d’exportation de ces pays, figurent également parmi les causes de la stagnation des échanges commerciaux interarabes.

http://www.libe.ma/Le-Maroc-premier-client-arabe-de-l-Algerie_a35413.html

l'Algérie achète seulement pour 280 millions de dollars au Maroc par an
alors que le Maroc achète pour 1 milliard de dollars à l'Algérie par an
 
Les principaux produits importés par l’Algérie de ces pays sont les médicaments, les huiles légères, les fils de cuivre, les barres en fer, les conducteurs électriques.

L'essence et le gazole de contrebande également .. :D

aicha
 
moi en ce qui concerne la faiblesse des échanges je verrais plus absence d'industries performantes et novatrices.
La vente de couscoussiers artisanaux et d'orange ne peut à eux seuls suffirent.
D'autres part concernant les armes vous feriez confiance à une arme venant de pays arabes vous. Pas moi, je tiendrais à ma sécurité
 
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